Ceci n'est pas une critique du livre à proprement parler, c'est plutôt moi qui suis dans l'incapacité de saisir les développement de l'auteur. Probablement que je suis trop imprégnée de culture occidentale, mais je n'arrive pas à comprendre sa conception de Dieu. J'ai l'impression qu'il se perd un peu dans des circonvolution entre spiritualité et philosophie...
Bref, je ne suis pas allé au-delà de quelques pages et j'ai jeté l'éponge.
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Notre contingence est à la fois humaine et divine - en son point tangentiel. Nous ne pouvons faire l'expérience d'un Dieu exclusivement immanent qui se confondrait avec nous en une identité panthéiste. Nous ne pouvons non plus faire l'expérience d'un Dieu exclusivement transcendant, ce qui serait contradictoire en soi. On rencontre Dieu en relation. Et nous avons dit que nous sommes ce point de contact
Comme nous l'avons dit au début, le silence est une condition indispensable pour que notre discours sur Dieu ne dégénère pas en logomachie. Il nous parait ici opportun d'insister à nouveau sur le silence, il est non seulement la condition mais aussi l'atmosphère dans laquelle l'expérience de Dieu peut respirer sans se noyer dans la dialectique. (p.190)
Hommage à Raimon Pannikar par sa fondation catalane