L'introduction de cette histoire m'a bien plu et m'a donné envie de lire la suite. Cet album présente des illustrations magnifiques et nous amène dans le monde mystérieux et peu connu des Geishas du Japon traditionnel. C'est intrigant et j'ai bien hâte de lire la suite. Ça m'a fait penser au roman Mémoire d'une geisha: présentation de l'univers d'une geisha, les codes qui régissent sa vie, la compétition, l'enseignement (les danses, la musique, la séduction).
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Une BD plus difficile qu'elle n'en a l'air qui permet d'accéder à l'univers des Geishas. On se mélange dans les personnages, l'intrigue semble révélée dès le premier tome. Dommage.
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De bonne facture, L’Okiya des Mystères n’est pas dépourvu d’intérêt malgré une certaine facilité scénaristique. À conseiller plutôt aux jeunes filles en fleurs.
Lire la critique sur le site : BDGest
Les grandes geishas se construisent toujours une légende et celle de ta mère est encore plus tordue que mes cultures. Ah, les secrets de Fuyumi! Personne n'a jamais compris pourquoi elle épousait cet imbécile de tailleur.... Oh! Quelle grande idiote je fais! Ce tailleur, c'est ton père, je suppose?
- Tanaka-chan, enfin! Mais... je ne vois pas Isako. Où est-elle?
- Silence! Est-ce ainsi qu'on est accueilli chez soi?
- Pardonne-moi mon époux. J'ai préparé le thé, assieds-toi.
Tu as envoyé Isako faire une course, c'est cela?
- Non. Je l'ai vendue à une okiya, pas très cher malheureusement.
Daichi n'était pas très belle à l'âge d'Isako. Pourtant, elle est en train de devenir aussi jolie que Midori, sinon plus.
C'est à prendre en compte.
Victor L. pinel montre les différentes étapes pour réaliser une planche de BD pour l'album le Plongeon.