La Datcha

J'ai tout lu de Martin Lugand.
Mais j'avais de moins en moins adhéré à ce qu'elle écrivait et avais vraiment été déçue par son dernier, « résilience ».

Du coup, j'ai longuement hésité à me lancer dans « la Datcha » mais ce titre m'attirait beaucoup alors...je lui ai laissé sa chance!

Malgré quelques longueurs de ci, de là, j'ai retrouvé la jolie plume tout en douceur de @agnesmartinlugand.auteur et ce côté enveloppant qu'elle dégage.

Plus je tournais les pages, plus je m'y plongeais car plus elles prenaient de l'épaisseur.

Une lecture remplie d'humanité qui nous berce et nous fait prendre le temps.

Lire la Datcha, c'est un peu s'y abandonner finalement.

J'ai donc renouer avec cette auteure et apprécié cette lecture même si elle ne détrônera pas «les gens lisent et boivent du café»

Petit plaisir bonus: toutes ces expressions et mots russes distillés si savamment que j'avais la sensation de les entendre tout droit sortie de la bouche du personnage. Un véritable voyage!

Une fois qu'on est entré à La Datcha, on n'a plus envie d'en sortir. Agnès Martin-Lugand m'a transporté dans cette ambiance familiale, et je me suis attachée à ses personnages vrais et entiers, qui sont de ceux qu'on ne peut oublier. Une merveilleuse lecture envoutante, pleine d'émotion.
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Et si une rencontre pouvait changer une vie ? C'est ce qui est arrivé à Hermine. Elle aurait pu ne pas y croire, ne pas suivre cet homme, Jo, qu'elle ne connaissait pas. Et pourtant...
Alors qu'elle n'avait pas de logement, ni de travail, Jo et sa femme lui ont ouvert leur hôtel, La Datcha. Un travail et un logement c'est en effet ce qui manquait à Hermine. Mais pas que... Avec Jo et Macha, elle se trouve une famille qu'elle n'avait pas. Au fur et à mesure du temps, Hermine apprendra et grandira. Elle trouvera son équilibre.

Et si un lieu, La Datcha, peut tout changer ?

Une datcha désigne, en Russie, une sorte de résidence secondaire à la campagne. La Datcha est ici un foyer, un havre de paix et un lieu de retrouvailles.

Je me plonge avec grand plaisir dans le dernier roman de cette auteure que j'aime tant. Je retrouve sa plume remplie d'émotions pour une histoire touchante.

Les protagonistes, avec leurs histoires, leurs forces et leurs faiblesses sont attachants. L'auteure nous les décrit avec beaucoup de sensibilité.

J'aime beaucoup l'ambiance de ce roman : le soleil et la piscine sont à portée de page. J'ai envie de parler russe et de danser sur des chansons tziganes. La cuisine de Charly me semble délicieuse et j'ai l'impression que je serai bien accueillie au sein de la Datcha.

Le récit me plaît : tendre, touchant et émouvant. Un roman teinté d'espoir, de bienveillance, d'amour et d'amitié.

C'est toujours un réel plaisir de retrouver l'auteure. Je vous conseille cette lecture.

Encore un super moment avec le dernier roman d'Agnès Martin Lugand. La Datcha et ses résidents nous emmènent en Provence avec beaucoup de tendresse, de respect et d'amour. de belles larmes, de beaux sourires nous attendent au fil des pages. Comme toujours, j'adore !

Cela faisait un petit temps que je n'avais plus lu du Agnès Martin Lugand... Mais j'apprécie toujours autant sa plume et ses personnages attachants. Il est ici question d'une jeune fille qui traine la fameuse casserole de l'abandon. Engagée dans un hôtel, Hermine laisse lentement tomber ses carapaces et devient un peu la fille adoptive des propriétaires qui la prennent sous leur aile. Les années passant, elle a 2 beaux enfants malgré sa séparation avec Samuel. Mais au décès des propriétaires, son avenir est à nouveau incertain et la réapparition de Vassily, le fils de ses patrons, la déstabilise totalement.Beaucoup de sensibilité sans tomber dans la sensiblerie... J'ai dévoré ce roman.

Hermine, 21 ans, perdue et à la rue, cherche une direction à sa vie. Dans un bar, elle tombe sur Jo, qui lui propose un poste de six mois dans son hôtel, La Datcha.

Jo et Macha vont lui ouvrir les portes de leur maison, et de leur coeur. Les six mois vont finalement durer vingt ans. de douces décennies à danser, s'aimer et se réparer… Mais ne dit-on pas que toutes les bonnes choses ont une fin ?

J'ai adoré mon séjour auprès de Golubka, l'ambiance, les fêtes, les guirlandes guinguettes… Comme dans chaque roman d'Agnès Martin-Lugand, je me suis sentie immergée dans l'histoire, comme si, par magie, j'y étais aussi.

Ce livre, un condensé d'émotions, une ode à la famille, aux liens du coeur et à l'amour est une merveille.

Nous connaissions bien la plume de Agnès Martin-Lugand, pour avoir lu plusieurs de ses romans. Notre préféré : La Déraison, que nous avons toutes les deux lu en quelques heures (désormais détrôné). Mais nous ne savions rien de ce livre, sauf que c'était une belle histoire!

🍁 : d'ailleurs, avant de le lire, je me suis refusée à regarder la quatrième de couverture.

Verdict : on retrouve les codes de l'auteur. Un personnage central féminin, une reconstruction, et une histoire d'amour. Mais, ce que nous avons aimé c'est que l'histoire d'amour est entre Hermine et La Datcha.

Hermine est une jeune fille vivant dans la rue. Elle croise par hasard la route de Jo, qui tient avec sa femme Macha, un hôtel - vieille ferme provençale rénovée - baptisée La Datcha, en hommage aux origines de Macha.

Elle ne devait y rester que pour 6 mois ; elle y restera plus de 20 ans, trouvant enfin une famille d'accueil auprès de laquelle elle se sent bien.

Qu'est-ce qui lie les personnages? Vassily, le fils aîné  qui a fui la Datcha pour s'installer à Singapour, Samuel dont Hermine est séparée ? le secret sera bien gardé, jusqu'aux aveux de Vassily, tiraillé entre amour et culpabilité.

Nous nous sommes laissées porter par la magie de ce lieu enchanteur, par la chaleur de l'ambiance familiale qui y règne. La Datcha, plus qu'un lieu est un personnage à part entière ! Elle est le grand Amour d'Hermine.

Nous nous sommes senties bien dans cette Provence où le soleil brûle, où les cigales stridulent ; avons imaginé facilement les oliviers dansant dans le vent, et le Mont Ventoux, le Lubéron ; nous avons entendu la voix de Jo fredonner La belle vie, et Macha nous dire : Goloubka, tout ira bien !

Nous nous sommes attachées aux personnages, et avons encore du mal à les laisser partir.

🌷 : J'ai pleuré, oui ! Les émotions si bien décrites par l'auteure sont intenses ! Elles m'ont submergée !

Il ne nous reste qu'un seul regret : que la Datcha n'existe pas! Nous aurions volontiers posé nos valises ! Nous nous serions senties bien
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Très belle histoire, avec des descriptions du domaine et des paysages qu'on imagine magnifiques. Les personnages sont attachants et authentiques. Je n'ai eu aucun mal à plonger dans ce roman et un peu plus à en sortir. J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce livre.

L'histoire d'un hotêl. Qui montre le pouvoir d'un lieu, l'importance qu'il peut occuper dans une vie.
Dans ce roman, ce ne sont pas des aventures trépidantes. Même s'il y a un peu de suspense, le livre ne repose pas là-dessus. C'est la vie de cet hotêl, animé par ses propriétaires iconiques, qui nous emporte dans la campagne du Luberon.

L'écriture est simplement belle, les descriptions prenantes donnent réellement vie au lieu.

Malgré les sujets difficiles abordés - perte d'êtres chers, deuil, séparation d'un couple avec enfants - ce qui est ressorti de ma lecture est de la douceur, de la mélancolie.

Les personnages sont très bien développés, ce sont eux qui portent le récit, et je m'y suis beaucoup attachée. J'étais happée par ma lecture que je ne voulais pas laisser, et le seul point négatif pour moi est que j'aurais voulu rester plus longtemps auprès d'Hermine, Jo, Macha et des autres personnages qui font la grande force de ce livre.

La Datcha est donc une très belle découverte. C'est devenu un beau coup de coeur. C'était mon premier roman d'Agnès Martin-Lugand, et ça ne sera pas le dernier.