Qui veut garder le silence sur son intimité, n’en révéler que des faits choisis à des interlocuteurs choisis, fait figure d’être fragile et inhibé. Qui au contraire se révèle sans retenue, apparaît comme une personnalité sûre d’elle et épanouie.
Comment et pourquoi, dans le demi-siècle écoulé, la reconnaissance des espaces d’intimité a-t-elle fait place au droit et même au devoir de (se) montrer ? Faut-il en rendre responsable une confiance excessive ... >Voir plus