Le dilemme de la gazelle

La vie de toutes les espèces encore vivantes sur cette planète doit en permanence (ou en quasi permanence) faire face à des choix. Ces choix, ils sont plus ou moins stratégiques. Ils sont parfois vitaux. L'exemple le plus parlant est sans doute celui de la gazelle de Thomson pour qui manger peut-être un risque de se faire manger. Si manger est un besoin vital, le risque qu'elle encoure à remplir se besoin primaire faire bondir celui d'être dévoré par un prédateur à l'affut de la moindre inattention.

Les choix que nous faisons sont la résultante d'une série d'évolution au fil du temps. L'évolution permet de comprendre un peu mieux comment chaque individu évolue.

Les dilemmes biologiques, pour paraphraser l'auteur, sont dictés par cette évolution. Et personne n'y échappe.

Bien sûr, les dilemmes ne s'arrêtent pas à la simple à l'histoire de vigilance lorsque l'on déguste un bon repas herbeux ! Les dilemmes se cachent aussi dans notre physique, dans notre génétique ou même dans notre énergie ! Les dilemmes sont partout et nous n'en avons pas forcément conscience lors de chaque phase de notre vie ou lors de chaque phase de notre quotidien. Ces dilemmes sont partout visibles, notamment par la couleur de nos yeux !

Mon avis : je me suis posé plusieurs fois la question de l'immortalité. Je ne suis sans doute pas le seul. Ce livre m'a sans doute conforté dans mon idée que l'immortalité n'est pas vraiment souhaitable, en tout cas dans un sens biologique. Toutes les innovations de l'évolution seraient réduites à zéro. A quoi ressemblerions-nous alors… Au-delà de cette simple question, c'est un livre très instructif sur la façon dont l'évolution nous amène à faire des choix vitaux.

Parfois un peu complexe et technique, il peut cependant rebuté certains lecteurs sur quelques passages ardus. Passez outre, d'autres riches informations regorgent dans ce livre !
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