La Grande Misère est bien sûr un document sur la perversité du nazisme et le fonctionnement d'un camp où furent enfermées plusieurs dizaines de milliers de femmes, dont 28.000 mourront de mauvais traitements ou d'extermination pure et simple. C'est aussi un récit sur la survie de celles, russes, juives, tziganes, françaises, polonaises, etc. qui durent affronter la faim, la saleté et l'humiliation et en arrivèrent à se battre pour un quignon de pain ou une place dans un lit.
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