Prédateurs

Je prends toujours plaisir à découvrir les nouveaux auteurs, c'est pourquoi je me suis lancée avec joie dans le tout premier roman de David Loew.
La couverture efficace annonce la couleur... du rouge, du noir, du sombre, du sanglant ! La promesse de ne pas s'ennuyer autour d'un titre choc et parlant... Bienvenue dans Prédateurs !

Comme on est sur un premier roman, prometteur au demeurant, je vais en plus de vous donner les points forts, m'efforcer de vous citer ensuite les quelques petites choses qui m'ont un peu plus gênée au cours de ma lecture pour essayer d'être la plus honnête possible, avec bienveillance, toujours.
On est embarqué dès les premières pages dans une intrigue à 100 à l'heure, on sait tout de suite que l'action, le suspense et les rebondissements seront sur le devant de la scène, et ça j'adore !
David s'arme d'une plume moderne, plutôt fluide, directe et sans fioritures. Il semble savoir aller à l'essentiel malgré la taille du roman (plus de 500 pages tout de même) sans omettre de nous servir également de belles descriptions détaillées et colorées pour nous immerger dans son décor.
On est plongé dans un univers soigné, où rien n'est laissé au hasard, l'auteur a pris la peine de bien se documenter pour nous en mettre plein la vue. L'intrigue est très noire, parfois limite choquante, il ne nous épargne pas, mais... c'est judicieusement amené. J'ai aimé les émotions ressenties, les personnages atypiques, aussi attachants qu'agaçants ou... troublants, mais je vous laisse les découvrir sans trop en dire. Vous aussi, vous allez les aimer ou les détester... Car oui, le tueur, le " Chasseur", est effroyable et croyez-moi certaines scènes violentes ou descriptions macabres nous glacent le sang ! L'atmosphère plus qu'angoissante, anxiogène, s'ajoute au déroulement rythmé de l'intrigue, c'est plutôt bien géré. J'ai apprécié l'humour disséminé au fil des mots, ça fait parfois retomber la pression et rend l'horreur plus... tolérable. David sait aussi nous concocter une enquête aux petits oignons, avec des côtés originaux puisqu'elle est menée de front par deux amis, un flic et un détective privé. J'ai apprécié leur relation, et leur complémentarité qui apportent beaucoup de saveur à l'histoire. On sent tout le désir de l'auteur de vouloir bien faire, d'y glisser beaucoup de lui-même autour des émotions de ses personnages. le suspense est bien présent, les retournements de situation nous tiennent en haleine. J'ai avancé dans la lecture, désireuse de savoir ce qui allait se passer et surtout connaître le fin de mot de l'histoire... qui m'a éclaté à la figure ! Qu'on se le dise ! C'est vraiment une révélation de dingue... mais... Chut ! À vous de le lire pour le savoir... J'ai vraiment apprécié l'audace de ce jeune auteur, de secouer les codes, d'avoir le courage de présenter quelque chose d'aussi original aux lecteurs. Rien que pour ça je lui tire mon chapeau.

Là où, en revanche, je perçois quelques maladresses de jeune auteur (sous-entendu autoédité qui n'a pas encore eu l'occasion de bénéficier d'un travail éditorial de fond et/ou les moyens pour une collaboration étroite avec un correcteur professionnel tout ça tout ça...), c'est plutôt concernant la forme, mais je m'explique (toute humble correctrice que je suis).
L'auteur fait le choix de prendre des libertés concernant les types de narrations (pour le besoin de son intrigue), et j'avoue que moi je préfère lorsque cela est bien fixé, j'ai été déroutée d'être baladée tantôt dans une narration omnisciente, tantôt dans une narration interne (puisque notre personnage nous parle directement) ou même les deux mélangées -- quand le personnage n'est pas présent physiquement mais sait absolument tout, ou est en train de dormir et qu'il raconte en détail tout ce qui se passe autour de lui ou même carrément ce que son ami ressent, alors qu'il ne peut logiquement pas en avoir conscience... Ça me casse un peu le réalisme immédiat, et ça me fait tourner la tête. J'aime la narration à la première personne quand elle se justifie réellement et je trouve qu'ici, l'auteur, semblant être plus à l'aise avec l'externe dans certains passages, aurait pu nous livrer un récit entièrement omniscient à la 3e personne, beaucoup plus vraisemblable et cadré pour faire exploser le réalisme.
Ensuite, outre les quelques coquilles restantes, concordances ou répétitions à revoir, et erreurs typographiques (car j'ai lu la première version du roman qui a déjà été revu depuis), j'ai été (et ça m'arrive souvent dans les nouveaux écrits) perturbée par cette cohabitation de certains temps comme les passés composés mêlés aux passés simples, ou la présence des futurs, parfois au sein de mêmes phrases, je sais que pour certains cela rend le récit plus vivant mais... je suis -- et je le reconnais -- certes rigide sur le style et les codes de base de la littérature, mea culpa, et c'est une remarque totalement subjective et assumée. J'accorde vraiment de l'importance au style, aux temps du récit, parce que sinon je n'arrive pas à être totalement captivée. J'ai carrément besoin de ces "bases" littéraires, même pour nos contemporains.
Pour en finir avec les maladresses, j'ai parfois trouvé que l'auteur nous servait avec trop de froideur des explications excessivement techniques, pas forcément utiles à l'essence du récit, notamment en anatomie, médecine légale ou armement... Je n'en avais pas besoin pour apprécier le roman et j'y ai senti quelques longueurs du coup... Pour ne citer qu'un exemple : la tirade du choix du fusil d'Axel lors de son intégration. Ce genre de passage me semble inutile, un poil lourd et va avoir tendance à me perdre, à laisser mon attention s'échapper. Encore une fois, ça n'engage que moi et ça plaira sans aucun doute aux lecteurs masculins.

Pour terminer sur une note très positive, je tiens à féliciter l'auteur pour ses dialogues, travaillés et réalistes, ils sont un pur bonheur à lire. On s'y croit, et encore une fois, ce côté immersif se veut délicieux. Alors bravo (d'autant que l'équilibre entre récit et dialogue se montre hautement respecté et parfait pour être happé par son univers) !

Tout ceci n'est bien sûr que mon simple avis personnel, en espérant que l'auteur saura y voir les compliments qu'il mérite et y dénicher quelques conseils ; n'hésitez pas à vous laisser aller à la découverte à votre tour, bien évidemment.
Merci David pour ta confiance, j'en suis très touchée, et je ne peux que t'encourager dans ton envie (et ton besoin) de nous partager ton imaginaire. Vite le tome 2 !

Un thriller très efficace !
Deux périodes dans ce livre : le présent (« aujourd'hui ») sur lequel le livre s'ouvre (et se fermera) et le passé, 6 mois auparavant, du 24 février au 6 mars, passé qui est le centre du livre.
Nous allons faire la connaissance d'Axel, le narrateur. Un détective privé, ancien flic tireur d'élite. Lors d'une filature pour une cliente,il tombe par hasard sur un personnage appartenant au passé (qui ? vous le saurez à la fin du livre !) C'est alors qu'il se met à raconter son histoire.
Dépressif, mal dans sa peau depuis qu'il ne vit plus avec sa femme et son fils, il est invité à passer une semaine chez un ancien collègue, Philippe, qui est toujours dans la police et a pris des congés pour être avec son ami. Axel pensait décompresser, mais c'est foutu ! Les congés de Philippe sont annulés, il se retrouve en charge d'une affaire de meurtre. Un meurtre sanglant et horrible qui sera bientôt suivi par un autre … Philippe demande alors de l'aide à Axel, étant donné son passé d'excellent policier.
L'équipe, qui se compose de Philippe et d'Axel, ainsi que de Clotilde, Gilbert et Pascal, sans oublier Marc, le légiste, va avoir beaucoup à faire pour tenter de trouver une piste leur permettant de mettre la main sur ce tueur en série baptisé le chasseur. Ils n'auront aucun répit, pas plus que vous, lecteurs, lorsque vous aurez tourné la première page.
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Le début du livre nous présente le contexte et les protagonistes, nous dévoile leurs forces, leurs faiblesses, leur amitié, le côté « je plaisante » de Gilbert qui essaye tant bien que mal d'alléger le poids qui pèse sur leurs épaules. Parce que l'atmosphère est pesante, les crimes barbares et que l'équipe a besoin d'évacuer un peu la tension, pour mieux pouvoir se reconcentrer ensuite. Un côté psychologique fort bien détaillé qui fait que l'on s'attache rapidement. On est à leurs côtés, dans leur enquête et nous sommes nous aussi plongés dans cette traque. Qui, pourquoi, comment ? Des questions qui vous hanteront tout au long du livre.
Profitez bien de ces quelques pages «calmes du début, parce qu'ensuite, après la découverte du corps, les choses vont s'accélérer et lâcher le livre deviendra presque impossible… La tension s'installe petit à petit et va continuer de monter jusqu'au dénouement, que je vous défie de deviner ! Si vous saviez !!!!....
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Outre l'histoire en elle-même, il y a une chose que j'ai beaucoup appréciée dans ce livre. Les dialogues. David a su les rendre très vivants et réalistes, en utilisant un vocabulaire du langage parlé qui tranche avec le côté narration. C'est vraiment très agréable à lire.
En bref, un excellent moment de lecture avec ce premier thriller de David Loew. Vivement le prochain !!!

Bonjour,
Mon retour sur Prédateurs de David Loew.
Pour un premier roman, l'auteur a placé la barre très haut et m'a totalement piégé dans son univers
J'avoue y être allée un peu à reculons quand j'ai vu qu'il avait fait le choix de la première personne. Rares sont les thrillers qui ont cette approche. J'ai très vite oublié mes craintes.
Le roman commence de nos jours puis nous revenons 6 mois en arrière. Axel, ancien de la BRI, vient passer quelques jours chez son ami Philippe, flic lui aussi. Axel est en pleine remise en question. Mais le séjour chez Philippe ne va pas être de tout repos, car le corps d'un marginal va être retrouvé, puis ça sera deux autres morts.
Sans donner trop de détails, David Loew décrit les scènes tellement bien que je m'y suis vue à jouer les flics devant des corps atrocement mutilés pour tenter de savoir qui est ce tueur sanguinaire.
Je me suis totalement identifiée à cette équipe de flics tous plus attachants les uns que les autres. L'auteur a travaillé leur psychologie et a joué plus sur les ressentis que les descriptions et c'est un très bon point pour moi.
Les dialogues entre potes sonnent plus vrais que nature. N'allez pas me dire que vous n'avez pas des amis avec qui vous faites des blagues vaseuses et avec lesquels vous vous marrez comme des gamins. ! Axel et Philippe, Gilbert ou Marc sont ces potes-là et je me suis vraiment imaginé intégrer leur duo pour des soirées à disserter sur ce prédateur qui rode tout en riant comme une gourde à leurs bêtises.
David Loew laisse aussi une très belle place aux femmes et n'en fait pas que des personnages secondaires. Elles sont présentes surtout dans la vie de Axel, et je vous laisse découvrir pourquoi.
Tous les personnages, sans exception, sont vrais et David Loew leur donne une réelle existence.
J'ai totalement adhéré à la plume pleine d'humour , addictive et incisive de l'auteur. Je retiens surtout qu'il a non pas une écriture simplement visuelle, mais une véritable plume cinématographique. Je n'étais pas dans un roman, j'étais à 100% dans un film.
J'applaudis le choix de l'auteur d'appuyer sur le fait que peut-être nous sommes entourés par des gens dont on ne se méfie pas du tout, bien différents de nous, et qui sont parfois soumis au Mal sans l'avoir vraiment voulu.
Il y a des thrillers avec lesquels on passe un bon moment et il y a LES thrillers qui vous font presque oublier qu'il faut respirer entre deux scènes. Prédateurs est de ceux-là.
Alors bien sûr c'est un premier roman et il y subsiste des maladresses, mais bon sang que j'ai aimé cette immersion dans cette enquête sur les traces de ce tueur. Et une fois découvert j'ai éprouvé une grosse vague d'empathie pour lui.
J'ai eu à plusieurs reprises ce petit frisson qui monte en moi quand je sens que je tiens dans la main un très bon thriller.
David Loew ! Gardez ce nom à l'esprit. Je vous assure qu'il va faire parler de lui et au potentiel qu'il a déjà, son nom se fera une place parmi les auteurs de thrillers qu'il vénère.
On en reparle donc !

MON AVIS : Un 1er roman pour l'auteur qui a déjà tout d'un grand . Un thriller avec une parfaite maitrise du suspens , une construction narrative qui vous plonge dans l'histoire dès les premières pages, des personnages attachants crédibles . Un livre lu d'une traite et pourtant gros format . David nous propose un thriller noir , des scènes de crimes rudes mais qui grâce à l'humour très présent dans ce livre allège l'ambiance avec une fin qui va en laisser plus d'un sans voix...Le roman se passe sur 2 axes temporels . le livre débute par « de nos jours ». Nous allons faire connaissance avec Axel l'un des personnages clés qui est détective et en pleine filature quand surgit devant lui un personnage du passé . Qui ? Vous le saurez plus tard ... le reste du livre avant de revenir au présent se passe 6 mois avant entre le 23 février et le 6 mars . Axel ancien membre de la BRI et tireur d'élite est dans une période de remise en questions et de doutes . Il se rend quelques jours chez son ancien collègue et ami philippe commandant à la Crime histoire de décompresser un peu . Des retrouvailles qui vont très vite prendre une tournure imprévue . le corps d'un marginal est retrouvé sans vie dans la forêt . Un crime d'une cruauté hors du commun . Ce n'est pas 1 mais 3 crimes en 3 jours tous d'une cruauté inimaginable qui vont s'enchaîner . Philippe demande de l'aide à son ami, compte tenu de son passé à la BRI, pour l'aider à traquer ce tueur sanguinaire , l'homme à la capuche très vite surnommé le « Prédateur ». Ce qu'ils vont découvrir sur les méthodes de ce tueur psychopathe va leur retourner les tripes . Soyez bien accroché . Nous allons suivre philippe et son équipe composée de Gilbert , Pascal , Clothilde . Sans oublier le médecin légiste Marc . 3 meurtres sans liens apparents ... Que vont il découvrir ? 3 morts en 3 jours pas le temps de s'endormir . Vous non plus d'ailleurs car une fois la 1ère Page tournée vous ne pourrez plus lâcher le livre avant la fin. Vous êtes embarqué dans ce thriller sans temps morts dont certains vont y laisser des plumes ... l'utilisation du « je » dans le livre nous permet d'être au plus proche de nos personnages. On a l'impression d'être un membre de l'équipe et ce « je » nous plonge dans une ambiance anxiogène. Nous rentrons dans l'histoire dès le début et voulons connaître le pourquoi du comment . La chasse à l'homme peut commencer . le prédateur devient à son tour la proie et notre équipe des prédateurs .Des scènes difficiles , rudes , une enquête parfaitement menée dans laquelle nos personnages vont quelquefois vider leurs tripes eux aussi . le coté psychologique des personnages tient une part importante et est bien détaillé. Des passés tumultueux, des histoires d'amour passées et présentes. Les personnages sont attachants. Axel qui vit un divorce difficile , souffre des relations inexistantes avec son fils et le rend très attachant . Lui et philippe forment un duo dont l'humour , le professionnalisme vous touchera et vous fera passer par de bons moments de rire. Pascal est le hackeur et beau gosse de l'équipe . Gilbert le personnage digne d'un personnage de San Antonio à cette particularité de donner des surnoms aux tueurs sans oublier notre duo de copains à la fois surnommés « les Dalton » , « Laurel et Hardy » et j'en passe . Les femmes auront également une place importante dans cette histoire au travers Cathy , Alexa et Sarah que je vous laisse découvrir . La plume de l'auteur est directe , incisive avec beaucoup d'humour. Pas de chichi le style est direct et je valide . Un vrai gros coup de coeur pour ce livre qui du début à la fin ma tenu en haleine jusqu'à une fin que je vous laisse découvrir ...
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L'auteur signe ici son premier polar et je dois reconnaitre que c'est une belle réussite.
C'est une histoire pleine de rebondissements avec une intrigue surprenante, menée avec beaucoup de brio.

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Axel Kayl, détective privé et ancien de la BRI (Brigade de recherches et d'interventions) rejoint son ami et ancien collègue Philippe afin de passer quelques jours avec lui.
En effet, Axel est en pleine dépression, il vient de se séparer de sa femme et son fils ado lui en veut terriblement.
Il compte donc sur son meilleur ami pour lui changer les idées.
Mais Philippe, commandant à la SRPJ, va être appelé sur le lieu d'un crime violent qui va l'affecter énormément.
Il n'aura pas d'autres choix que de mener l'enquête qui va s'avérer compliquée, d'autant plus que les cadavres vont s'enchainer. Tous ces crimes auront pour point commun une grande violence. Toutefois, de nombreuses incohérences vont être mises à jour et l'enquête va alors piétiner.
Pour couronner le tout, le suspect va faire preuve de capacités exceptionnelles et s'avèrera difficile à appréhender.
Philippe va donc faire appel à son ami Axel pour l'assister dans son enquête.

Ce qu'il ne sait pas encore c'est que cette enquête, la plus difficile de sa carrière, va bouleverser leurs vies à tout jamais.

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L'auteur nous propose ici un récit à la première personne : c'est Axel qui vous raconte cette histoire, cette enquête qui a eu lieu il y a six mois.
Ce type de narration nous donne l'impression d'être dans la confidence, d'être un témoin indirect des scènes.
Si au début, j'ai trouvé la relation "pote" entre Axel et Philippe un peu gentillette, je dois reconnaitre que c'est une ruse de l'auteur pour nous plonger de façon plus abrupte dans l'horreur à laquelle ils vont devoir faire face,
Il distille également quelques doses d'humour afin de nous livrer plus facilement son récit qui se veut, au final, dramatique.
David Loew a une écriture rythmée, efficace, il gère très bien les évènements et les informations qui nous sont données.
Tout comme pour les enquêteurs, il nous emmène vers de fausses pistes et nous sommes comme eux, perdus !
Impossible de deviner ce qui nous attend. Et ça j'adore !
Cette complicité qui m'avait gêné, au début, s'avère en fait efficace car les personnages se révèlent attachants, touchants. Et cela est valable pour tout les enquêteurs.
Je dois reconnaitre que mon intérêt s'est accru au fil des pages et d'autant plus lorsque les révélations, inattendues, nous sont faites.
Je suis reste scotchée car je n'ai rien vu venir.
J'arrive donc aux dernières pages, malgré moi, car je n'ai pas envie que ce soit déjà fini.
Il y a encore des questions pour lesquelles je n'ai pas de réponses et c'est donc avec beaucoup d'impatience que j'attends le tome 2.
Vous l'aurez compris, David Loew signe ici un excellent polar que je ne peux que vous recommander.
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