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Il y a quelques années, la sortie du film "Valérian" avait réveillé quelques souvenirs de jeunesse, quelques bandes dessinées qui avaient été à la source de ma passion d'ado pour les "comics" et plus tard pour la science fiction.
L'avantage de fréquenter une médiathèque, et j'ai le temps depuis que je suis à la retraite, c'est que le rayon bandes dessinées y est particulièrement fourni, et au prix des BD actuelles c'est assez avantageux, surtout quand on en lit peu comme c'est mon cas.
C'est à cette occasion que j'ai pu redécouvrir Valérian, une pointe de nostalgie faisant le reste, je me suis donc replongé dans la série.
Il faut dire que je me remet doucement aux bulles depuis six mois avec une petite dizaine au compteur, une redécouverte en somme.
Pour Valérian, on est assez loin des standards actuels côté dessins et bulles, les bulles notamment occupent souvent une bonne moitié des cases qui sont elles mêmes plutôt petites par rapport à ce que l'on peut voir aujourd'hui, le dessin s'adaptant souvent au texte.
Il faut dire justement qu'en cinquante ans la BD a évolué, j'ai trouvé ici que le scénario était de qualité, et que l'abondance du texte servait remarquablement l'intrigue. Côté dessin, nous sommes dans des graphismes vintages mais pourtant bien sympathique, bien adaptés au ton léger des aventures de nos deux héros.
Valérian et Laureline sont des agents spatio-temporels, ils sont envoyés dans le passé pour arrêter Xombul, un savant fou qui s'est échappé du futur, ils doivent le retrouver avant que celui-ci ne puisse agir et modifier l'avenir.
Une lecture sympathique qui n'a pas tant vieilli que ça, à mon grand étonnement, mes souvenirs étaient quasiment intacts, une belle récréation en somme.
Cette série compte 23 volumes, je pense revenir assez vite dans cet univers rafraichissant.
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Bon, c'est pas encore pour cette fois.

Pas de space-opera pour Valerian et Laureline. Ils sont encore missionnés pour un potentiel dérèglement de l'Histoire par le même ignoble Xombul du tome précédent (précédent le tome 1 ? Ben oui, il est noté hors série).
Cependant cet épisode typé Patrouille du temps m'a enchanté.

L'histoire est quand même futuriste car le passé dans lequel se passe l'action est cependant dans le futur du lecteur. Enfin… du lecteur de 1968, car il s'agit d'une année 1986 apocalyptique. le décor de New York envahie par les eaux, menacée par un ultime raz-de-marée, où maraudent de dangereuses bandes de pillards, est terrible et splendide. Un décor fait pour l'action. L'apocalypse se déploie ensuite plus à l'ouest : tremblements de terre, volcans, on est en plein film 2012 de Roland Emmerich. C'est la fin de notre civilisation, qui permettra la naissance de celle de Valerian et Laureline.
Je ne vais pas rentrer dans les détails. L'album fourmille de rebondissements, de rencontres, avec des robots inquiétants et des pillards avec qui ont peut discuter. Laureline est la seule présence féminine mais est loin d'être potiche. Sans elle Valerian aurait passé l'arme à gauche plus d'une fois.

Je n'ai pas boudé mon plaisir.
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Valérian et Laureline, c'est une bande dessinée de science-fiction, mais c'est sans doute le plus grand space-opéra créé en bande dessinée.
Valérian et sa compagne Laureline sont des agents du service spatio-temporel de Galaxity, mégalopole du 28ème siècle : "Galaxity, métropole du futur et capitale de l'empire galactique terrien.".
La Terre a changé du fait de catastrophes nucléaires et la technologie a fortement progressé, le voyage dans le temps (passé ou futur) étant désormais possible, mais c'est aussi un monde prospère et quelque peu oisif qui a vu le jour : "L'âge des loisirs est définitivement venu, mais le service des agents spatio-temporels - service dont font partie Valérian et Laureline - fait preuve d'une activité incessante.".

Pour cette première aventure, Valérian est envoyé à New-York en 1986, ville envahie par les eaux, ravagée par un cataclysme d'origine nucléaire où il ne reste que peu de survivants, à la recherche de Xombul, un dangereux prisonnier politique qui vient de s'évader, de voler un astronef spatio-temporel et dont le but est de modifier le passé pour devenir le dictateur de la société.
Il sera rejoint très vite par Laureline et c'est plutôt tant mieux pour lui, car ils sont sur bien des aspects l'opposé de l'un et de l'autre.
Valérian a un petit côté macho : "Au fond, j'ai toujours pensé que le service devrait être exclusivement réservé aux hommes, vous êtes trop malignes pour nous ...", il est sûr de lui et agit sans trop réfléchir aux conséquences.
A contrario, Laureline est plus posée, plus calme, elle réfléchit plus avant d'agir, ce qui lui permet de sauver Valérian quand il a foncé tête baissée quelque part sans réfléchir.
Mais attention, la demoiselle a aussi son caractère et est l'équivalent féminin de Valérian et non pas son faire-valoir, ainsi venant d'être miniaturisée par Xombul elle trouve encore le moyen de se disputer avec Valérian : "Mais je te parle idiot ! Je ne peux pas crier plus fort !!! Fais quelque chose pour moi ! J'en ai assez, c'est toujours aux filles qu'il arrive des choses pareilles !".
Ces deux personnages fonctionnent très bien ensemble et sont aussi attachants l'un que l'autre, il est d'ailleurs difficile d'imaginer Valérian sans Laureline alors qu'à l'origine Laureline ne devait pas apparaître dans les autres volumes.
Edité en album pour la première fois en 1970, l'histoire se posait véritablement comme de la science-fiction en ayant fait subir à la Terre des cataclysmes nucléaires.
Depuis, il y a eu l'accident de Tchernobyl en 1986 et d'autres incidents dans des centrales nucléaires, pourtant la Terre est toujours là, tout comme la ville de New-York.
Cette ville est un personnage à part entière pour ce premier volume des aventures de Valérian et Laureline, et même si elle est sous les eaux, quasiment inhabitée, ses bâtiments et ses gratte-ciels se reconnaissent très bien.
Les dessins de Jean-Claude Mézières sont de toute beauté, retranscrivent très bien l'atmosphère et l'univers de la science-fiction, et n'apparaissent pas comme dépassés ou démodés.
Le scénario de Pierre Christin ne connaît pas de temps mort, il prend le temps de présenter les personnages et de mettre en place l'action, si bien que le lecteur arrive tout de suite à s'imprégner de l'histoire et à entrer dedans.

Je connaissais de nom la saga Valérian et Laureline, agents spatio-temporels, mais je n'avais pas encore lu un seul volume de cette série.
Désormais c'est chose faite, j'ai été séduite par les personnages et par l'imaginaire de science-fiction développé, cette série mérite vraiment d'être découverte, aujourd'hui je me demande même pourquoi je ne l'ai pas fait plus tôt.
Lien : http://lemondedemissg.blogsp..
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Cette BD a été publiée en 1967 mais avec l'arrivée au pouvoir de Donal Trump, cette BD est devenue d'actualité. Dans la BD, la calotte glacière a fondu à cause d'un accident nucléaire. Dans notre réalité, elle risque de fondre parce que le président des Etats-Unis a décidé de gouverner comme s'il n'y avait aucun risque de réchauffement de la planète.

Valerian et Laureline viennent du futur chercher un criminel qui a réussi à aller en 1986 pour assurer son contrôle sur la terre. On laisse de côté le paradoxe du voyage dans le temps et on profite de cette balade dans New York engloutie sous les eaux. C'est exactement comme je l'avais imaginé dans mes fantasmes. Une Venise surréaliste. Vous entrez chez vous par une fenêtre du 5e étage.

C'est une BD très agréable à lire si on accepte de vivre dans un monde fantaisiste.
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NAISSANCE D'UN MYTHE.

Valérian et son adjointe Laureline (on est en 1967, n'est-ce pas ? On nage déjà en pleine SF, on ne va pas, en plus, mettre un homme sous les ordres d'une femme, faut pas pousser) profite d'un repos bien mérité après une hypothétique mais épuisante mission sur Vénus. Nous sommes en 2720 sur Galaxity, capitale de l'empire galactique terrien ; les temps sont à la civilisation des loisirs, sauf pour les agents spatiaux-temporels qui, bénéficiant des voyages instantanés dans l'espace-temps, veillent au grain afin d'assurer la sécurité de la terre et de l'empire. Pourquoi une telle prudence ? C'est que la terre, en 1986, a déjà été la proie d'un immense cataclysme directement dû à la folie des hommes et à leur propension à faire mumuse avec des forces qui les dépassent, en l'occurrence avec des bombinettes nucléaires mal entreposées dans la région du pôle nord. Celles-ci vont, toutes bombes qu'elles sont, exploser, et transformer à jamais notre planète...

Dès les premières planches de ce premier volume, La Cité des eaux mouvantes, l'un des "couples" parmi les plus célèbres de la bande-dessinée franco-belge, le dessinateur Jean-Claude Mézières et le scénariste Pierre Christin fixent les éléments que l'on retrouvera au fil des albums :

- Des voyages spatio-temporels (avec tout ce que cela peut engager de partis pris et d'impossibles cartésiens)
- de la pure SF, tendance space ou planet opera
- Des mondes, des planètes, des civilisations et des êtres hautement improbables mais originaux.
- Des rapports de couple assez détonant (et moins déséquilibré qu'il y parait)
- Des méchants très méchants et des gentils qui gagnent à la fin. Heureusement, on croise aussi pas mal de personnages sachant jouer d'une grande ambiguïté de caractère.
- Une série entamée en 1968 pour un public "jeunesse" puisque dans le magazine Pilote (Pour mémoire, c'est dans cette revue qu'ont été créées de nombreuses séries à grand succès, au premier rang desquelles Astérix d'Albert Uderzo et René Goscinny, Tanguy et Laverdure de Jean-Michel Charlier et Uderzo puis Jijé, Achille Talon de Greg, Blueberry de Jean Giraud et Charlier, etc)

À partir de ces quelques données élémentaires, on adhère ou on referme de suite, au risque de ne voir que les illogismes, de l'irrecevable, de l'extravagant.

Mais reprenons : Nous sommes en 2720 et les affaires reprennent pour nos deux agents spatio-temporels. L'affreux Xombul, un ancien dirigeant de Galaxity qui souhaite en prendre le contrôle par tous moyens, s'est échappé de sa prison. Il semble être revenu à ce lointain passé de l'immédiat après apocalypse terrestre. La planète est presque totalement engloutie sous les eaux (ce qui donne droit à une vision des rues de New-York noyées et colonisée par la mangrove assez savoureuse). Quant à ce qui dépasse encore sans être noyé, c'est à la sécheresse qu'elle doit de mourir à petit feu. Bref : le bonheur sur terre !

Mais c'est aussi vers cette période que les historiens de la future Galaxity placent les prémices de la technologie temporelle. Raison probable pour laquelle le méchant absolu qu'est ce Xombul tente de s'en saisir avant tout le monde...

Avec ce retour dans le temps, Mézière et Christin vont nous faire partager leur vision d'un monde d'immédiat post-apocalypse. Un monde où presque tout est permis pour survivre, ou des gens cultivés deviennent de vulgaires malfrats, où de vieux cow-boys aux allures d'acteurs hollywoodiens (Mézière est un accroc au far-west) s'en tiennent à leurs habitudes pour tenir le coup, où des robots stupidement obéissant vous empêchent de mener votre enquête rondement... Un monde où notre planète est ravagée, noyée ici, en flamme-là, détruite par d'impressionnants séismes plus loin.

Quant à l'aventure elle-même, pour un peu qu'on se laisse porter par un dessin qui se cherche encore un peu, surtout en ce qui concerne les traits des personnages paressant parfois sortir d'une aventure de Spirou, par un dessinateur venu par hasard à la BD : impressionné par le coup de crayon magique de son ami Jean Giraud, en compagnie duquel il suivit des cours aux arts appliqués (n'oublions pas qu'en ces temps lointains, la BD n'était pas considérée comme quelque chose de bien sérieux. Pas pour un "métier" en tout cas !), il avait abandonné tout espoir de faire carrière dans ce genre pourtant si mal considéré alors. de fait, il y vint par le biais de la bande-dessinée humoristique, dans la lignée d'un Franquin et d'une revue étasunienne. Il le dit d'ailleurs lui-même plus tard : «Mais je me rendais bien compte que mon dessin humoristique, très influencé par le magazine satirique mad, ne collait pas à la science-fiction».

Rassurons-nous : la mise en scène graphique, le sens de la profondeur, de l'intrigue, du suspense évident du jeune dessinateur, servi par un scénariste doué, subtil, aux influences tant littérairement classiques que contemporaines de son époque font de ce premier album, malgré ses petits défauts et travers, un véritable coup de maître. La légende Valérian est en marche !
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En prenant narrativement la suite des Mauvais rêves, La cité aux eaux mouvantes entame définitivement la série en en affirmant les bases et en gardant les mêmes personnages, en particulier Xombul, décidément mégalomane et forcément assoiffé de pouvoir personnel. Mais ce n'est plus au Moyen Age que Valérian - là aussi, rejoint en cours d'aventure par Laureline qui, là encore, fait office d'ange gardien pour l'agent spatio-temporel - doit retrouver celui qui se proclama empereur de Galaxity, mais à New York, en 1986, à un moment écologiquement très sensible puisque les eaux montent dramatiquement depuis une catastrophe nucléaire.
De cette façon, les auteurs abordent des thèmes très contemporains comme l'impact de l'homme sur son environnement, le changement climatique, la perspective des réfugiés climatiques également. L'histoire, elle, se résume à la poursuite d'un infâme prêt à tout pour le pouvoir, et même à changer le passé. Elle est aussi l'occasion d'appréhender l'histoire qui a conduit, lentement, au monde de Galaxity.
Quant au dessin, il garde ses qualités. Cependant, la nature de l'aventure du présent album permet à Jean-Claude Mézières de créer par son imagination une ville engloutie mais aussi des paysages préservés de l'Ouest américain. La ligne reste celle du premier album : dessin léger et couleurs vives, lesquels collent parfaitement avec une histoire bien rythmée.
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J'ai toujours du mal à donner une note à peine moyenne sur une oeuvre qualifiée d'immanquable. C'est d'ailleurs peut-être l'une des premières fois. Je vais expliquer les raisons en toute sincérité…

Je viens de découvrir cette série que je ne connaissais pas étant plus jeune. Pourtant, la science-fiction est mon genre de prédilection. Sur les 1100 bd environ que je possède dans ma modeste collection, la plus grosse partie sont des bandes dessinées de science fiction, le fantastique étant en seconde position.

Quand on a lu Acriboréa, Universal War One, Kookaburra et qu'on enchaîne sur Valérian ; cela fait réellement très mal tant le décalage paraît immense. Tout semble dépassé et même dans les tomes plus récents de cette vieille série qui fut précurseur du genre et qui mérite certainement le plus grand respect. Me forcer à aimer par nostalgie afin de suivre la majorité n'est absolument pas dans mon caractère.

Je suis quelquefois consterné par le fait qu'on peut descendre des séries plus actuelles en reprochant un manque de cohérence et magnifier des séries d'antan pourtant bourrés d'invraisemblances. Alors, je pourrais me replacer dans le contexte de l'époque et me dire, ah oui, cette série est d'anticipation. Ne juge t'on pas une série à un moment donné ? Si celle-ci a mal vieillie, faut-il alors la considérer comme un immanquable ? Je ne le pense pas et je le dis tout haut.

Pour autant, il ne faut quand même pas exagérer. La lecture n'a pas été aussi pénible que cela. Et puis, il semblerait qu'il y ait beaucoup de troublantes similitudes entre Valérian et la saga des Star War de Georges Lucas. Il est indéniable que dans le meilleur des cas cette série a été une grande source d'inspiration à de nombreux réalisateurs comme Luc Besson pour le cinquième élément ou encore Alex Proyas pour son Dark City.

Bref, il ne faut pas oublier que Valérian a 40 ans d'existence et qu'il faut par conséquent en tenir compte. Tout ceci me pousse vers l'indulgence dans ma notation. Cela restera un immanquable pour la plupart des lecteurs même si cela ne l'est pas pour moi.
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Depuis 1972 je suis cette série d ailleurs ma Cité des Eaux Mouvantes à la couverture à fond bleu clair sur laquelle Valérian tombe d un pont de liane ( et ouaip les djuns ) hélas ce n est pas la 1° édition .Que voulez vous j ai toujours été amoureux de Laureline aux yeux violets ( donc jaloux de cette truffe primaire de Valérian ..non mais !) .Jusqu'aux Héros de l Equinoxe la série est géniale, originale y compris Par les chemins de l Espace , ensuite les auteurs ont voulu régler le problème du paradoxe temporel du non accident nucléaire qui créa leur monde, par les volumes qui vont de Métro Châtelet aux Foudres d' Hypsis .Raté enberlificotage pénible et peu digeste Après une longue litanie fadasse suivant la disparition de Galaxcity pour essayer de faire de nos 2 héros les sauveurs de l Univers , scénarii de plus en plus moralisateurs , gnagnan et prévisibles pour achever en apothéose la réduction en gamins neuneu pour faire une fin soit disant originale Oui certes il fallait en finir ça devenait ridiculement long mais ça se termine par une imagination complétèment asséchée
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Le premier Valérian que j'ai lu, lors de la sortie de la première édition voici de nombreuses années!
Valérian ne devait prendre la route des étoiles, avec Laureline, que dans l'épisode suivant.

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Après avoir vu le film, j'étais curieuse de découvrir la BD dont je n'avais jamais entendu parler.

J'ai passé un bon moment, mais je reste sur ma faim.
Ce tome se lit comme un one-shot qui se passe sur Terre. de fait, on découvre les bases de la série et je suppose (j'espère !) que dans les tomes suivants, on voyagera dans l'intriguant univers de galaxity !

J'ai trouvé que Valérian résolvait un peu trop facilement ses problèmes, et mon côté féministe a un peu bronché en voyant le rôle secondaire qu'occupe Laureline (d'accord, la BD s'appelle "Valérian" et non "Valérian & Laureline". Malgré tout, je n'aime pas ce cliché du héros qui regarde légèrement de haut sa co-équipière pourtant ultra forte. Bref. Je peux encore fermer les yeux là-dessus, sachant que la BD a été publiée dans les années 80, mais c'est limite).

Je suis curieuse de voir comment évoluera la suite.
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