Ouzia Osmani
EAN : 9782332837172
Edilivre-Aparis (28/07/2015)
/5
1 notes
Edilivre-Aparis (28/07/2015)
Résumé :
« Le monde se réveillant ou s'endormant sur un film catastrophe... Un scénario dont Bruce Willis aurait pu être le héros malheureux. Alors, on imagine le visage de Bruce Willis écartelé par une intenable douleur. [...] Et, dans un plan rapproché, on pouvait voir son visage bouleversant, les yeux maculés de sang comprenant qu'il lui faudrait un immense talent pour devenir un survivant... »
11 septembre 2001. Tandis qu'à New York l'effondrement des Twin Towers ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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« Flushing Javel Comme en Septembre » est une nouvelle ou plutôt un texte d'Ouzia Osmani en échos au drame du 11 septembre 2001. L'effroyable se déroule à New-York et il est vécu de Paris par Nora et Tristan. le traumatisme ils le vivent en parallèle de leur amour non aboutit.
Tritan est borgne et la « contamination de la cécité » est une métaphore permanente : le globe oculaire, la vision du monde, le visage fêlé de la ville … C'est assez cauchemardesque et difficile à lire.
De ce texte sur les brisures, pour dépressif, j'ai quand même envie de retenir le rêve de Nora d'un monde sans guerre.
Tritan est borgne et la « contamination de la cécité » est une métaphore permanente : le globe oculaire, la vision du monde, le visage fêlé de la ville … C'est assez cauchemardesque et difficile à lire.
De ce texte sur les brisures, pour dépressif, j'ai quand même envie de retenir le rêve de Nora d'un monde sans guerre.
Citations et extraits (4)
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Ecrans du monde, on voit, fractions d'instants, le World Trade Center s’effondrant. Violence du néant. On croit y voir une remarquable fiction. Des images diffusant des écrans de fumée, deux avions mortifères transperçant la gémellité des tours. L'humanité tétanisée devant une retransmission presque irréelle.
Aucun livre ne valait une vie ; mais une vie, valait peut-être bien un livre.
Cruauté de quelques kamikazes anéantissant au nom de convictions divines d’autres vies. Paroxysme de la haine.
Nora creuse ce rêve fragmenté d’une humanité sans guerre.
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