Le septième tome donne lieu à un combat psychologique intense entre le procureur Goi et Miroku.
Une joute verbale s'établie entre les deux hommes. La tension est palpable mais l'on ressent un regain d'assurance chez le héros. C'est toujours très bien écrit, les pensées sont fortes de sens et se focalisent sur la volonté de puissance : le combat entre la domination et la soumission, l'acte et ses conséquences.
Les sources de la pensée nietzschéenne se juxtaposent et offrent un savoureux moment.
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ça y est, je crois que je commence à accrocher !
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Il suffit d'observer l'histoire pour constater que bon nombre de grands hommes ont recouru au meurtre de masse pour vulgariser de nouveaux modes de pensée ou de vie. C'est comme ça que l'humanité à avancé !
D'après moi, à part de rares électrons libres il n'existe que deux types de personnes dans le monde. Les hommes extraordinaires et les autres... la populace !
Nous sommes des victimes humiliées. Nous combattons pour regagner notre dignité !