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Une très très belle BD aussi bien dans le scénario que dans les graphismes.
La couverture est déjà toute une promesse à elle seule.

Les graphismes sont un peu retro, vintages, mais donne énormément de cachet à la BD. La colorisation est pétante et donne le ton. Elle correspond pour moi au caractère de Charlotte.
J'ai particulièrement apprécié le regard de Charlotte devant un papillon bleu… d'autant que mis dans une "case ovale". C'est du plus bel effet.

Le scénario est très intéressant également . Il nous en apprend beaucoup sur un côté de l'histoire que l'on oublie souvent… en effet Sisi l'impératrice a volé la vedette a beaucoup de jeune impératrices ou princesses.
Néanmoins Charlotte jeune princesse Belge va s'unir à la famille des Hasbourg et tout son destin en découlera.

Cette Bd nous narre donc l'histoire de cette jeune femme au caractère impétueux et d'une grande intelligence

Je me suis vite prise de sympathie pour la jeune femme et j'ai suivi avec attention ce premier tome. j'ai même regretté de ne pas avoir la suite sous le coude.
On peut même trouver une once (mais alors toute petite !) d'humour.

En ce qui me concerne cette BD est une très belle découverte.

je remercie fortement le service marketing des éditions Dargaud pour cet envoi, ainsi que pour le petit mot manuscrit et personnalisé qui accompagnait cette BD. Je ne redirais jamais assez que je suis toujours touchée par ces petites attentions qui montre tout l'intérêt que porte les maisons d'édition à ses lecteurs.
Je remercie également Babelio (bien évidemment !)
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"Charlotte impératrice" est une série historique consacrée à la confrontation de l'Âge des Rois et de l'Âge des Masses, ou plutôt l'histoire romancée des derniers feux de l'Ancien Régime (un peu comme "Le Guépard" de Giuseppe Tomasi di Lampedusa adapté en film par Luchino Visconti). Les auteurs auraient pu s'étendre sur Sissi et François-Joseph les derniers souverains d'Autriche-Hongrie, mais ils n'ont pas choisi la facilité en racontant la vie de Charlotte de Belgique et de Maximilien d'Autriche qui vont se prendre les révolutions italiennes et mexicaines en pleine face…
Fabien Nury est déjà un vieux routard qui a toujours su soigner son travail, donc il fait tourner autour de son couple maudit plusieurs narrateurs et plusieurs narrations. L'histoire a suspecté Maximilien d'homosexualité (il n'aurait ni le premier ni dernier aristocrate d'Ancien Régime à sauver les apparences par un mariage de convenance, mais les auteurs ont choisi l'option « syphilis »). Rêveuse, lunaire, naïve voire maniaco-dépressive, Charlotte s'affirme et fichue pour fichue brûle les ponts avec l'Europe pour devenir l'impératrice Carlotta qui va adopter deux enfants mexicains avant de donner naissance à un fils bâtard qui aurait été Maxime Weygand le général français des Première et Deuxième Guerres mondiales… Pendants la révolution italienne, l'épouse a laissé faire son mari, durant la révolution mexicaine menée par les indigènes indiens ou métisses quelle rôle va-t-elle jouer ?
Les dessins de Matthieu Bonhomme mis en couleur par la superchromate Isabelle Merlet sont à la auteur du scénario : respectant les héritages de la bande-dessinée franco-belge, il associe classicisme et modernité avec beaucoup de fluidité tant dans le découpage des planches que dans les expressions des personnages. J'aurais juré que le dessinateur était passé par la prestigieuse École des Gobelins, mais c'est avec un BTS en arts appliqué qu'il s'est hissé jusqu'au sommet : chapeau l'artiste !
Lien : http://www.portesdumultivers..
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Ayant perdu très tôt sa maman, Charlotte est élevée par son père, le roi Léopold Ier de Belgique, et ses deux frères. Devenue une très belle jeune femme délicate, les courtisans ne manquent pas, notamment le futur roi Pierre V de Portugal et l'archiduc Maximilien d'Autriche, frère cadet de l'empereur François Joseph de Habsbourg-Lorraine. Ce dernier, pensant n'avoir que peu de chances, n'ose lui faire la cour. Mais lorsqu'il comprend que Charlotte n'a pas fait son choix, il tente de la séduire et de la faire sourire. Et ce, au nez et à la barbe des hommes de main du roi Léopold. Maximilien multipliant les intentions délicates, la jeune femme en tombe amoureuse. Un mariage en grandes pompes est organisé, malgré la désapprobation de sa famille. Bien que des tensions existent entre Maximilien et son frère, ce dernier le nomme gouverneur de Lombardie-Vénitie. C'est alors que le véritable caractère de l'archiduc se dévoile...

Dans une Europe impériale, Fabien Nury dépeint, non sans quelques libertés historiques, le destin hors du commun de Charlotte, princesse de Belgique, duchesse de Saxe, princesse de Saxe-Cobourg-Gotha puis archiduchesse d'Autriche et enfin impératrice du Mexique. Mariée à Ferdinand Maximilien d'Autriche, elle devra faire face non seulement à l'oisiveté, l'indélicatesse et la frivolité de son mari mais aussi aux divers complots des Habsbourg et de Napoléon III. de la jeune fille innocente, protégée par son père et son rang, il n'en restera que peu de choses face aux désillusions et aux épreuves qui l'endurciront, la première étant son mariage avec Maximilien. Ce premier volet se révèle très intéressant, le personnage de Charlotte fouillé et le contexte historique bien relaté. Au crayon, Matthieu Bonhomme nous offre de très belles planches au trait précis et élégant. Les couleurs d'Isabelle Merlet sont de toute beauté.
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Charlotte impératrice … quand j'ai eu la chance de participer à cette opération masse critique grâce à Babelio et aux Editions Dargaud, (encore merci à eux), je savais tout de suite à quelle genre d'histoire je devais m'attendre.
En effet, ayant lu dans ma jeunesse plusieurs biographies de Sissi, j'avais quelques connaissances au sujet du destin particulier de Charlotte et Maximilien, souverains éphémères du Mexique. Retrouver cette histoire racontée sous la forme de bande-dessinée avait de quoi m'intriguer, je dois le reconnaitre.
Nous découvrons donc Charlotte, jeune princesse belge, sur le point d'épouser Maximilien, le frère de l'empereur François-Joseph. le début de l'histoire ressemble presque à un conte de fées…Mais la réalité va vite rattraper le jeune couple. Maximilien, qui est bien conscient de n'être qu'un jouet politique entre les mains de son frère, va se révéler inconstant. Il est facilement manipulable et ce n'est pas son meilleur ami qui s'en plaindra .A force de le côtoyer et de comprendre qu'ils vivent dans une cage dorée, Charlotte va perdre peu à peu ses illusions de jeune fille, et petit à petit, elle va essayer d'influencer son mari pour qu'il accepte la couronne du Mexique.
Même si elle est peu présente dans cette histoire, je trouve que l'impératrice Elisabeth est plutôt bien restituée et bien loin de l'image mièvre véhiculée par les films Sissi. L'anecdote avec les chiens, je la connaissais, il paraitrait même que Elisabeth aurait dit en conclusion« je n'aime pas les petits chiens « …
J'ai beaucoup aimé cette BD. Sa couverture, pour commencer est vraiment très jolie. le dessin et les couleurs sont magnifiques. L'intérieur vaut l'extérieur, et je trouve que c'est vraiment un bel album. Les couleurs sont parfois un peu désuètes, mais elles mettent merveilleusement bien en valeur la qualité des dessins et de l'histoire.
Affaire à suivre, car j'aimerais vraiment lire la suite dans cette histoire quand elle paraitra…

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Bien que n'étant pas fan de BD, il m'est apparu évident de me plonger dans ce livre vu son sujet : la princesse Charlotte de Belgique, archiduchesse d'Autriche et éphémère Impératrice du Mexique.
J''en connaissais l'histoire, fille unique et chérie de Léopold Ier, épouse de Maximilien d'Autriche, je connaissais son destin tragique...

Ce premier album est agréable à lire, il débute à la mort de sa mère, la reine Louise, fille de Louis-Philippe pour ensuite s'attacher aux fiançailles de Charlotte avec l'archiduc Maximilien de Habsbourg. Ce dernier, frère de l'empereur François-Joseph II, est certes membre de la famille impériale d'Autriche mais, cadet de famille, il ne constitue pas un parti avantageux mais Charlotte l'aime et son père Léopold Ier accepte ce mariage.
Les débuts sont prometteurs mais la suite le sera rapidement moins tant suite à la personnalité de Maximilien que suite aux déboires dans la carrière de celui-ci...

Cet album s'achève avec le discours d'investiture de Maximilien à son arrivée au Mexique comme empereur.

Fabien Nury le précise d'emblée : “bien qu'étant inspirée de faits réels, cette histoire n'en demeure pas moins une fiction”, cela ne m'a pas dérangé car le scénario est crédible.
La psychologie des personnages, Charlotte, Maximilien est bien présentée, les appréhensions de Léopold Ier quant au destin de sa fille également.
le dessin est de facture classique, sa coloration audacieuse le rend très vivant.
J'ai bien reconnu les lieux, les serres royales du château de Laeken et Miramare que j'ai visité à Trieste.
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C'est avant tout le nom de Nury qui m'a donné envie de me pencher sur ce titre. Nury est un très bon scénariste qui a déjà quelques perles à son actif. le voir s'attaquer à la bio d'un personnage historique fascinant mais méconnu piquait ma curiosité. J'espérais simplement que les auteurs feraient preuve d'audace que ce soit narrativement ou visuellement. Promesses tenues. Ce 1er volet de « Charlotte impératrice » est une véritable réussite.

Le scénario, s'il n'échappe pas à une construction chronologique très classique, est parfaitement construit et mené. Les ellipses sont judicieusement placées et l'auteur a un joli sens de l'économie. Pas besoin de longs discours, l'auteur est capable de dire beaucoup en quelques cases.
Le dessin de Matthieu Bonhomme (à qui je vais m'intéresser plus avant) est en parfaite adéquation avec le scénario et l'accompagne, le met en valeur avec simplicité et élégance. L'impact n'en est que plus grand. le découpage et la mise en scène sont très efficaces et la colorisation d'Isabelle Merlet est parfaite, intelligente et belle.

Bref, un 1er tome superbe qui mérite tout à fait le consensus dont il semble faire l'objet.

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Fabien Nury, Mathieu Bonhomme et Isabelle Merlet, trio intéressant (respectivement scénariste, dessinateur et coloriste) pour cette nouvelle série chez Dargaud (tome reçu par le biais de la Masse Critique de Babelio, merci à eux) !

Mariage princier à la bruxelloise

La princesse Charlotte de Belgique (ou plutôt Marie Charlotte Amélie Auguste Victoire Clémentine Léopoldine de Saxe-Cobourg-Gotha), fille du roi Léopold Ier, se fait courtiser par l'archiduc Maximilien (enfin, Ferdinand Maximilien Joseph de Habsbourg-Lorraine), frère de l'empereur d'Autriche-Hongrie, François-Joseph : la Saxe-Cobourg-Gotha accepte les avances du Habsbourg. Même si ce mariage n'était pas prévu au départ, ce n'est pas trop un hasard non plus : ils sont cousins au troisième degré, elle-même descend de la célèbre branche saxonne des Wettin et les mariages entre Wettin et Habsbourg sont on-ne-peut-plus nombreux ; il se trouve juste ici qu'elle est un parti très prisé et qu'il n'est destiné à aucune couronne. Finalement, contre toutes ses attentes, l'archiduc Maximilien commence à obtenir certains titres, ce qui donne à sa nouvelle épouse Charlotte une importance diplomatique de plus en plus marquée : d'abord gouverneur de Lombardie-Vénétie (dernière province italienne encore dominée au XIXe siècle par une puissance étrangère), sa position de frère de l'empereur austro-hongrois le place en situation d'être le jouet de « coups diplomatiques ». En effet, l'Autriche est en lutte avec d'autres puissances européennes, notamment la France, pour conserver son propre statut de puissance. Dans ce cadre, le duo Maximilien-Charlotte n'a pas forcément une vie facile ; le protocole, le protocole, le protocole, il n'y a que ça de vrai.

Harry & Meghan sont sur un radeau

Au début, le lecteur peut clairement douter de la finesse de l'intrigue qui lui est proposée : la princesse est gentille, le prince est drôle, ils se marient et veulent le bonheur pour tout le monde, alors que l'existence même de leurs dynasties et de leurs fortunes devrait poser des questions autrement plus gênantes. Ils vivent une vie désincarnée, bien loin de la dureté de la vie quotidienne à cette époque-là, façon « Sissi impératrice » : on imagine très bien une Romy Schneider du XXIe siècle prendre le rôle. Autre référence, imaginez donc Guillaume Gallienne mimant l'archiduchesse Sophie enseignant l'étiquette de la cour d'Autriche à Sissi (celle-ci ne supporte plus cette étiquette : « oh, mon Papili, emmène-moi dans la forêt !), c'est tout à fait l'atmosphère du début de ce volume. Et bam ! page 30, retour à la réalité pour nos tourtereaux : malgré tous les bienfaits de l'aristocratie, de la richesse et du mariage princier, Maximilien et Charlotte rencontrent quand même quelques revers de la médaille, ce qui va (enfin !) déclencher chez eux, certes de graves problèmes de couple, mais surtout leur apporter une destinée particulière.

Itinéraire d'un prince à la dérive

Graphiquement, le dessin de Mathieu Bonhomme et la colorisation d'Isabelle Merlet peuvent tout à fait paraître vieillots au premier abord ; par contre, la construction scénaristique des planches est très intéressante : on pourrait parfois y voir un pastiche de tabloïds et certaines planches de pleine page sont pleines d'emphase, propre forcément à ce milieu si particulier que les têtes couronnées à une époque où la presse commence à se développer. Les dessins alternent entre des intérieurs parfois très détaillés dans certaines scènes et des décors quasi absents dans d'autres. Au fur et à mesure qu'on avance dans l'histoire, on ressent davantage dans les dialogues l'incroyable condescendance de ces princes vis-à-vis des peuples qu'ils sont censés représenter. Bientôt, leur légèreté fait place à la fausseté de leurs convictions morales : leur propre intérêt économique passe avant tout autre chose. Bref, le récit se délite avec les événements racontés et même quelques couacs apparaissent dans les transitions quand on s'approche de la fin du volume (on imagine qu'il faut se tenir dans le nombre de pages accordé – pourtant conséquent, 70). Malgré le fait qu'elle occupe le titre de cette série, on peut craindre que la place de Charlotte soit finalement devancée par le destin de Maximilien ; qu'en sera-t-il dans le deuxième tome ? toute la question est là. Il est d'ailleurs évident que l'acte II sera encore plus tragique que le premier.

En somme, ce premier tome de Charlotte impératrice est générateur d'une certaine curiosité, l'arrière-goût peut être un peu amer si on prend le récit et le dessin au premier degré, une deuxième lecture s'impose alors.
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A la bibliothèque numérique de Vendée, j'ai emprunté : Charlotte impératrice, tome 1 : La princesse et l'archiduc.
Élevée par son père Léopold 1er, Charlotte de Belgique est destinée à faire un glorieux mariage.
Pour la jeune femme, le choix s'arrête sur l'archiduc Maximilien d'Autriche, frère cadet de l'empereur François Joseph.
Un mariage somptueux vient sceller leur union, qui, disons-le tout de suite, ne sera pas heureuse.
Le jeune couple est dépassé par les rivalités dont ils sont le jeu, entre les terribles Habsbourg et le calculateur empereur Napoléon III.
Et Maximilien se révèle un homme décevant, à tous points de vue. C'est en faisant face à l'adversité que Charlotte aura finalement l'occasion de quitter les voies d'un chemin tout tracé.
La princesse et l'archiduc est une bande dessinée historique dont les dessins sont magnifiques.
Je ne suis pas férue d'histoire, je ne connais rien à la période relatée ici et je dois avouer que ça m'a fasciné.
Charlotte est une femme forte, qui va assister son mari du mieux possible. Elle l'a choisit et malgré sa déception elle va faire face.
L'histoire est passionnante, il y a beaucoup de rebondissements et cette bande dessinée m'a permis d'en savoir plus sur Charlotte de Belgique que, je l'avoue, je ne connaissais pas vraiment.
Je suis ravie d'avoir la suite sous la main, car j'ai hâte de connaître la suite de ce premier tome.
Je suis ravie de ma lecture, et je mets cinq étoiles à cet ouvrage, que je vous recommande :)
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C'est une bande dessinée qui raconte la vie de Charlotte de Belgique, épouse de l'archiduc Maximilien d'Autriche, frère cadet de l'empereur François Joseph et futur empereur du Mexique. le traitement est assez classique, graphisme académique de la BD franco-belge, le récit est cinématographique, dans l'esprit d'un “Sissi l'impératrice”. Ce n'est pas le style de bande dessinée que j'apprécie particulièrement, les intrigues de château ne me passionnent pas vraiment et je cherche plutôt l'audace et l'originalité, ici, c'est du très classique, mais je dois reconnaître la qualité de cette oeuvre. L'intérêt historique m'a tenu en haleine et m'a permis de m'intéresser à un pan de l'histoire que je ne connaissais que très superficiellement, les personnages sont touchants, la colorisation est riche et soignée, avec une belle gamme de couleurs naturelles adapté aux lieux du récit. Cela suffit à me donner envie de découvrir les pérégrinations de la belle Charlotte au Mexique dans le deuxième tome.
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Une biographie de Charlotte de Belgique, épouse du frère de François-Joseph (et belle-soeur de Sissi, donc) qui devient en 1864 impératrice du Mexique.
Cet album retrace les années précédentes, de son mariage au départ pour le Mexique.
Bon, c'est une BD historique tout ce qu'il y a d'honnête, les personnages sont campés avec pas mal de finesse, mais sans que ce soit palpitant non plus.
Par contre j'ai davantage aimé les illustrations : un trait assez convenu mais une vraie recherche pour provoquer l'émotion (je ne recommande pas aux personnes qui fondent pour les petits chiens mignons).
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