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3,64

sur 1012 notes
Ce roman "Par les routes" aurait bien pu s'appeler "L'autostoppeur". A mon avis l'un des héros de ce roman qui n'a pas de nom ni de prénom. L'autre héros c'est Sacha. A eux deux ils ont connu une belle amitié dans leur jeunesse et un jour on ne sait pourquoi elle est devenue toxique. Sacha, écrivain, vivant à Paris, décide de se mettre au vert et s'installe en Provence dans un petit village appelé V. On ne sait pas si c'est le hasard ou non, mais l'autostoppeur qui l'a connu jadis habite dans ce même village avec femme, Marie, et enfant Agustin. Pour Sacha, le célibataire, qui voulait être au calme et vivre en ermite avec pour seuls bagages, une valise de vêtements et une de livres...c'est raté. Très vite, son cousin l'invite , il y rencontre Jeanne, une collègue de ce dernier, qui elle, lui fait connaître un couple dont le mari n'est autre que l'autostoppeur. Sacha va leur rendre une petite visite. L'autostoppeur est surpris mais n'hésite pas à lui présenter sa petite famille. de temps à autre, l'autostoppeur part en vadrouille à travers la France sans femme ni enfant. Il prends soin de photographier les généreux voyageurs qui le prennent et échangent leurs adresses e-mail. de là il envoit des cartes postales à sa famille et à Sacha. La fin est très belle mais je ne vous en dit pas plus.

C'est un véritable récit de voyage à travers les petits villages ayant un nom symbolique pour lui. Tels que : Orion, Autruche, Bulle, Oust ou encore Marguerittes. Vous pouvez regarder sur des cartes ou sur un GPS (c'est ce que j'ai fait pour certains), ces villages ou lieux-dits existent vraiment. Au delà se joue une belle romance, bien écrite. Un livre dont on ressort grandie. Un livre où le hasard et la lenteur ont toutes leurs places. Pour ma part, c'est un livre dépaysant. Je ne peux que vous le recommander.
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J'aime de plus en plus la plume et l'univers de Sylvain Prudhomme. Après la surprise Les grands, le plaisir de Légende, j'avoue que Par les routes m'enthousiasme à tous les niveaux. Ses thèmes, son ambition, la souplesse de son rythme qui rend si agréable de cheminer sous sa plume. Comme pour Légende, une histoire d'amitié, un brin de nostalgie, l'exploration de ce qui relie les hommes. Là s'arrêtent les points communs. Ici, il est question des routes que chacun emprunte, chemins de vie, sentiers intimes ou routes nationales. Les ici, les ailleurs et les possibles.

Avec deux sacs pour seuls bagages, Sacha a quitté Paris pour s'installer dans une ville du sud-est de la France que l'on ne connaitra que par son initiale, V. En quête du calme propice à l'inspiration de l'écrivain, persuadé que "on voit mieux dans le peu. On vit mieux. On se déplace mieux, on conçoit mieux, on décide mieux". A peine arrivé, il apprend que celui qu'il appelle "l'autostoppeur", un ami qu'il n'a pas vu depuis seize ou dix-sept ans habite également à V. avec Marie et leur fils Agustin. Il y a longtemps, Sacha et l'autostoppeur ont parcouru les routes, dans le monde entier, en stop. L'autostoppeur a désormais une entreprise de réparation en tous genres, une compagne et un fils, mais il continue à s'offrir des escapades de quelques jours, toujours en stop. Tandis que Sacha s'installe, l'autostoppeur multiplie les départs, sous l'oeil bienveillant, compréhensif, puis de plus en plus dubitatif de Marie. Pourtant, il n'est pas question de fuite, plutôt d'une quête, d'une envie de rencontres... Se forme ainsi une drôle de cohabitation entre ceux qui restent et celui qui part, revient de plus en plus tard sans pourtant jamais vraiment les quitter.

Comme c'est agréable de prendre le temps, d'avancer lentement, tranquillement, guidé par la poésie qui se glisse par surprise au détour des pages. On n'a qu'une envie : attraper une carte Michelin, repérer des villages et se tracer un chemin selon l'humeur du jour. On sourit des trouvailles de l'autostoppeur dont les noms des étapes sont autant de messages et de clins d'oeil adressés à ceux qui sont restés à V., petites bulles de poésie, petits brins de tendresse. L'espace et le temps prennent une autre dimension, comme apprivoisés. La notion de famille se trouve joliment remaniée. Il flotte un agréable sentiment de liberté, de bien-être. La sensation d'appartenir au monde.

L'univers de Sylvain Prudhomme s'affirme au fil des livres et je sais désormais que je le retrouverai avec envie. Une fois n'est pas coutume, j'ai bien envie d'installer Par les routes sur ma table de chevet, histoire d'en donner un petit morceau à picorer à mes rêves chaque soir. Et vous savez quoi ? Je ne regarderai plus jamais les noms des villes et villages de la même façon.
Lien : http://www.motspourmots.fr/2..
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Sacha retrouve un ami perdu de vue depuis vingt ans, qui vit avec Marie (traductrice) et leur fils Agustin. L'autostoppeur (l'ami en question) prend régulièrement la tangente pour sillonner la France. Marie fatigue, d'autant plus que Sacha le narrateur, tel un coucou est prêt à prendre sa place dans le nid familial. "Par les routes" laisse un sentiment mitigé, tant l'intrigue reste somme toute banale et que le lecteur (en tout cas moi) se pose souvent la question, mais où veut en venir Sylvain Prudhomme ?
Pourquoi cet homme sacrifie peu à peu un univers familial harmonieux ? Il faut avouer que les motivations sont bien loin d'être évidente !
Entre indifférence pour les personnages et ennui (pour le lecteur), Prudhomme allonge ses pages de listes de villes, villages, églises etc... qui laisse perplexe.
On s'accroche tout de même car, l'auteur est assez malin pour susciter un brin de curiosité, mais je dois avouer que "légendes" son précédant roman était bien meilleur.
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Le voyage commence à V. une petite ville du sud-est de la France, la France de la Provence, des petits villages où il fait bon vivre. Sacha, notre narrateur, vient d'y emménage pour mener à bien son projet de roman. Quelle n'est pas sa surprise d'y rencontrer l'autostoppeur, son inséparable ami de jeunesse, que la vie avait cependant réussi à éloigner, maintenant marié à Marie et papa d'un petit Agustin, attachant et fougueux, comme on peut l'être à 9 ans.
L'autostoppeur, dont on ne connaîtra pas le nom, a gardé l'habitude qu'il a souvent partagé avec Sacha, de partir muni d'un sac à dos et d'un panneau de carton sur lequel est indiqué une destination, pour le plaisir de découvrir un territoire, un village, un hameau inexploré.
Même si le plaisir de la route est son moteur, c'est surtout l'envie de partager quelques heures avec des inconnus qu'il prend soin de photographier avant de continuer sa quête de nouveauté.

« Par les routes » est un livre étrange et fascinant qui raconte celui qui part mais aussi et surtout ceux qui restent. Sacha, Marie, Agustín restent et se rapprochent. Ils comprennent la nécessité de l'ailleurs, du toujours plus, du toujours plus loin, mais ils restent et attendent.

Ce livre plein de tendresse est à la fois une histoire d'amitié, une histoire d'amour, une histoire de partage, c'est magnifiquement écrit. J'ai apprécié chaque instant de ces ballades « Par les routes », avec cependant le regret d'avoir dû poser mon sac lorsqu'arriva le point final.

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Il faut laisser Sylvain Prudhomme nous prendre la main pour nous entrainer sur les traces de l'autostoppeur, même s'il n'est pas facile d'entrer dans le roman. Il n'impose rien, à chacun de trouver son rythme, sa respiration pour le suivre sur cet étrange chemin.
Le narrateur, c'est Sacha, quarantenaire désabusé, qui débarque à V. où il va retrouver cet ami perdu de vue qu'il ne nommera que par ce nom étrange et réducteur d'autostoppeur.
Sacha va commencer une nouvelle vie tout en se rapprochant peu à peu de Marie, l'épouse de l'autostoppeur et de son fils de neuf ans. Ensemble, ils vont attendre et suivre l'itinéraire sinueux de cet homme insaisissable, toujours parti sur les routes, le pouce tendu. Les photos qu'il envoie sont autant de traces pour ne pas perdre sa trace si légère. Sacha, lui, va découvrir le bonheur d'être en famille, la famille que l'ami toujours parti lui confie et lui « prête » par accord tacite.
Ce roman nous convie à la fois à un voyage immobile avec ceux qui restent et attendent le retour du voyageur dont les retours ne sont que de très brèves pauses avant un nouveau départ et à ces méandres dans des lieux inconnus et sans attraits sauf ceux que lui trouve l'autostoppeur.
L'autostoppeur a une consistance très floue, mais peut-être n'est-il que le double de Sacha, son fantasme rêvé ? Car, ne l'oublions pas, c'est Sacha et lui seul qui raconte de bout en bout cet étrange odyssée toujours recommencé.
On pourrait penser que ces errements le long des petites routes de France, ces villages traversés, ces rencontres éphémères vont finir par nous lasser. C'est sans compter sur le charme de l'écriture, la dimension romantique et la poésie du texte qui nous entrainent toujours plus loin. Sylvain Prudhomme sait nous faire partager ce plaisir du voyage sans but précis, si ce n'est un nom de village, cette aventure dans la France profonde, et ce goût du partage au gré des rencontres. On se plait à découvrir des noms de lieux insolites, à s'étonner de de petits détails insignifiants. Il y a une philosophie du voyage proche de celle des pèlerins qui prennent le chemin en le vivant au jour le jour, avec cet élan vers l'autre, l'inconnu et accueillant avec un bonheur simple tout ce qu'il peut leur apporter à chaque détour.
Sacha, lui, a choisi l'immobilité. Pourtant, le fait de suivre la trajectoire de l'autostoppeur va modifier en profondeur sa vie.
L'écriture, légère, tout en demi-teinte, est d'une grande poésie et le talent de Sylvain Prudhomme transforme des situations banales en grandes épopées romanesques.
Du grand art et une belle lecture.


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🎶 J'étais sur la route toute la sainte journée,
Je n'ai pas vu le doute en toi s'immiscer.🎶

Ce roman est moitié road trip, moitié sur place ; je m'explique : alors que Sacha, écrivain, la quarantaine fringante mais un peu flemmarde, quitte Paris et s'installe à V., village en Provence, afin de trouver l'inspiration pour son xième roman, il retrouve un ami perdu de vue depuis quinze ans, ami surnommé l'auto-stoppeur. Dans leur vie de jeunes adultes, ils ont parcouru des milliers de kilomètres dans des voitures de passage à hauteur de leur pouce levé. Leurs chemins se sont séparés à la demande de Sacha. Pourquoi ?

Dès les retrouvailles, l'amitié renaît de ses cendres, et Sacha est rapidement intégré dans le cercle familial de son ami, marié à Marie, et heureux papa d'Agustín, leur garçon d'une dizaine d'années. Une vie confortable et plutôt sédentaire pour cet homme ayant la bougeotte.
L'arrivée de Sacha va servir de catalyseur à l'auto-stoppeur, sa passion nomade se ravive, le démange au point de laisser sa famille au bord du chemin et parcourir les routes de France sac au dos, cheveux au vent, au gré des itinéraires des conducteurs qui acceptent de parcourir un bout de chemin avec cet insolite passager dans leur habitacle.
C'est un roman particulier, qui m'a plu, sans que je puisse expliquer vraiment pourquoi : l'humanisme qui s'en dégage, le temps qui passe, la poésie d'un texte attendrissant, la musicalité des noms de villes, villages, hameaux français traversés par l'auto-stoppeur, le hasard de belles rencontres et la bienveillance transparaissant à chaque page; la mayonnaise a pris et je l'ai dégustée avec plaisir.
Un roman qui fait du bien à l'âme, sans prise de tête.

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Ce roman est comparable, peut-être volontairement pour l'auteur, aux aléas de l'auto-stop -- pratique qui a grandement régressé avec l'arrivée des moyens de réservation de trajets par internet -- en ce sens qu'il démarre assez fort avec de belles pensées, puis s'enlise gentiment dans un petit mélo amoureux, et se termine par une très belle page sur la constellation d'Orion, ce qui me permet de lui décerner le même nombre d'étoiles qu'en possède le célèbre baudrier. Sinon...

Les personnages ne sont guère attachants, en tout cas aucun des deux hommes, bien paumés dans leurs incertitudes. Marie sort du lot tant bien que mal en exhibant "ses petits seins adorablement blancs" mais si elle est une bonne traductrice, elle manque elle aussi d'esprit de décision sur le long terme, lequel l'aurait sans doute aidée à conduire son existence mieux qu'en subissant les inconstances de son compagnon auto-stoppeur.

On peut tout de même voir dans ce livre une réflexion sur le bonheur et c'est l'une de ses réussites. Mais alors elle illustre aussi l'impossibilité de partager certains plaisirs lorsqu'ils sont vraiment singuliers -- faire de l'auto-stop sur des semaines entières sans but précis -- et donc la nécessité de les vivre seul hors d'une amante et d'une famille.

J'ai quand même aimé l'écriture alerte et les dialogues quelquefois savoureux ainsi que les pointes d'humour qui apparaissent selon que chacun puisse les apprécier et, bien sûr, quelques belles phrases sur les saisons, la chute des feuilles des platanes ou l'hiver dans le nord de la France.
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Petit coup de coeur pour ce roman qui prône la liberté et l'amitié. Sacha vient s'installer en Provence, dans la ville où son compagnon de FAC y vit avec sa femme et leur fils. Étrange personnage qui ne peut pas s'empêcher de partir sillonner les routes de France en auto-stop à la rencontre de ses semblables. Besoin vital qu'il a du mal à expliquer. C'est comme ça, c'est tout ! Il va partir de plus en plus souvent et de plus en plus longtemps, les courriers qu'il envoie aux trois êtres les plus chers à son coeur vont s'espacer aussi.
L'auteur nous fait voyager en France en choisissant des noms rigolos. Et tout ça sans bouger de chez moi à moins que l'envie aussi nous prenne, qu'on attrape son sac à dos et... Belle coïncidence puisque je l'ai lu le week-end dernier alors que j'étais dans le Morvan où des photos étaient exposées à l'accueil du camping. Je m'interroge sur l'une d'elle et on me répond : C'est l'équipe d'un championnat d'auto-stop. 74 duos étaient au départ en Suisse. L'équipe féminine qui a gagné a fait 350 kms. Étonnant, non !
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Livre attachant qui met en scène un écrivain (un peu en panne) une traductrice Marie, son fils Agustin et le mari, étrange: depuis sa jeunesse, il éprouve le besoin de parcourir les routes en stop sans but géographique précis mais pour faire des rencontres même brèves.
Marie s'en amuse au début puis s'en fatigue. Elle accueille Sacha, l'écrivain, ancien copain de l'auto-stoppeur.
Ce dernier va et vient puis va sans revenir en envoyant des cartes postales à son fils, sa femme et son ami; beaucoup puis de moins en moins.
J'aime beaucoup Sylvain et son écriture douce et lente.
La personnalité de l'auto-stoppeur me reste un mystère: je comprends sa passion mais pas son égoïsme: il abandonne son travail, sa femme et son fils. Sacha l'avait autrefois chassé de sa vie, les retrouvailles sont éphémères.
Une belle lecture.
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Ce livre est un amour. Je veux dire, je le referme et je garde en moi cette écriture qui est absolument et sincèrement désormais au rang de mes amours d'écriture. de style. de perfection dans la simplicité. Mais d'abord, la présentation de l'éditeur :

«J'ai retrouvé l'autostoppeur dans une petite ville du sud-est de la France, après des années sans penser à lui. Je l'ai retrouvé amoureux, installé, devenu père. Je me suis rappelé tout ce qui m'avait décidé, autrefois, à lui demander de sortir de ma vie. J'ai frappé à sa porte. J'ai rencontré Marie.»

Sylvain Prudhomme, je ne l'avais jamais lu, et j'ai découvert qu'il'avait publié déjà 13 livres. Il est né en 1979, et de fait, rentre dans la peau d'un écrivain de son âge, la quarantaine, qui décide un jour de partir de Paris pour trouver un peu de calme afin d'écrire son roman. Il choisit une petite ville de Provence, pas loin de la mer. Une petite ville avec une belle luminosité, calme en dehors des vacances. Il y connait un cousin, un ami d'ami, c'est tout. Il s'installe dans un meublé, en centre ville, et fait de petites choses, comme de petites courses, l'installation de la wifi, tout en s'interrogeant sur ce milieu de sa vie, qu'il pense avoir atteint, là. Il est invité à une soirée par son cousin, et rencontre des gens qui connaissent son ami et colocataire d'il y a vingt ans : l'autostoppeur. L'autostoppeur habite cette petite ville aussi. Depuis quatre ans. Il vit avec Marie et Agustín, leur enfant. Ils se rencontrent. L'autostoppeur a toujours une vie agitée, quand ça le prend, il part, sans téléphone, avec un petit sac à dos et s'en va. Alors que le narrateur est immobile, à se creuser la tête pour des mots, pour raconter une histoire qui s'appellerait "La mélancolie des paquebots". Il y a vingt ans c'était pareil. Il lui disait d'arrêter de lire et de sortir dans la vraie vie, celle des gens, les gens qu'il rencontre en faisant de l'autostop. On ne saura jamais le nom de cet autostoppeur, a part à un endroit du livre, comme caché, je ne sais pas si c'est vraiment son nom. le narrateur va tout doucement rentrer dans la vie de cette petite famille, et tomber amoureux de Marie, la compagne de l'autostoppeur.

Sylvain Prudhomme raconte tout cela, chaque petit fait, en phrases très courtes souvent, jamais de points d'interrogation dans les dialogues, même si l'on voit bien qu'il y en a eu une oralement, de question posée. Les mots sont choisis avec exactitude, d'une précision remarquable pour n'avoir pas besoin d'adjectifs et d'adverbes qui alourdiraient le récit. Les descriptions sont pourtant magnifiques. Pas de langage ampoulé, pas de mots savants ni de mots peu usités, l'auteur raconte cette aventure, et les aventures de l'autostoppeur avec une simplicité remarquable. J'ai rarement été en admiration devant un style d'écriture, à part bien sûr Colette, et Jane Sautière.

Avec Par les routes, Sylvain Prudhomme raconte la force de l'amitié et du désir, le vertige devant la multitude des existences possibles. Et offre une force de style peu commune.





Par les routes - Sylvain Prudhomme, ed L'Arbalète, 21 Août 2019, rentrée littéraire 2019, 205 pages, 19€


Lien : https://melieetleslivres.wor..
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