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EAN : 9782841622337
96 pages
Editions de l'Eclat (20/10/2011)
3.88/5   4 notes
Résumé :
Depuis son arrivée en terre d'Israël en septembre 1945, Jerzy Henryk Orlowski a conservé précieusement pendant plus de soixante ans un petit carnet de poche à couverture rouge sur lequel, à 13 ans, il avait recopié quinze poèmes écrits au camp de Bergen Belsen où il fut déporté avec sa tante et son jeune frère au cours de l'année 1944. Quinze poèmes qui témoignent de cette vitalité opiniâtre de l'enfant confronté à la barbarie, et de la place unique de la poésie dan... >Voir plus
Que lire après Poèmes écrits à Bergen-Belsen en 1944, en sa treizième annéeVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
quelques poèmes faisant preuve de la maturité de ce jeune adolescent (malheureusement attendue) mais aussi d'une maîtrise, déjà, de la langue, suffisante pour donner aisance.
Un mélange de trivialité, de description de ce qui l'entoure, et de cris étouffés ou plaintes discrètes.
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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Et j'entends, tous es jours, toutes les nuits
Les sirènes, les respirations de la locomotive se déplaçant
Et tirant des wagons pleins de gens, elle galope
mugit et siffle, dégageant de la fumée, se dépêchant
et tout autour il y a de moins en moins de gens
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Tout à coup une pensée m'ouvre les yeux,
Je sais que j'irai où la vérité se présentera,
Que le mal est nuit noire
Et le bien monde de lumière
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Le ciel, le même partout, est limpide et vaste,
Le soleil, le même partout, se pare d'or,
La forêt, la même partout, est verte,
Et partout, en tout temps, le soleil se couche en rouge,
Tout dans la nature est étonnamment beau
Et seule la vie est une illusion
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Un voleur d’oignons est placé en isolement,
Et le hurleur tyrannique est deux fois plus méchant,
De soupe on est tous privés
Car des pneus de vélo quelqu’un a crevés.
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Et la fête des mères n'éveille en moi que chagrin
Et tristesse, tristesse qui imbibe mon coeur,
Tristesse en mon âme, tissée, coulée
Tristesse dans chaque cellule de mon corps
Après une telle douleur, le chagrin pour l'éternité.
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