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EAN : 9782266128742
347 pages
Pocket (04/11/2002)
4.2/5   549 notes
Résumé :
Poussé par le désir de se confronter au réel, le narrateur, jeune intellectuel inquiet et réservé, s'apprête à embarquer pour la Crète où il compte exploiter une mine de lignite. Il fait la rencontre sur le port du Pirée d'un homme qui lui propose ses services : Alexis Zorba, grande âme exubérante et chaleureuse qui aime boire, manger, danser, rire et faire l'amour. Avec lui, l'écrivain va découvrir la folie de vivre et redessiner sa ligne d'existence.
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Critiques, Analyses et Avis (71) Voir plus Ajouter une critique
4,2

sur 549 notes
Je suis tombé sur Zorba le Grec un peu par hasard à la bibliothèque. J'en avais déjà entendu parler, le personnage éponyme du roman est devenu un référent culturel, même si on ne connaît pas vraiment son histoire. En tous cas, moi, je ne la connaissais pas. Je m'attendais surtout à des aventures pittoresques, dans le genre Tartarin de Tarascon. Erreur. Il s'agit d'un roman touchant, d'une ôde à la liberté et à la beauté du monde.

Tout commence dans un port De Grèce continentale. le narrateur attend le bateau qui l'amènera sur l'île de Crète où il désire exploiter une petite mine. Il croise alors le chemin d'Alexis Zorba, qui cherche du travail. L'entrée de ce personnage exubérant est assez marquante. Un peu comme une vision. C'est que le type est un original. Fin soixantaine, fier, mais qui a roulé sa bosse, un bon vivant. Ce sera le début d'une association heureuse.

Zorba, en plus d'être travailleur et bon cuisinier, est un excellent conteur. Toutes ces soirées en tête à tête avec le narrateur, après de dures journées à la mine, il raconte bride par bride sa longue existence. Ses aventures de coureur de jupon, de sa Macédoine natale à Constantinople, et même en Russie. Ses démêlés avec les Bulgares et les Turcs. Ses diverses occupations sur les mers du monde, d'Alexandrie à Alger. de toutes ses aventures, il en a retiré une certaine sagesse, une philosophie de la vie. Rien de trop cérébral, après tout, Zorba est un homme de terrain, qui aime le concret. Les deux vont discourir longuement sur les femmes, la Grèce, la vie, la mort. Ajoutez à cela quelques petites péripéties comico-tragiques, à propos de la mine ou de Dame Hortense, une ancienne femme de joie sur le déclin, vous ne pourrez qu'adorer.

Et le tout dans le décor enchanteur de la Crête. Sur la plage de sable blanc, sous les figuiers de Barbarie et les oliviers, envirés par les odeurs de fleurs d'oranger et de thym. En buvant un verre de santouri et en mangeant un repas copieux. Il y a un je-ne-sais-quoi de magique tant dans la description des lieux, dans l'atmosphère. Même l'écriture est sensuelle, évocatrice. Un grand roman de Nikos Kazantzaki que je recommande vivement !
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De retour en Crète pour reprendre la gestion et l'extraction d'une mine de lignite, le narrateur, un jeune intellectuel rencontre le truculent Zorba dans un café. Alexis Zorba la soixantaine, éternellement accompagné de son santouri, fort en gueule, ayant vécu mille vies dont il partage les anecdotes avec beaucoup de verve. Deux personnalités diamétralement opposées, l'une cérébrale, l'autre volcanique, qui vont s'apprécier, s'enrichir l'une l'autre...
J'abordais ce roman avec un peu de crainte, me souvenant du magnifique film avec Anthony Quinn, Alan Bates et Irène Pappas, crainte de ne pas aimer le texte ou qu'il soit complètement divergent par rapport au souvenir lointain que j'avais du film. En fait j'ai été complètement séduite par cette amitié improbable entre un jeune intellectuel qui travaille sur un récit sur Bouddha, catapulté dans la vie par un Zorba qui vit toutes les expériences de façon épique, et plus il se livre, plus l'on découvre les failles et les malheurs qu'il a essayé de surmonter et l'on comprend mieux sa vision libre de la vie ; il remet tout en cause, le gouvernement, l'armée, la religion, le mariage, l'attachement, sa foi en l'homme, l'immobilisme, la paresse, se relevant de toutes les épreuves grâce à la musique de son santouri.
Le roman de Nikos Kazantzakis est une invite à vivre chaque jour comme s'il était le dernier, une promesse de se relever malgré les malheurs, un hymne à l'optimisme. C'est surtout le magnifique portrait d'un homme incroyablement vivant.
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La vie de lecteur est pleine de surprise : voilà un livre qui sera passé directement de mon Inconnu à mon Panthéon ! et il est certain que je m'en viendrai régulièrement lui rendre hommage à ce magnifique, tellurique, truculent Zorba !
Tout du long, cette lecture fut une bénédiction : l'immersion dans ce paysage crétois magnifié et gorgé de soleil, le choc salutaire de la rencontre des contraires entre le narrateur engoncé dans ses livres et Alexis Zorba, l'ouvrier de la vie aux cent vies, pétulant de joie, d'intelligence sans fard et de liberté ; l'alchimie merveilleuse qui se crée entre ces deux hommes ; les danses de Zorba, ses maximes puisées au coeur du réel, son énergie vitale, son désespoir traversé de lumière, sa sagesse de guerrier mille fois meurtri et mille fois relevé.
Quelle leçon, quelle belle philosophie que celle de ce livre, à vous faire fermer tous les autres, défaire toutes les chaînes et sauter à pieds joints dans la vie !
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Les îles grecques, la plage, l'odeur de la mer, chanter, danser et rire, en oubliant la vie de « gratte-papier ».

Lorsque je reviens de voyage, j'essaie de le prolonger avec un livre qui me ramène dans ce coin de pays. C'est ainsi que j'ai rencontré Alexis Zorba, un Grec du siècle dernier.

Bien sûr, j'avais entendu parler du film, surtout de la trame sonore et de la danse « traditionnelle » inventée spécialement pour le cinéma. Mais, dans le roman, c'est toute une philosophie, une religion de la beauté, de la liberté et de la joie de vivre.

Des idées intéressantes, sauf pour la conception des femmes et des rapports hommes/femmes. On souhaite vraiment que ce discours soit chose du passé, que les Grecs actuels ne partagent pas sa façon de penser. Je ne suis pas du tout à l'aise avec l'image diabolique ou, au mieux, pitoyable, qu'il attribue aux personnages féminins.

Un roman à l'atmosphère attrayante, mais avec des idées misogynes vraiment dépassées… du moins je l'espère !
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« Bonjour les Babélionautes ! Aujourd'hui, on va parler d'un roman grec publié en 1946, Alexis Zorba de Nikos Kazantzakis. Je n'ai pas vu le film.

Or donc le narrateur se sépare d'un ami et part ouvrir une mine en compagnie de Zorba, un homme âgé, pétulant, dont il va découvrir la vie rocambolesque et la philosophie toute personnelle.

Alors, pour commencer, quelle ne fut pas ma joie ! Ce roman exploite le sens de l'odorat et va donc rallonger ma précieuse liste. Les descriptions, élégantes et sans lourdeur, m'ont transportée dans des paysages enchanteurs.

-Pfff… C'est un roman pour mecs, bien mecs, de mecs satisfaits de n'être pas des femmes ! Comment veux-tu que j'accroche à ça ?

-Euuuh… en savourant la beauté de la prose ? Parce que, il faut le dire, le texte est splendide. Il recèle des réflexions intéressantes sur le bonheur dans la simplicité. Savourer le moment présent, la bonne chère, admirer la beauté de ce qui nous entoure, saisir les occasions…

-Mouais. Alexis Zorba m'a procuré une expérience littéraire inoubliable.

-Ah oui ? Laquelle ?

-C'est la première fois que je suis virée d'un roman par les personnages ! Faut le faire, quand même !

-Hein ? Mais non, voyons…

-Ah si. Je suis exclue de cette lecture par des persos qui prennent soin de me rappeler que je suis inférieure, que je représente la source de leurs malheurs, que je suis condamnée à les servir à cause de mon genre. Zorba disserte pendant des paragraphes entiers sur l'infériorité des femmes et la malédiction qu'elles représentent ! Oooh, mais quel bonheur à lire ! Quelle joie, quelle magnifique occasion de jouir du moment présent !

-D'accord… ce roman célèbre la liberté, Zorba va où il veut, fait ce qu'il veut…

-Ah oui, la liberté. Oh oui, c'est bô. Bon, on t'explique aussi que ce n'est pas pour tout le monde, hein, la liberté, si t'es trop pauvre, c'est non, si t'es une femme, la question ne se pose même pas, et on parle des Noirs ou pas ? Ah, le bon vieux temps des colonies…

-Bon, Méchante Déidamie… oui, il y a des choses discutables, mais le texte est splendide… et puis on adore Maupassant alors qu'il a écrit des horreurs, lui aussi !

-Maupassant, il prétend pas me donner des leçons de vie quand il rédige ! C'est ça qui me gonfle : cette posture « oh, je suis plein de réflexions élevant l'âme » tout en affichant un sexisme et un racisme assumés. ‘Scuse-moi, mais j'peux pas en tirer quoi que ce soit pour mon âme, sauf de l'amertume.

-Oui, mais… c'est bô… élégant…

-Tu sais quoi ? Je te propose un truc. Et si on appliquait les grands principes de liberté prônés par ce texte ? Et si on arrêtait de perdre notre temps avec des papiers inutiles comme le narrateur ? Et si... on se préparait quelques instants de délectation afin de se donner un peu de bonheur et de joie durant notre court passage sur cette planète ?

-Ah ouais, ça me tente ! On fait quoi ?

-ON LAISSE TOMBER CE BOUQUIN AVANT LA FIN ET ON EN PREND UN AUTRE !!! »
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Citations et extraits (236) Voir plus Ajouter une citation
- Peut-être que je resterai avec toi, ici... fis-je, effrayé par la tendresse farouche de Zorba. Peut-être aussi que je reviendrai avec toi. Je suis libre!
Zorba secoua la tête:
- Non, tu n'es pas libre, dit-il. La corde avec laquelle tu es attaché, est un peu plus longue que celle des autres. C'est tout. Toi, patron, tu as une longue ficelle, tu vas, tu viens, tu crois que tu es libre, mais la ficelle tu ne la coupes pas. Et quand on ne coupe pas la ficelle...
- Je la couperai un jour! dis-je avec défi, car les paroles de Zorba avaient touché en moi une plaie ouverte et j'avais eu mal.
- C'est difficile patron, très difficile. Pour ça, il faut un brin de folie; de folie, tu entends? Risquer tout! Mais toi, tu as un cerveau solide et il viendra à bout de toi. Le cerveau est un épicier, il tient des registres, j'ai payé tant, j'ai encaissé tant, voilà mes bénéfices, voilà mes pertes! C'est un prudent petit boutiquier; il ne met pas tout en jeu, il garde toujours des réserves. Il ne casse pas la ficelle, non! il la tient solidement dans sa main, la fripouille. Si elle lui échappe, il est foutu, foutu le pauvre! Mais si tu ne casses pas la ficelle, dis-moi, quelle saveur peut avoir la vie? Un goût de camomille, de fade camomille! Ce n'est pas du rhum qui te fait voir le monde à l'envers!
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Je me souvins d'un matin où j'avais découvert un cocon dans l'écorce d'un arbre, au moment où le papillon brisait l'enveloppe et se préparait à sortir. J'attendis un long moment, mais il tardait beaucoup, et moi j'étais pressé. Énervé je me penchai et me mis à le réchauffer de mon haleine. Je le réchauffais, impatient, et le miracle commença à se derouler devant moi, à un rythme plus rapide que nature. L'enveloppe s'ouvrit, le papillon sortit en se traînant, et je n'oublierai jamais l'horreur que j'éprouvai alors: ses ailes n'étaient pas encore écloses et de tout son petit corps tremblant il s'efforçait de les déplier. Penché au-dessus de lui, je l'aidais de mon haleine. En vain. Une patiente maturation était nécessaire et le déroulement des ailes devait se faire lentement au soleil, maintenant il était trop tard. Mon souffle avait contraint le papillon à se montrer, tout froissé, avant terme. Il s'agita, désespéré, et, quelques secondes après, mourut dans la paume de ma main. Ce petit cadavre , je crois que c'est le plus grand poids que j'aie sur la conscience. Car, je le comprends bien aujourd'hui, c'est un péché mortel que de forcer le grandes lois[...]. (Il faut) suivre avec confiance le rythme éternel.
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Ce Hussein Aga était un saint homme. Un jour il me prend sur ses genoux et pose sa main sur ma tête comme s'il me donnait sa bénédiction : "Alexis, qu'il me dit, je vais te confier quelque chose. Tu es trop petit pour comprendre, mais tu comprendras quand tu seras plus grand. Écoute-moi, mon enfant : le bon Dieu, tu vois, ni les sept étages du ciel ni les sept étages de la terre ne peuvent le contenir. Mais le coeur de l'homme le contient. Alors, prends garde, Alexis, de ne jamais blesser le coeur de l'homme!"
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Au point du jour, Zorba s'assit sur son lit et m'éveilla:
- Tu dors, patron?
- Que se passe-t-il, Zorba?
- J'ai fait un rêve. Un drôle de rêve. Je crois qu'on ne va pas tarder à faire un voyage. Écoute, tu vas rire. Il y avait, ici dans le port, un bateau grand comme une ville. Il sifflait, prêt à partir. Et moi, je venais en courant du village, pour l'attraper, et je tenais un perroquet dans la main. J'arrive, je grimpe sur le bateau, mais le capitaine accourt. "Billet! qu'il me crie. - Ça fait combien? que je demande en tirant une poignée de billets de ma poche. - Mille drachmes. - Dis donc, de grâce, ça ne peut faire avec huit cents? que je luis dis. - Non, mille. - J'ai huit cents, prends-les. - Mille, pas un sou de moins! Sinon, décampe en vitesse!" Alors je me suis fâché : "Écoute, capitaine, je lui dis, dans ton intérêt, prends les huit cents que je te donne, sinon je vais me réveiller, mon pauvre vieux et tu perdras tout!"
Zorba éclata de rire:
- Quelle drôle de machine que l'homme! dit-il, stupéfait. Tu la remplis avec du pain, du vin, des poissons, des radis, et il en sort des soupirs, du rire et des rêves. Une usine! Dans notre tête, je crois bien qu'il y a un cinéma sonore comme ceux qui parlent.
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Confucius dit : "beaucoup cherchent le bonheur plus haut que l'homme ; d'autres, plus bas. Mais le bonheur est à la taille de l'homme." C'est juste. Il existe donc autant de bonheurs qu'il y a de tailles d'hommes. Tel est, mon cher élève et maître, mon bonheur aujourd'hui : je le mesure, le remesure, inquiet, pour savoir quelle est maintenant ma taille. Parce que, tu le sais bien, la taille de l'homme n'est pas toujours la même.
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Videos de Nikos Kazantzakis (7) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Nikos Kazantzakis
Nikos Kazantzakis : Le regard crétois (1974 / France Culture). Nikos Kazantzakis sur l'île d'Égine, en 1927 - Photo : Musée Benaki. Par Richard-Pierre Guiraudou. Les textes, extraits d'“Ascèse”, d'“Alexis Zorba”, de la “Lettre au Greco”, de “Kouros”, de “Toda-Raba” et de “L'Odyssée”, ont été dits par Julien Bertheau, François Chaumette (de la Comédie-Française), Roger Crouzet et Jean-Pierre Leroux. Et c'est Jean Négroni qui a dit le texte de présentation de Richard-Pierre Guiraudou. Avec la participation exceptionnelle de Madame Eléni Kazantzakis, et la voix de Nikos Kazantzakis, recueillie au cours de ses entretiens avec Pierre Sipriot, en 1957. Réalisation de Georges Gaudebert. Diffusion sur France Culture le 1er août 1974. Níkos Kazantzákis (en grec moderne : Νίκος Καζαντζάκης) ou Kazantzaki ou encore Kazantsakis, né le 18 février 1883 à Héraklion, en Crète, et mort le 26 octobre 1957 à Fribourg-en-Brisgau (Allemagne), est un écrivain grec principalement connu pour son roman “Alexis Zorba”, adapté au cinéma sous le titre “Zorba le Grec” (titre original : “Alexis Zorba”) par le réalisateur Michael Cacoyannis, et pour son roman “La Dernière Tentation” (dont le titre a été longtemps détourné au profit du titre du film et désormais republié sous son nom authentique), adapté au cinéma par le réalisateur Martin Scorsese sous le titre “La Dernière Tentation du Christ” (titre original : “The Last Temptation of Christ”). Penseur influencé par Nietzsche et Bergson, dont il suivit l'enseignement à Paris, il fut également tenté par le marxisme et s'intéressa au bouddhisme. « Il a poursuivi une quête tâtonnante qui lui a fait abandonner le christianisme au profit du bouddhisme, puis du marxisme-léninisme, avant de le ramener à Jésus sous l'égide de Saint-François. » Bertrand Westphal (in “Roman et évangile : transposition de l'évangile dans le roman européen”, p. 179) Bien que son œuvre soit marquée d’un réel anticléricalisme, il n’en reste pas moins que son rapport à la religion chrétienne laissa des traces fortes dans sa pensée : goût prononcé de l’ascétisme, dualisme puissant entre corps et esprit, idée du caractère rédempteur de la souffrance… Ainsi la lecture de la vie des saints, qu'il faisait enfant à sa mère, le marqua-t-elle durablement. Mais plus que tout, c’est le modèle christique, et plus particulièrement l’image du Christ montant au Golgotha, qui traverse son œuvre comme un axe fondateur. Bien que libéré de la religion, comme en témoigne sans équivoque son fameux « Je n'espère rien, je ne crains rien, je suis libre », Kazantzákis restera donc l’héritier de cet « idéal Christ » qui se fond aussi, il faut le souligner, avec celui emprunté à la culture éminemment guerrière d’une Crète farouche encore sous le joug turc dans ses années d’enfance.
Sources : France Culture et Wikipédia
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