Un esprit libre et critique, érudit et militant, dit ce qu’est la ville et ce qu’elle pourrait être si la spéculation était jugulée et la circulation automobile maîtrisée ; il admire les bâtiments qui allient la qualité des espaces et leur convenance à ses habitants, mais critique – sévèrement – ceux qui privilégient l’image sans se soucier de l’usage. C’est écrit dans les années 1950, mais spéculation et pollution n’ont fait que croître et les bâtiments sont toujou... >Voir plus