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Un petit livre guère épais (non ce n'est pas un jeu de mots du titre de Tolstoi) mais contient une histoire forte. Une noirceur à la Zola avec la violence en supplément. Ce livre m'a plu dans son écriture qui ne ressemble à nulle autre, dans son histoire également. de courts chapitres, ce qui permet de reprendre son souffle devant tant de duretés, de violences et de maltraitances.
Lili à 23 ans est mariée à Samuel. Cet homme l'a aidé à sortir de prison quand elle avait entre 15 et 20 ans. Mais qu'a-t-elle fait ? Elle semble heureuse avec lui. Lorsqu'ils invitent un couple d'amis, Samuel leur dit qu'ils ont le projet d'avoir un enfant. Lili est surprise mais ne dit mot devant les invités
Elle n'est pas contre, mais n'en a jamais discuté avec Samuel. Ce qui l'a replonge dans son passé.

Lili à 14 ans et vit chichement dans un trois pièces avec ses parents et son petit frère. Son père, le seul homme, dans ce récit, qu'elle déteste (je fais référence au titre) est un nazi doublé d'un hypocondriaque. Sa mère, n'adhère absolument pas à ses idées. Elle est pour Lili son équilibre, sa planche de salut. Malheureusement, un soir, elle s'écroule et décéde dans le salon avec sa belle robe à fleurs qui représente, pour ses enfants, une prairie où il fait bon vivre. le père est dépassé, et laisse ses enfants, vivre tous seuls avec pour nourriture des gâteaux secs et des chips. Leurs voisins, une famille indienne, leurs apportent un peu d'équilibre et de chaleur. Y loge également avec cette famille Yoim un jeune homme entre 20 et 30 ans qui s'éprend de Lili. Il se dit être son protecteur contre son père mais la viole régulière pour son seul plaisir à lui. Lili le voit comme son sauveur mais ses pensées sont floues dues aux petits pilules blanches qu'il lui donne.
Mais un jour, Yoim revient sous ses fenêtres alors qu'elle vit avec Samuel...
Un roman fort qu'on oublie pas de sitôt. La violence, la maltraitance, l'ignorance, les non-dit et toute la panoplie de la noirceur de la vie.
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C'est ta vie, pauvre Lili, ton enfance que tu nous racontes, fut un cauchemar auprès d'un père fasciste, une mère aimante mais trop vite partie, un petit frère que tu tentes de protéger des monstruosités d'un père qui n'hésite pas à vous abandonner à votre sort dans l'appartement pendant plusieurs jours. Et comme cela ne suffisait pas tu vas tomber amoureuse de Yoïm, l'ami de voisins, qui va t'emmener à 14 ans sur un chemin semer d'embûches. Pauvre Lili, malgré ta rencontre en prison avec Samuel, celui qui deviendra ton compagnon à ta sortie, les fantômes du passé t'obsèdent et tu rêves de te délivrer d'eux comme les animaux du zoo que tu vois s'enfuir du zoo où ils sont prisonniers.

J'avais beaucoup aimé le dernier roman de Véronique Ovaldé Personne n'a peur des gens qui sourient (décidément elle aime les longs titres) mais ici je suis complètement restée à distance du personnage et des événements. Sombre, obscur, allées et venues entre enfance et temps présent, destins de cette gamine et son frère complètement hors normes : drogue, prostitution, prison, père extrémiste et violent (très caricatural), rien ne nous est épargné et heureusement le livre de fait que 134 pages.

Oscillant entre réel et fantasmes, on se pose beaucoup de questions : quelle part de vérité, d'imaginaire d'une fillette dont l'enfance a été massacrée par des hommes qui lui plaisent beaucoup (sauf son père) mais qui lui veulent du mal. Une écriture qui se veut directe sans détours pour parler de l'enfance maltraitée, de la prostitution enfantine, des abus et des ravages sur l'esprit d'une fillette, changeant toutes ses valeurs et tentant de trouver du réconfort là où on ne cherche qu'à l'utiliser, voire l'exploiter.

Je n'ai sûrement pas tout saisi du message final, pas trop su ce que devenaient tous ces personnages, j'en ai perdus en route et j'ai finalement refermé le livre en me posant beaucoup de questions mais en étant pas totalement persuadée que je voulais en connaître les réponses. A trop noircir le tableau (même si malheureusement je pense que certaines enfances ressemblent à cela) je n'ai pas adhéré à cette histoire où il m'a manqué quelques clés, quelques réponses et quelques approfondissements psychologiques mais je me rends compte que l'auteure aime à dénoncer mais en ne donnant pas toujours tous les éléments pour comprendre et là cela n'a pas fonctionné pour moi cette fois-ci.....
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Si le titre pourrait faire croire à une histoire de filles entre sexe et copines, il n'en est rien ! Ici l'atmosphère est particulièrement noire et folle : nous croisons un père taré abreuvé de nazisme, un sauveur pervers, une jeune fille bien abîmée...
Comme pour Ce que je sais de Vera Candida, je termine le livre un peu frustrée : il me manque un pan de l'histoire (celle du petit frère de Lili). Mais comme Des vies d'oiseaux, ce livre me confirme ce que j'aime chez Véronique Ovaldé : son univers et son écriture, à la fois semblables (l'enfermement - plus ou moins violent - des jeunes filles et des femmes et leur envol possible ; une manière incroyable d'équilibrer le cru, le violent, et une certaine douceur, quelque chose de léger et positif) et renouvelés (je n'ai eu à aucun moment le sentiment de déjà-lu).
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Publié en 2003, "Les hommes en général me plaisent beaucoup" est le troisième roman de la romancière française Véronique Ovaldé, notamment auteure de "Déloger l'animal", "Et mon coeur transparent" ou encore de "Ce que je sais de Vera Candida".

Lili vit avec Samuel depuis 5 ans. Alors qu'il manifeste son envie de fonder une famille, Lili retrouve Yoïm, l'homme qu'elle a aimé à l'adolescence et qui l'a sauvée d'un père tyrannique et initiée au sexe, au vol, à la drogue pour l'abandonner en prison.
Lili se souvient de ces années folles, dures, incertaines. Est-elle prête à renoncer définitivement à Yoïm ou va-t-elle rompre cet équilibre construit avec l'homme qui l'a sortie de prison ?

Saisissant ! Rédigé à la première personne, ce court roman nous plonge dans l'univers sombre de Lili, une jeune femme ébranlée par la mort de sa mère, une femme subversive, opposée au fanatisme antisémite de son mari.
Après le décès de celle-ci, son frère devient muet et son père décide de les enfermer tous deux à double-tour afin de les préserver de toute menace extérieure.
Mais le danger rôde juste au dessus de leur tête, à l'étage où vit une gentille petite famille indienne ainsi qu'un homme, Yoïm, dont Lili tombe instantanément amoureuse.
Alors qu'elle se croyait libre et sortie du cauchemar familial, Lili se sent dépendante de Yoïm et se laisse entraîner dans une spirale infernale qui l'expédiera en prison.

J'ai eu, au départ, beaucoup de mal à comprendre cette femme et ses fantômes. Mais petit à petit, alors que son histoire est dévoilée au travers de flashbacks, j'ai mieux saisi son fantasme de libérer les animaux du zoo près de chez elle.
Véronique Ovaldé brosse le portrait d'une femme sans cesse confrontée à l'enfermement, d'abord durant l'enfance, passée auprès d'un père fan de "Dodolphe".
Ensuite à l'adolescence, période durant laquelle elle s'enlise dans une relation malsaine avec Yoïm, puis durant son séjour en prison et enfin, dans sa vie présente, alors qu'elle vit avec un homme qui prend les décisions pour le couple sans la consulter.
Les personnages masculins, Yoïm et Samuel, passent tour à tour de sauveur à bourreau. Si Lili éprouve envers eux un sentiment de reconnaissance, elle est en proie à des émotions négatives qui lui dictent la fuite.
L'ambiance dépeinte ici m'a énormément fait penser à l'univers chimérique, torturé de Joyce Carol Oates : pour ses personnages masculins qui font figure d'autorité supérieure, pour cette héroïne féminine dépendante et incapable de savoir où est son bien et pour cette écriture vive, singulière, parfois crue mais toujours juste.
A lire !
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Les romans de Véronique Ovaldé en général me plaisent beaucoup. Pourquoi ? Je pourrai répondre que cet auteur a un style singulier. D'accord, mais pas suffisant. D'autres auteurs ont un style bien à eux, une patte, une touche, qu'on retrouve avec impatience à chaque nouveau livre, sur lequel on s'est en général rué et qui nous procure, une fois achevé, la satisfaction de l' attente comblée. Qu'est-ce qui, dans sa singularité, m'émeut, me touche ? Je pense que c'est parce qu'elle a une sorte de grâce, une élégance qui tient dans la contradiction entre la noirceur des thèmes abordés (ce livre-ci n'y échappe pas) et l'apparente spontanéité, fraîcheur du ton. J'ai failli employer le mot "candeur", cela tient peut être au fait que dans les trois romans que j'ai lus d'elle, l'héroïne est à chaque fois très jeune. Pourtant, les mots sont parfois très crus. le titre de cet ouvrage en est d'ailleurs comme une promesse. Puisque j'en viens en parler du titre, réglons-lui son sort une bonne fois. Bien évidemment, il interpelle, c'est sa mission, mais je pense que Véronique Ovaldé a été mieux inspirée avec des titres comme "Déloger l'animal" ou "La grâce des brigands". Cette phrase, "les hommes en général me plaisent beaucoup", prononcée une seule fois par Lili, l'héroïne, ne sert pas, à mon sens, la cause du livre. Ce n'est pas tant parce qu'elle pourrait choquer (quoi que...) mais parce qu'elle ne correspond pas à l'état de soumission dans laquelle se trouve Lili vis-à-vis du seul Yoïm. La relation d'amour et de dépendance qu'elle a avec lui est unique. Avec Samuel, si beau et si doux (mais peut-être ennuyeux), elle n'éprouve en fait que de la reconnaissance, une forme de gratitude pour l'avoir sortie de prison, prison où elle a séjourné entre 15 et 18 ans, conséquence directe de sa relation avec Yoïm qui pouvait (à grands renforts de petites pilules blanches tout de même) lui faire faire n'importe quoi.
Il faut dire que la loupiote (elle n'a alors que 14 ans) ne vivait pas inondée d'amour et de réconfort non plus, seule avec son petit frère devenu quasi muet suite au décès de leur mère, obligée d'obéir à un père nazi-fanatique, paranoïaque et hypocondriaque par substitution, transformant la maison en cache d'armes, les honorant de sa présence toute militaire, environ une fois par mois pour les ravitailler en gâteaux secs. On peut trouver plus équilibrant tout de même.
Alors, inéluctablement, lorsque ce voisin en apparence providentiel s'intéresse un peu à elle, c'est une totale carte blanche sur elle-même qu'elle offre. Bien évidemment, Prince charmant, il n'est pas et, sans scrupule, pour ses 14 ans, en fait sa maîtresse et pire sa complice.
Neuf ans plus tard, la petite Lili fait beaucoup d'efforts pour paraître réparée de cette enfance toute cassée mais très vite le verrou que Samuel et elle ont posé sur le passé, se grippe. Présage ? Les animaux du zoo tout proche se sont-ils réellement enfuis ? Est-ce le fascinant Yoïm qu'elle a aperçu ? Comment, alors qu'elle est consciente de sa dépendance, réussir à s'en affranchir ? Choisira-t-elle une résilience douce ou brutale ?

Une géographie fictive toujours aussi charmante (je l'avais évoquée pour "Ce que je sais de Vera Candida") , un onirisme animalier particulièrement original, des thèmes forts (on l'aura compris), un mélange improbable de brutalité et de fraîcheur, présenté comme un bouquet dense, des espérances certes ténues mais bien réelles, bref, un assemblage subtil que Véronique Ovaldé maîtrise à merveille et qui plait (en général...).


Lien : http://leschroniquesdepetite..
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Encore un OVNI signé Ovaldé.

"J'ai repassé des milliers de fois la façon dont les évènements se sont combinés, j'ai cherché à quel moment tout était parti en vrille, pourquoi j'avais fini par baigner dans mon sang dans une absolue solitude, j'arrivais juste à me dire, c'est parce que j'ai été mauvaise mauvaise que les choses se sont mal goupillées et j'ajoutais pour me meurtrir un peu plus, c'est une histoire avortée, c'est une histoire qui pisse le sang et je grimaçais de me revoir sur la paillasse de Yoïm gouttant sur le plancher avec une régularité de métronome".

Dans ce récit à la première personne, Lili décrit sa vie tranquille avec le beau Samuel dans une jolie banlieue pavillonnaire arborée. Mais déjà, quelque chose ne va pas, et l'anormalité pointe sous la banalité du réel lorsque Lili, en pleine nuit, se lève pour observer l'étrange et poétique défilé-ballet des animaux quittant le zoo en catimini (scène d'ouverture).

C'est que Lili n'est pas une femme au foyer comme les autres. La structure du roman interdit d'en révéler beaucoup plus. On peut seulement dire que, lorsque le lendemain elle se rend au zoo pour démêler le mystère de la fuite nocturne des animaux, Lili croit apercevoir une ombre massive et terrifiante qui fait ressurgir son passé sordide, entre un père sévère et rigide, une mère - "prairie", un petit frère semi-muet, une vieille demoiselle inquiétante et un premier amant douteux.

Et comme toujours avec Véronique Ovaldé, il s'agit de comprendre comment - pourquoi en est-on arrivé là, au sein d'une galerie de personnages assez sérieusement azimutés. Moins triste que Ce que je sais de Vera Candida et moins mystérieux que Et mon coeur transparent, Les hommes en général me plaisent beaucoup est marqué par le même genre de nostalgie. L'écriture reste incisive, avec des phrases longues mais rythmées comme le flux et le reflux des vagues en suivant les méandres embrouillés de la conscience de Lili. Une certaine violence et une certaine brutalité, aussi, pour ce roman qui dérange, étonne ... et plaît encore une fois !
Lien : http://le-mange-livres.blogs..
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Je suis toujours étonnée par la plume de Véronique Ovaldé!
Dans ce livre très court, Lili vit une vie de couple somme toute heureuse , et cependant apparaît dans cet équilibre un homme , présenté comme physiquement assez monstrueux, mais qui éveille chez cette toute jeune femme, comme lorsqu'elle était adolescente, un désir physique palpable.
Qui est donc ce Yoïm qui hante ses souvenirs?
Samuel, son époux, l'a soutenue et épaulée lorsqu'elle était en prison, il l'a même bien aidée à en sortir. Mais pour quelle peine était-elle privée de liberté?
Au cours de ce roman, on entrevoit également ce qu'a pu être l'enfance, puis l'adolescence de Lili, auprès d'une mère obèse trop tôt disparue, d'un père néo nazi, d'un petit frère totalement dépendant.
C'est un livre déroutant, puissant, dans lequel l'amour et la dépendance sont sans cesse étroitement liés.
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Les hommes… est un roman un peu fou (du type folie douce), décalé à n'en pas douter et vaguement onirique.
Les hommes... est avant tout un conte cruel, parfois presque glauque, un peu décousu et toujours étrange. Mais l'ensemble reste gracieux grâce à l'écriture très libre de Véronique Ovaldé qui cadre si bien avec son univers où la femme tient toujours une place centrale.
Il saura vous toucher si vous adhérez au style de la romancière qui mélange le banal, le sordide et le féerique sans complexes.
Lien : http://www.quartier-livre.fr..
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« Je suis sortie de prison un lundi. Samuel est venu me chercher ; il a tant oeuvré pour me libérer.
Maintenant je vis avec lui. Mais sa présence, réconfortante, saura-t-elle me libérer de la prison (sans barreaux) que je me suis construite durant mon enfance ?
J'ai longtemps cru que Yoïm, mon ancien amant, pourrait, quant à lui, me libérer de la prison paternelle dans laquelle je m ‘étais emmurée ? Un père militant au « Parti », qui vénérait Dodolphe et l'uniforme gris. Un père qui a opéré pendant des années, sur mon petit frère et moi-même, un travail de sape en insistant sur l'hostilité du monde et sur la méchanceté des gens…
Je n'avais alors que quatorze ans. Je suivais les consignes de mon père et restais enfermée dans l'appartement. Je ne savais pas désobéir… Sortir, c'eût été pénétrer en des domaines inconnus, c'eût été violer des territoires ennemis, je n'étais pas sûre de ce que je trouverais au-delà de la terrasse et des cactus, j'imaginais des échangeurs d'autoroute, des humains carnassiers de toutes les couleurs, des enfants armés, et bien sûr personne pour comprendre ma langue, personne pour me donner à manger, des loups partout des loups…
Tant d'hostilité m'inquiétait…
Yoïm me rassurait ; je me suis donc tournée tout naturellement vers lui ; avec ses trois cents livres et les petits cachets blancs qu'il me confiait, il a su m'apprivoiser. Et aujourd'hui, après ma sortie de prison et malgré le fait qu'il m'ait emprisonnée et empoisonnée, je crois encore en lui : sa douceur et l'attraction que je sens quand il rôde autour de chez moi et quand il m'épie, continuent à m'aimanter…
Serais-je à nouveau prisonnière ? »

Un livre qui nous plonge dans le destin tragique de Lili. Une jeune fille, - « abandonnée » trop tôt par sa mère (son unique planche de salut) et malmenée par son père-, qui aura toutes les peines du monde à s'affranchir de ses blessures d'enfance pour se construire en tant qu'adulte libre et autonome.
Une fin qui m'a laissée un peu dubitative…, mais un livre bien écrit qui a le mérite de nous faire réfléchir sur la maltraitance, la dépendance, la liberté et les processus possibles de résilience.
Un livre douloureux qui interroge…
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Lili et son petit frère redoutent leur père, un cinglé, nazi et quand leur mère meurt brutalement, ils sont très perturbés. Lili est la narratrice: au début, elle a quatorze ans et son frère quatre. Enfermés par leur père, elle essaie de se suicider: se pendre au lustre..mais celui-ci se décroche et les voisins de dessus font constater les dégâts: un grand trou dans leur sol; ils invitent les enfants, ils hébergent déjà Yoïm dont la gamine tombe amoureuse; ce dernier, peu recommandable va avoir des relations sexuelles et sous l'effet d'une drogue va l'asservir: sexe, vol. Lili est emprisonnée dans un camp pour ados mais Samuel fait tout pour la sortir de là; elle va vivre avec lui qui souhaiterait devenir père. A 23 ans, au zoo, elle aperçoit Y. qui avait disparu sans se soucier d'elle...mais le désir réapparaît...
Ce n'est pas mon livre préféré de cette auteure; certes l'écriture est belle mais l'histoire ne m'a pas plu et je ne suis même pas sure d'avoir compris la fin!
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