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C'est dans un noir et blanc contrasté et profond que se développe cette histoire. Entre le mystère entourant ce « con » et les saillies du narrateur, l'histoire est aussi drôle que sombre. le narrateur est piégé rapidement dans la maison, entre les cadavres de la cave, le con et la mère du con. Tout comme lui, nous ne comprenons pas grand chose. Mais ce qui tient c'est l'attachement ressenti. C'est un syndrome de Stockholm qui s'installe et le narrateur trouve chez son geôlier un être attentionné. Celui-ci réserve quand même des surprises car nous ne pouvons pas vraiment lire ses émotions. Derrière ces petites lunettes rondes, rien ne transparaît. Ses yeux ne sont jamais visibles. C'est une longue figure impassible qui mène cette histoire, dont la présence mystique est encore plus renforcée par la bonhommie du narrateur. La rondeur, la gouaille et l'hygiène légère de celui-ci le rendent sympathique et ce personnage devient notre seul repère dans la narration. Les deux auteurs parviennent à conserver le flou au coeur de cette BD qui repose sur le contraste. Les dialogues opposent souvent les paroles des interlocuteurs et les pensées du narrateur. Celui-ci s'exprime peu, étant souvent en retrait. Il évolue un peu brouillon dans des décors aux réalisme appuyé. Cette ambiance fait penser aux grandes adaptations de Nestor Burma par Tardi. L'argot est réjouissant, le suspense total et la fin pleine de mélancolie, un goût amer qui reste longtemps après la lecture.
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Ayant beaucoup apprécié "Le jardin du bossu " de Franz Bartelt , j'ai commencé la lecture de cette adaptation en bande dessinée avec un esprit critique aiguisé — j'avais toujours le roman en tête !

Mais voilà , dès le début , je me suis à nouveau laissé entraîner dans les aventures déjantées d'un petit voyou ordinaire qui , s'abritant derrière une idéologie gauchisante va s'autoriser à se procurer de l'argent facile pour l'amour de sa belle .
Bien sûr tout va se compliquer et notre tendre voyou amoureux va se retrouver en mauvaise posture .
Et , l'on va suivre son aventure au quotidien : connaître le déroulement de l'histoire n'altère en rien le plaisir de lecture .

Belle surprise donc . le graphisme expressif et le texte reflètent parfaitement la finesse et la sensibilité d'analyse du roman . Son cynisme aussi . Et , l'ensemble ponctué de termes argotiques ou naïfs reste délicieusement jubilatoire du début à la fin .

Petite note d'humour propre à la B.D. , je trouve un faux air de Coluche au tendre voyou et sans dévoiler l'intrigue , je ne peux passer sous silence l'apparition d' un personnage sous les traits de Lino Ventura !
Humour ou émotion .
Il semble que cet ouvrage , tout en noir et blanc , nous ramène dans une banlieue glauque digne des décors du "cinéma de papa " des années 50/60 .
Un très bel album malgré son titre peu affriolant .

Et , c'est donc avec plaisir que je vais saluer la qualité de cette adaptation .
Un excellent divertissement que je dois à Masse Critique Privilégiée alors grand merci à l'équipe de Babelio et aux éditions Delcourt .



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Une adaptation réussie du Jardin du Bossu de Franz Bartelt, tout en nuances de noirs et de blancs pour cette fable obscure dans laquelle la naïveté badine côtoie l'effroi le plus sombre.

Pour situer le jardin du Bossu de Franz Bartelt, je dirai que c'est un peu comme la rencontre du Dîner de cons et des délires les plus déjantés et grinçants d'un auteur comme Palahniuk.

Un quidam désargenté se voit sommé par sa compagne de trouver de l'argent. Noyant son chagrin dans un troquet, il se fait offrir des verres par un homme soul qui semble très en fonds.Voyant l'aubaine, il décide de suivre le poivrot jusqu'à chez lui pour le dévaliser. Arrivé sur place et croyant l'affaire emballée, notre homme se retrouve devant le canon d'un revolver : le type jouait la comédie. le néo-cambrioleur va ainsi être séquestré et vivre des aventures successives dans lesquelles le sordide le dispute à l'invraisemblable.

Cette bande dessinée est un très bel objet, tout en noir et blanc, ce qui convient parfaitement au propos. le dessin emprunte au classicisme du neuvième art, les traits des personnages ont une certaine naïveté mais sans exagération, on est quand même dans de la BD noire. Il y a des planches avec des effets de cadrage originaux et adaptés, mais surtout ce qui m'a plu dans la forme c'est la qualité des nuances de noirs et de blancs. Il y a des détails et des lavis très subtils, des petites plages de blanc qui brillent, c'est une réalisation de grande qualité.

L'adaptation du scénario suit la trame du roman, elle très fidèle. Je n'ai plus assez le livre en tête pour me rappeler si tout y est, mais les principaux épisodes sont bien présents. On retrouve aussi l'essence des dialogues et de la trame narrative. La balourdise du personnage principal qui contraste avec sa sincérité. Les questions sociales en filigrane, même si sur ce support ce sillon est beaucoup moins creusé.

Ce qui m'a un peu surpris dans la version BD c'est la vitesse à laquelle est menée l'intrigue. On passe d'une scène à l'autre très rapidement et finalement on est vite rendu au terme. le roman prenait plus le temps de la répétition, ce qui en rajoutait à l'effet étouffant de la séquestration. Ce n'est pas un défaut en soi, mais cela risque de surprendre ceux qui ont lu le livre en premier.

Mais c'est une adaptation réussie sans aucun doute. Il faut dire que l'ouvrage de Bartelt se prête exactement au genre. de par sa construction et jusqu'à son dénouement très BD. Même si le format permet moins de développement philosophique, l'image, par son entremêlement de noir et de blanc, illustre parfaitement cette espèce de lutte des classes ambiguë qui se joue jusque dans le burlesque et aux limites du gore.

Je remercie Babelio et les éditions Delcourt d'avoir fait de moi le destinataire privilégié de cette très belle bande dessinée que je ne saurai que trop vous recommander. Pour ceux qui auraient la flemme ou manqueraient de temps pour lire le jardin du Bossu, c'est un substitut idéal. Pour les autres une belle remise en perspective.

http://casentlebook.fr/la-cage-aux-cons-robin-recht-et-matthieu-angotti-dapres-franz-bartelt-delcourt/
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Tel est con qui croyait con.
Voilà la formule qui m'est venue à l'esprit en lisant cet album.
Mais avant toute chose, je tiens à remercier Babelio et les Éditions Delcourt pour m'avoir permis de lire une BD irrésistible.
Car oui, disons le tout de suite : j'ai aimé : le scénario loufoque, les personnages attachants, le dessin noir qui contraste assez bien avec une BD haute en couleur.
La dérision, les rebondissements, une intrigue montant en puissance et une fin plus qu'inattendue en font un tout irrésistible.

Pour faire simple : ce qui n'est pas une mince affaire avec cet album!!!
-Nous avons Karine dont le rêve c'est de devenir capitaliste; elle "fantasme en dollars, comme à la télé". Elle n'apparaît pas dans l'album si ce n'est qu'elle est présente constamment dans l'esprit de "son grand amour" - c'est ainsi que le monsieur se qualifie.
-Nous avons celui qui se surnomme Cougouar, l'amoureux fou de Karine mais qui, portant un marcel à rayures, est un looser, fauché comme les blés. Basé sur l'idée de gauche, avec des principes, il se dit humaniste et poète à ses heures. "Le pognon c'est que par amour pour Karine".
"Elle est pour le pognon, et lui pour Karine donc il ne peut pas être contre le pognon".
-Nous avons le con, celui qui un soir va se vanter au café d'avoir du blé plein la baraque.
Une aubaine pour notre philosophe du dimanche et amoureux transit : "Je parie qu'il dit vrai, c'est mon côté pascalien".

Alors tout peut commencer : Cougouar va suivre le con, le soulager de trente ou quarante patates (pas plus car il n'a qu'un sac en plastique dans lequel il a chouré son dernier sac de bière) et repartir, retrouver Karine.

Mais voilà, une fois l'argent mis dans le sac, la lumière s'allume et le "con" va prendre la main....

Pour la suite il vous faudra lire l'album. de la couverture à la dernière de couv., le dessin pourtant surligné de gros traits noirs, montrera toute sa subtilité, la recherche constante des détails. Petit indice : le con porte des lunettes mais.... nous ne voyons pas ses yeux...

Tout y est dans ce qui est un vrai huis-clos, digne d'un vrai bon polar qui aurait été agrémenté de quelques dialogues à la Audiard.

A vous maintenant de vous laisser embarquer!
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Après « le dîner de cons », la cage aux cons comme pour décliner le même principe mettant en avant un vrai imbécile. du moins le croît-on naïvement au départ. Comme dit, l'habit ne fait pas le moine.

J'ai littéralement adoré cette bande dessinée que je qualifie volontiers de magistrale. Tout d'abord, le dessin est réellement magnifique. Il possède un côté » pictural extrêmement plaisant à regarder. Robin Recht s'éloigne un peu du style qu'il avait adopté dans « Désintégration – journal d'un conseiller à Matignon » ou encore du « Troisième Testament - Julius ». En l'occurrence, il donne dans un charme un peu rétro.

Par ailleurs, on est tout de suite plongé dans la psychologie du personnage principal, un sympathique homme amoureux d'une femme vénale qui le met à la porte. On va partager son angoisse, ses interrogations, sa fuite en avant. On va trembler avec lui et on va admirer son calme et sa détermination à s'en sortir devant le traquenard dans lequel il est bêtement tombé.

Je ne me suis pas ennuyé une seule minute tant l'intrigue est passionnante. Et franchement, c'est un scénario de fou ! La mise en page est d'ailleurs assez variée et plutôt ambitieuse par moment. Tout concourt à une grande maîtrise de ce récit aux accents de polar noir mais qui sort des sentiers battus.

L'expérience de cette lecture a été pour le moins déroutante surtout avec la révélation finale qui fait de l'effet. C'est également une approche assez moderne et au final assez savoureuse. Bref, un petit bijou et surtout une sacrée réussite.

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Quand Karine fiche à la porte de leur maison le narrateur de cette histoire parce qu'il n'a pas rapporté de pognon , il se dirige tout naturellement au Bar à la recherche d'un con à plumer. Et là, il est servi parce que le pigeon qui est ivre est plein aux as ...Une affaire facile , lui semble t'il , pour revenir les poches pleines chez son grand amour !

Mais, mais mais , cela ne va pas vraiment se passer comme il l'avait imaginé , avec son raisonnement plutôt simpliste , son bon fond , ses idées de gauche et son penchant pour la poésie et la philosophie de comptoir.

Un scénario original pour cette histoire en noir et blanc et qui tient bien la route avec une pincée d'Hitchcock, une pincée d'Audiard pour la tête du flic ( mais un peu moins pour les dialogues ... ) et une pincée de Simenon pour l'ambiance franco-belge, cette BD est adaptée du roman le jardin du bossu de Frantz Bartelt , l'auteur de l'Hôtel du Grand Cerf dont on retrouve effectivement aussi ici l'aspect déjanté .

J'ai bien aimé également le graphisme bien adapté à l'atmosphère et la belle couverture de cet album.

Je remercie Masse Critique et les Editions Delcourt pour ce plaisant et divertissant moment de lecture
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Un dessin en noir et blanc, avec un trait un peu pâteux, épais, des nuances gris sâle, tout cela s'accomode parfaitement au récit, un peu glauque, avec des personnages pas nets du tout et une ambiance lourde et malsaine. On ne connaîtra pas son nom, le personnage central, c'est une petite frappe, un peu de bide et grosse moustache, une vie de merde. Après une dispute avec sa chérie, il décide de cambrioler un “con”, le coup facile, sauf que ça va tourner de façon bizarre, et il va se retrouver otage de ce con. J'avoue qu'àprès la première surprise, d'autres bien gratinées vont suivre. Les auteurs ont su créer une ambiance de huis clos formidable, un tête à tête truculent, drôle et cynique et qui va s'achever en apothéose, le genre de final vertigineux, jubilatoire, qui restera forcément gravée longtemps dans ma mémoire et qui fait qu'on ressort de cette lecture avec la banane.
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"La cage aux cons" est une adaptation en BD et en noir et blanc par Robin Recht et Matthieu Angotti du roman "Le jardin du bossu" de Franz Bartelt.
L'histoire est toute simple. Un petit voyou de gauche (il y tient beaucoup) est mis à la porte de chez lui par sa Karine de bonne femme parce qu'il n'y a plus de fric à la maison. Donc, premier arrêt sur le chemin du pognon : le troquet du coin. Et là, voilà-t-y pas qu'il tombe sur le con, un bourgeois complètement torché qui se vante de tout le pognon qu'il a caché chez lui. Alors, quand le con rentre chez lui, notre gauchiste va le suivre dans l'idée de réaliser un petit casse, parce que sa Karine lui fait des trucs cochons quand il ramène du fric. Mais, évidemment, une fois chez le bourgeois, tout ne va pas se dérouler comme prévu, et c'est un huis clos déjanté qui se met en place. Avec son rebondissement final encore plus rocambolesque et des réflexions à l'humour très noir.

Au final, un très bon roman graphique déjanté qui te fais te bidonner tout seul dans ton coin, très utile quand, comme en ce moment, il pleut sans discontinuer depuis une semaine. Je ne peux donc que remercier chaleureusement Babelio pour m'avoir choisi pour sa Masse Critique.
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La cage aux cons, ce titre me fait écho sans savoir pourquoi à La cage Aux folles, troublant cette association et à la chanson de Georges Brassens, Quand On Est Con, c'est dans cet esprit que je pénètre dans cette bande-dessinée et je ne suis pas du tout déçu, j'en souris encore de cette farce ubuesque et de la trame avec beaucoup d'humour et de détachement. le style du dessin est du noir et blanc, les auteurs ont voulu un dessin épuré, voir grossier, surtout les personnages, le décor est vraiment présent sans être dans une finition extraordinaire, mais le trait est soigné, une belle réussite, comme les dialogues, une certaine poésie s'en dégage, avec des accents d'ironie d'un humour noire, et une littérature de roman noir pour épicer la prose. Je remercie Babelio et les éditions Delcourt pour cette lecture et aux créateurs de cette inspiration de légèreté d'humour froid à la Jérémy Ferrari.
L'intrigue est fort simple, une petit voyou de petites combines, veut par amour d'une femme Karine, lui faire plaisir et la noyer d'argent, car elle rêve de devenir capitaliste, elle fantasme en dollars comme à la télévision, comme le dit cet homme, le couguar comme il se nomme, son physique est typique d'un baroudeur de bar, voir un Biker trentenaire, comme avec Coyote et certains de ses personnages, dans Mammouth & Piston et Little Kevin, un peu de ventre, moustache tombante, une grande pilosité avec son marcel , ces pattes de rockeur , sans tatouage, cheveux mi long et le crâne un peu dégarni. Alors il décide de braquer la maison du Con rencontré dans un bistrot de quartier et de ces habitués. Celui-ci d'une verve d'ivrogne claironne de son argent caché dans un tiroir de sa salle à manger, de là ce petit brigand socialiste dans l'âme, décide de son amour pour Karine de le suivre pour le voler et rendre sa Karine princesse de cet argent, l'histoire est simple comme le monde, petite expression passe partout, mais j'aime l'utiliser pour décrire l'état d'esprit de notre couguar amoureux, transporté par ses sentiments du moment. Il y a beaucoup de tendresse de ce personnage, sa poésie, adepte De Musset, amateur fou de l'alexandrin, il en cite, ceux qu'il n'oublie pas comme un de Victor Hugo, et aussi Poyette. Il est aussi un socialiste, comme je vous l'ai dit, il n'est pas un violent, n'agresse les personnes âgées, ses idées sont basées sur l'idée de gauche, ce qui est assez ironique, seul la droite peut se permettre d'être méchante gratuitement, à méditer avec le sourire.
Le con est très souvent utilisé dans cette histoire, dès le début, la première page, notre gauchiste au coeur d'or l'est pour sa Karine, Rabelais disait ; « Par le monde, il y a beaucoup plus de couillons que d'hommes. », et la chanson de Pierre Perret « On est toujours le con de quelqu'un. », le couguar est le con de Karine, Jacques est le con du couguar, le couguar est le con de Jacques….J ‘aime fredonner de temps à autre la chanson de Brassens et ces paroles amusantes, « Quand on est con, on est con! », tout simplement ce qui convient parfaitement à la trame de cette bande-dessinée.
Je ne vais pas dévoiler la suite de l'intrigue, toute surprenante, avec ce Jacques qui se faisant cambrioler, devient par la suite celui qui gère La cage aux cons. Un peu de suspens, venez, vous divertir avec cette bande-dessinée, et cette fin digne d'un polar de Harlan Coben, avec un rebondissement qui change toute l'histoire.
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Entre le dîner de cons et la cage aux folles, la cage aux cons est une bande-dessinée en noir et blanc où s'affrontent dans un drôle de scénario des forces antagonistes comme les riches et les pauvres, la droite et la gauche.
C'est l'histoire d'un malfrat, un gauchiste, un poireau, le genre de gars qui traîne dans les bars du peuple et il se fait cambrioleur pour l'amour d'une belle. Il saute sur une occasion en or et se retrouve comme un con chez un con, tout ça pour une femme donc, comme dirait Rabelais, pour un con.
Une BD franchouillarde-belge qui relève du genre du polar, du point de vue d'un criminel, d'un vieux délinquant bedonnant, une BD amusante que je recommande à tous les vieux cons. D'ailleurs il faut que je sorte du placard mon vieux tee-shirt "Je suis à côté d'un con" ainsi que le tee-shirt de mon conjoint " La confrérie des vieux cons d'Auvergne", comme ça on fera la paire. Je me permets d'ailleurs de citer dans cette critique l'un des confrères des vieux cons d'Auvergne parce qu'on dirait qu'il nous parle du poireau qui est le personnage principal de cette BD : "Pourquoi un poireau ? Il y a diverses interprétations. Certains y ont vu un symbole phallique. Certains ont assimilé poireau à poivrot. Moi je dirais plus compliquemment pour plagier Maître Capelo que le poireau fait partie de la famille des liliacées au même titre que l'ail qu'on a souvent associé au poireau [...] et en fait dans la famille des liliacées on trouve des belles fleurs comme le lilas, on trouve même des fleurs qui ont un symbole de pouvoir comme le lys et on trouve le poireau et pour moi, c'était le con de la famille".
PS : Citation extraite de cette vidéo : https://www.rolandpellicer.fr/confr%C3%A9rie-des-cons-d-auvergne/a-la-t%C3%A9l%C3%A9/ (extrait de France 3 Auvergne)
PS2 : Merci à Babelio et à la maison d'édition pour cette BD qui va en amuser plus d'un dans mon entourage.
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