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sur 770 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Lorsque j'entendis parler de ce livre pour la première fois, je pensais que le roman concernerait un tueur en série, nommé Ockham et utilisant un rasoir pour trancher la gorge des victimes.

Une fois que je lus le quatrième de couverture, je compris ma grande erreur.

D'ailleurs, j'étais bien loin puisque cela concerne un principe de raisonnement philosophique entrant dans les concepts de rationalisme et de nominalisme. Appelé aussi principe de simplicité, principe d'économie ou principe de parcimonie et peut se formuler comme suit :

"Pluralitas non est ponenda sine necessitate" ou "Les multiples ne doivent pas être utilisés sans nécessité".

Bien que la formule de la simplification soit souvent attribuée à Guillaume d'Ockham, il n'y a aucune trace dans ses écrits.

Après la minute de culture (en un mot, je vous prie !), venons-en à ce roman policier ésotérique français qui se voulait "à l'américaine".

Ne le dites à personne, mais pour lire et apprécier ce roman, il vaut mieux faire abstraction de votre cerveau. Demandez à votre esprit d'aller faire un tour ailleurs et signifiez à votre intelligence de se mettre en grève sauvage pour la durée de la lecture.

Bref, adoptez un Q.I de gant de toilette (ou de jeune chanteur pour midinettes bien connu) et tout ira pour le mieux...

Non, je vous jure que si vous voulez vraiment apprécier le bouquin comme il se doit, il ne faut pas creuser trop loin, comme le fait par exemple Kedric qui a publié une excellente critique sur le site. N'ayant pas mis son cerveau en "stand-by", il nous a fait un magnifique relevé de toutes les erreurs du livre.

C'est jubilatoire à lire (sa critique), mais malheureusement, si vous vous posez trop de questions, le livre ne vous goûtera pas du tout.

Pourquoi ? Parce qu'il comporte des fautes et qu'elles risquent de gâcher la lecture. Et pas des petites, d'erreurs !

Lorsque je m'en suis rendue compte (lors de ma lecture du roman, il y a quelques temps), cela a douché la joie que j'avais ressentie en l'ouvrant.

Alors, comme je n'étais pas en mode "maso", j'ai demandé à mon cerveau de faire grève et de me ficher la paix.

Une fois que ce dernier fut allé voir ailleurs si je n'y étais pas, j'ai profité pleinement de ce livre et j'ai passé un bon moment.

C'était la seule condition : pas de cerveau ou sinon...

1. J'aurais ricané lorsque le héros, Ari Mackenzie (il bosse aux RG comme spécialiste des sectes), décrit comme LE spécialiste ès ésotérisme, est obligé d'aller voir dans une encyclopédie ce qu'est un astrolabe...

Que vous ou moi ne sachions pas exactement ce que cela représente, c'est normal, mais pour un spécialiste en ésotérisme et tout le tralala, c'est un peu fort de café...

2. Je serais tombée de ma chaise lorsque notre spécialiste (quinte de toux) confond Francs-Maçons et Compagnons de France...

3. J'aurais soupiré en constatant que toutes ses aides sont féminines (toutes des expertes) et qu'il a déjà couché avec elles ou le fera plus tard...

4. J'aurais eu une impression de "déjà lu" en découvrant que l'intrigue reposait sur le fait qu'une loge (encore une !) protège un secret (une nouveauté, tiens !) qui ne doit surtout pas être révélé sous peine de catastrophe (laquelle ?).

Comme vous n'êtes pas capable de deviner la suite, je vous la confie : "une page de ce livre - qu'il faut garder secret à n'importe quel prix sinon la fin du monde arrivera, au moins - est confiée à chaque membre d'une loge vachement secrète que t'as même pas connaissance de son existence.

Mais bouffez-les, vos pages de livres secrets, bordel ! Au moins, les nazis qui vous courent derrière ne se les accapareront pas ! Oui, il y a des espèces de nazis aussi. Quand je vous dis que ça sent le "déjà lu".

Et comment cette page qui ne doit jamais être divulguée arrive dans les mains de notre Ari de service ? vous demandez-vous parce que vous n'avez pas encore viré votre cervelle.

Tout simplement parce que son meilleur ami la lui a envoyée.

Pourquoi il a fait ça ? Il se sentait menacé... D'ailleurs, il est retrouvé mort, le cerveau liquéfié puis aspiré (pas de chance pour les ménagères de moins de 50 ans, l'auteur ne nous donne pas la marque de l'aspirateur, mais sûr que c'était du bon matos).

Alors, notre héros national, muni de la précieuse photocopie de cette non moins précieuse et mystérieuse page, s'envole vers une chasse au trésor, puisque, vous l'aurez deviné si votre cerveau est présent : la page sert d'indice pour cette chasse au trésor. Nooon ? Si !

Comme dans un roman américain qui a fait couler beaucoup d'encre, le héros court donc de lieux historiques en lieux historiques tout en suivant les indications cryptées et glissées dans les pages soi-disant perdues d'un vrai incunable.

Entre deux courses ou deux cogitations, notre héros solitaire peste sur l'amour impossible, sur la politique interne des RG, sur l'aide qui bosse dans le petit magasin de livres rares qu'il fréquente, sur le fait que ses bosses l'inspire...

Magnifiques scènes de baston particulièrement explosives, réalisées sans trucages et à coup de grenade, de fusil mitrailleur et de tout ce que compte un arsenal militaire.

Oui, notre Ari s'est vu adjoindre l'aide d'un ancien légionnaire (il était beau et il sentait bon le sable chaud, son légionnaire).

Pendant ce temps là, notre tueuse à l'aspirateur fou continue de sévir dans les ménages des Gardiens du Grimoire Secret Qui Ne Va Plus le Rester Secret. Les scènes de crime sont gores, dégueu, pleines de sang au mur et sur le parquet.

Les Gardiens n'avaient pas payés leurs cotisations aux "Titres Services", donc, pas de nettoyage chez eux. On aspire la cervelle et basta. Comme dans le titre d'un San-Antonio "On liquide et on s'en va".

La confrontation finale avec les Vilains Méchants Même Pas Beaux où vous aurez droit à la révélation sur ce fameux Grand Secret ?

Heu... Ari, arrivé à quelques encablures du trésor, se casse et quand il reviendra, sa hiérarchie sera passée par là et aura fait boucher l'entrée du sanctuaire. du coup, vous ne saurez rien de rien sur la nature du roman.

Arnaque ? Grève de l'auteur dans le final ? Les deux ? J'en sais fichtre rien.

Oui, Dan Brown avait ses défauts mais il ne m'avait pas plantée comme une conne dans le fossé !

Henri Loevenbruck a tenté de me faire baver avec les mystères de Reims, le tout mélangé à un complot des compagnons de France et nos bons vieux Méchants de roman, je veux parler des casques à pointes nazis de Thullé qui m'ont bien entubés.

Donc, pour en profiter, faite comme moi : offrez des vacances à votre cerveau et mettez-le à l'arrêt le temps de lire le livre.

Sérieux, sans me poser des questions durant ma lecture, j'en ai profité à fond, sauf sur la fin parce que, même sans cerveau, c'est un peu se foutre de la tête des lecteurs.

Hormis tout cela (la fin), il n'est pas trop mal... Ok, allez lire "Da Vinci", ça pulse plus.
Lien : http://the-cannibal-lecteur...
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C'est le 2e roman de Henri Loevenbruck que je lis et, après 'Nous rêvions juste de liberté', je dois dire que je tombe de haut.
Bon, je savais que l'univers serait très différent et je m'étais promis d'essayer de ne pas du tout penser à ce roman qui m'avait littéralement transportée en ouvrant celui-ci. Je fais la part des choses, je le jure, mais je n'ai pas du tout apprécié ce roman-ci.
Je n'ai pas lu le Da Vinci Code mais, d'après ce que j'ai pu en apprendre, Loevenbruck a surfé sur la vague Dan Brown et utilise ici exactement la même dynamique.
Les rebondissements sont abracadabrantesques, les personnages sont un mélange de clichés leur donnant une dimension profondément ridicule.
Le personnage principal (c'est le seul sur lequel je vais m'étendre un peu mais tous sont aussi peu convaincants) n'est absolument pas crédible...je passerai sur le fait qu'un expert des services de renseignements en matière d'ésotérisme et de secte ne sache pas ce qu'est un astrolabe et confonde les francs-maçons et les compagnons du devoir (non, en fait je ne passe pas dessus). Henri Loevenbruck nous sert une sorte d'inspecteur Harry à la sauce Tarentino mais qui passe son temps à critiquer les nouvelles technologies et à se lamenter sur son petit coeur blessé et à énumérer toutes les parties du corps de Lola : Lola ses mains, Lola sa peau, Lola ses cheveux...bla bla bla.
Je me dis aussi que l'auteur est fan de culture américaine mais a décidé de faire une histoire française (ben oui, une histoire ésotérique d'origine médiévale, c'est assez chaud à mettre en place à Chicago). Bref, ça tire dans tous les sens, ça course et sa pétarade dans les rues de Paris, ça trépane dans les chaumières mais ça n'a pas l'air de troubler ni la presse ni les autorités de la police.
Le fait même que le personnage ait un patronyme anglo-saxon est en soi, pour moi, le signe d'une ambition frustrée de polar américain.
Autre chose qui m'a beaucoup saoulée, c'est l'accumulation de départements dont les limites sont, pour moi, assez vagues et qui sont systématiquement cité sous leurs seuls initiales après une seule occurrence en toute lettre : DST, IMA, OPJ, SRPJ, GIGN, RG, DCRI, DCRG. Pas simple à suivre...
(J'espère pour lui que Loevenbruck a touché de l'argent de certaines compagnies d'armes, de cigarettes ou d'alcool car vu la quantité astronomique de placements de produits qu'on trouve dans ce roman, ça a du être plutôt rentable)
La fin est également très décevante...comme si arrivé au bout de son récit, Loevenbruck c'était dit : héhé, au fait, il y a une suite. Vous pensiez être arrivés au bout mais non, il va falloir acheter le tome 2.
Mais ça sera sans moi
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Très déçu par ce roman, d'autant plus que j'affectionne beaucoup l'auteur. J'aime toujours autant son écriture, ainsi que le développement des différents personnages. Là où le bât blesse, c'est au niveau de l'intrigue. Elle m'a laissé de marbre et je n'en voyais pas la fin. D'après la majorité des critiques, les 2 autres tomes sont de la même veine. Cette saga s'achèvera donc ici pour ma part.
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Quelle fut ma déception la première fois que j'ai découvert Henri Loevenbtuck avec « le syndrome Copernic ». Je n'avais pas du tout accroché. Ainsi, j'ai longtemps délaissé cet auteur jusqu'à… ces dernières semaines. En fait, il s'est passé deux choses. Je l'ai reçu en cadeau par mon frère qui l'a beaucoup aimé. Sans cela, je n'aurai certainement jamais relu un roman de cet auteur. Bon, j'ai le livre, encore faut-il que je me décide à le lire. Il est là au milieu de ma PAL.
Dès que je finissais un livre, mon regard passait dessus sans vraiment s'arrêter. Pire que ça, j'ai l'impression d'être un chat jaugeant un autre félin.
Ce qui m'a décidé à franchir le pas est venu suite à la lecture « Le silence des agneaux » de Thomas Harris, j'ai eu envie de poursuivre avec un autre thriller. Pourtant, je ne me suis pas lancé directement sur ce livre, mais sur un autre plus court et très décevant. C'était donc l'occasion de me replonger dans l'univers de Henri Loevenbruck et de lui laisser une seconde chance.
Ça y est je tiens le livre dans mes mains – grosse appréhension. J'entame...
Hum, le début laisse entrevoir un complot, une secte ou un truc comme ça. J'ai un peu peur de lire un « Da Vinci code-like ». Plus j'avance et plus ce sentiment s'intensifie. J'ai même un autre livre qui me vient à l'esprit, celui de Maxime Chattam (« Les arcanes du chaos). Peut-être que c'est le fait que l'intrigue se passe à Paris (et un peu partout en France).
Décidément avec lui, je n'accroche toujours pas. Nous avons là un bon pavé de près de 550 pages. J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de longueur surtout le premier tiers où le personnage principal et la libraire se posent des questions sur leur amour commun. le quasi quadragénaire se refuse de sauter le pas avec elle et elle attend que ça. Bref, ces longs passages m'ont un peu saoulé. Ensuite, Ari Mackenzie – qui est le personnage principal – est un flic rebelle. Il travaille dans une section des renseignements généraux, dans un bureau, mais se transforme vite en super guerrier. Et des invraisemblances dans ce livre il y en a – à mon goût. Ce flic rebelle a tous les droits. Il a beau empiéter sur des terrains qui ne le concerne pas, ou bien encore user des méthodes douteuses, il ne reçoit qu'un simple sermon de sa hiérarchie. D'ailleurs, le ministre lui même lui fournit un garde du corps et le procureur lui donne tous les droits pour qu'il puisse faire sa propre enquête. J'ai juste trouvé une partie de la fin intéressante où le livre se transforme en chasse au trésor, mais est à l'image du livre : elle traîne en longueur et je me demande si l'auteur connaît lui même la fin. Ô surprise ! La dernière page se conclut pas un magnifique « À suivre... ».
Je referme donc ce livre à demi-emballé devenant une déception. Au final 6 morts dont une belle scène de torture pour se conclure sur une fin dont il reste tant de mystère. Bref, j'en resterait là avec Loevenbruck.
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Henri Loevenbruck, né en 1972 à Paris, est un écrivain, chanteur et compositeur français. Auteur de thrillers, de romans d'aventure et de fantasy, il est traduit dans plus de quinze langues. Auteur-compositeur-interprète, il écrit des chansons pour lui-même et pour d'autres artistes français. le Rasoir d'Ockham est un thriller datant de 2008.
Le commandant Ari Mackenzie, notre héros, bosse aux Renseignements généraux. Quand un vieil ami de son père auquel lui-même est très attaché, est assassiné dans des conditions très « spéciales » (cerveau percé et vidé entièrement de son contenu !) il se lance dans une enquête, hors des procédures officielles. Une enquête qui va l'entrainer au coeur de mystères ésotériques où une puissante équipe dotées de solides moyens tente de récupérer des documents très anciens permettant d'obtenir un pouvoir inestimable…
Autre manière de résumer l'intrigue : six personnes membres d'une loge secrète datant de plusieurs siècles, détiennent chacune un bout de parchemin, chacun de ces morceaux forme un puzzle qui révèle un grand secret. Deux hommes puissants, pour des raisons opposées, s'associent pour récupérer ces papiers, en tuant leur propriétaires.
Les documents sont des pages arrachées au célèbre carnet de Villard de Honnecourt, un maître d'oeuvre du XIIIe siècle, célèbre pour ce fameux calepin renfermant de nombreux croquis d'architecture, à présent conservé à la Bibliothèque Nationale de France. Sont impliqués, plus ou moins directement dans cette intrigue, les Compagnons du devoir, une antique secte ayant des accointances avec le nazisme et mon tout tourne autour d'une théorie fumeuse, celle de la Terre creuse !
Tous ces éléments de l'intrigue sont basés sur des réalités (débiles mais qui existent néanmoins) longuement documentées dans le roman et l'on voit que l'écrivain a beaucoup travaillé pour faire ces recherches. Sûr que cela est bien amusant et inquiétant puisque réel mais c'est à peu près tout ce qu'on peut retenir de ce livre.
Le suspense est très mince, les scènes fortes sont très rares (une chignole dans le crâne par-ci, par-là) et l'intrigue se dilue dans d'interminables explications de textes (le mec a bossé, faut que ça se sache !), elles-mêmes noyées dans les tourments sentimentaux d'Ari. Pourquoi les thrillers se doivent-ils d'être longs ? Est-ce dans leur cahier des charges ?
Alors, oui ça se lit, d'un oeil éteint, celui du lecteur qui s'assoupit dans sa chaise-longue quand il fait chaud… Et il a fait très chaud ces temps-ci !
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Loevenbruck en Dan Brown? Pas trop convaincu !
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Ari Mackenzie travaille aux renseignements généraux comme analyste à la section des sectes. Un ami lui téléphone affolé et lui demande de le retrouver chez lui mais à son arrivée Ari constate qu'il a été tué par la torture. Quelques jours plus tard, il reçoit une lettre de cet ami comprenant un croquis d'un astrolabe et d'un texte en langue picarde. Ses recherches le mènent aux pages disparues du carnet de Villard de Honnecourt, cryptées elles cacheraient un trésor qu'Ari va essayer de découvrir.
Une déception…
J'en attendais trop sans doute moi qui avais adoré « Nous rêvions juste de liberté » un toute autre registre il est vrai.
Ici j'ai été peu convaincue pour toute cette histoire. J'ai trouvé le tout démesuré, tiré par les cheveux, improbable que se soit Ari et ses sentiments amoureux ou l'histoire en elle-même qui mêle le compagnonnage, le nazisme, une société secrète, une loge secrète, une tueuse en série qui liquéfie le cerveau quand même et le tout agrémenté d'ésotérisme et d'un très gros secret qui ne vaut mieux pas connaître. D'ailleurs on ne le connaîtra pas…
Et Ari qui me laisse davantage perplexe quand il est pris de remord après avoir tué un homme qui voulait sa mort mais qui par la suite y va au fusil mitrailleur sans remord sans états d'âme tué une ribambelle d'hommes pour récupérer sa belle.
La fin elle aussi me laisse sur ma faim car comme je l'écrivais plus haut le secret n'est pas dévoilé… C'est dommage quand même ! Tout ça pour ça ! Enfin bon…
Je salue par contre le travail de recherche de l'auteur, il est intéressant de découvrir l'ordre de Thulé par exemple.
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Un français donnant dans le thriller ésotérique me dit-on ?! Super !
Rapide et pleins d'actions, mais ce fut un belle déception quand même, je n'ai pas réussi a entrer completement dans le jeu de Ari le super flic rebelle beau gosse et pleins d'assurance etc etc etc... bref, on dirait un peu les séries policières de télévisions l'après midi. Pourtant l'histoire est bien ficelé et agréable. C'est les personnages qui me sortent par le yeux !
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Ce roman est le premier narrant les aventures d'Ari Mackenzie. L'histoire commence par le meurtre horrible d'un de ses meilleurs amis. Les "méchants" n'ont décidément pas de chance et n'imaginaient pas la réaction qu'ils allaient provoquer !
On l'aura compris, je n'ai pas été séduit pas les personnages, trop caricaturaux. Ari Mackenzie est un héros comme on en voit beaucoup (trop ?) au cinéma : il est fort, il est insubordonné, il est têtu et, en plus, il se pose des questions existentielles sur sa vie et sa petite amie.
Ceci dit, j'ai passé un agréable moment avec ce livre, l'histoire est bien menée : le suspense bien présent et les scènes d'action plutôt efficaces (plus romanesques que réalistes, mais efficaces). A cela, on ajoutera quelques passages sur "l'amour infini d'Ari pour Lola" qui font des intermèdes parfois un peu longuets (que j'avoue avoir lu en diagonale, car j'avais plus envie de connaitre la fin de l'enquête que les états d'âme du héros).
Bref, si vous aimez les films policier de héros où il est question de secrets cachés depuis des siècles et où "à la fin, le héros, il gagne", vous devriez aimer ce roman.
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Avec tous les supers avis lus sur cet auteur et sur cette série décrit comme étant le Dan Brown français, j'ai été déçu. Mis à part, les passages historiques sur Villard de Honnecourt, ce roman n'a rien à envier à Dan Brown. le personnage de MacKenzie est vraiment très (trop) caricatural. C'est le spécialiste de l'ésotérisme qui en fait n'a pas l'air d'y connaître grand chose. Pas sûr que je tente de lire la suite
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