Une excellente idée de départ...l'exode forcée des grecs de Smyrne. Mais quatre générations c'est trop pour 156 pages. Cela va trop vite. On voudrait arrêter le temps, ou du moins prendre son temps, s'étendre plus sur certains personnages, sur l'histoire de ce comptoir grec florissant sur le territoire de turc.
La partie plus récente, le séjour à Paris, n'a plus grand intérêt...du moins tel qu'il est narré.
Un joli démarrage, une fin frustrante.
Commenter  J’apprécie         00
Ourania, Angéliki, Marika, Despina Quatre générations ! Quatre femmes issues de la même veine. Belles en-dedans comme au-dehors. Les mêmes gênes, la même passion.