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Campus Leighton tome 1 sur 1
EAN : 978B0BN4HSC2N
396 pages
(23/12/2022)
4.33/5   15 notes
Résumé :
Entre rivalités et attirance, la frontière est plus fine qu’une lame de patin.

Me retrouver avec un coéquipier comme Quinton de Haas n’a jamais fait partie de mes plans. Jamais. Ce type est insupportable. Il a le don de me faire sortir de mes gonds, et ça ne date pas d’hier. À vrai dire, notre animosité n’a pas cessé de croître au fil des ans, et jouer dans la même équipe n’arrange rien.

Nous ne pourrions pas être plus différents l’un d... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Une relation explosive, tendue et sulfureuse entre deux joueurs de hockey au sein d'une même équipe. Bien que la phase "piques" soit assez courte, j'ai aimé la complémentarité du tandem ainsi que leur humour. La plume est fluide, on prend plaisir à découvrir l'évolution de leur relation. On se demande quand le "secret" finira par s'éventer. Certes, certaines thématiques auraient pu être approfondies mais, après une lecture sombre et une semaine bien remplie, ce titre hot et doudou m'a fait du bien. Je n'en demandais pas plus.
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Si Oakley déteste vraiment quelqu'un, ça ne peut-être que Quinton de Haas.
Autrefois adversaires sur les arènes de hockey, les voilà contraints à devenir coéquipiers. Et pour couronner le tout, C'est de Haas, qui a été nommé capitaine par le coach qui n'est autre que le prestigieux oncle de Oakley, ex star de la NHL, tout comme son père.
Les défaites s'accumulent. Tous les coups sont permis pour déterminer qui est le meilleur. Quinton a le sang chaud, on dirait bien qu'il a lui aussi à prouver quelque chose, et il n'hésite pas à pousser son ennemi juré au-delà de ses limites.
Alors, quand lors d'une soirée, l'un lance un défi idiot, l'autre ne peut que l'accepter et ça se finit dans la salle de bain avec l'évidence que Quinton n'est peut-être pas si hétéro qu'il le croit.
Contre toute attente, l'équipe gagne le lendemain.
Saviez-vous que certains sportifs sont très superstitieux ? Mêmes chaussettes, même caleçon à chaque match. Et bien, nos deux bonhommes se disent que, peut-être, leur petit interlude y est pour quelque chose dans leur victoire.
Qu'à cela ne tienne, ils vont en faire un rituel de veille de match. le pire, c'est que ça semble marcher !
Alors, autant dire qu'au début, je n'y croyais pas du tout. J'ai pensé à un ennemis to lovers traditionnel qui allait être une bonne lecture et en fin de compte, j'ai plus qu'adoré.
C'est vrai que la situation déclencheuse est assez inattendue, mais la relation qui en découle avec ce glissement d'adversaires à amants puis amoureux se fait sur le long terme, avec introspection des deux personnages auxquels on s'attache. Les voir hésiter, garder leurs oeillères leur a ajouté la sensibilité qui leur manquait parfois dans une histoire certes spicy, mais aussi pleine de sentiments et de rebondissements, sous la plume de CE Ricci que je découvre.
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Qu'on se le dise, la sortie de 𝙱𝚛𝚒𝚜𝚎𝚛 𝚕𝚊 𝚐𝚕𝚊𝚌𝚎 peu de temps après celle de 𝙻'𝚎𝚐𝚘𝚌𝚎𝚗𝚝𝚛𝚒𝚚𝚞𝚎 pousse à faire la comparaison entre les deux. Sur le papier, il y a de quoi : des romances entre deux hockeyeurs sous fond de rivals to lovers. Mais là où le roman d'Eden Finley nous dévoile une romance sportive entre deux sportifs professionnels ; C.E Ricci nous offre une romance universitaire entre deux jeunes hommes au début de leur vie d'adulte. Et là est toute la différence.

🏒 le hockey est finalement assez peu présent même si Oakley et Quinnton vivent pour ce sport. On aura peu à se mettre sous la dent à ce niveau là : quelques matches par ci par là, mais exit la vie de vestiaires, les entraînements sur et hors glace. le roman est vraiment centré sur la romance entre nos deux rivaux. Et on peut dire que ça part sous les mauvais auspices. Ils se détestent purement et simplement et c'est donc un délice de les voir se rapprocher. de la haine à la passion, il n'y a qu'un pas et si leur relation devient d'abord physique (et ils sont sacrément hot), j'ai adoré voir leur complicité se construire, les gestes doux arriver, les confidences se dévoiler. C'est la grande réussite du livre : j'ai vraiment vu la passion engendrer une amitié timide puis les sentiments arriver. Et je les ai vraiment trouvé touchants.

🏒 Mon seul bémol concerne le manque de développement des relations avec les autres personnages, j'aurais aimé voir plus de scènes de vie avec leurs amis ; le coach est l'oncle de Oak et pourtant on ne les voit jamais se parler... J'ai presque eu l'impression de lire un huis clos, certes torride, entre Oak et Quinn. J'ai ma petite idée sur les personnages du tome 2, je croise les doigts pour avoir raison et j'ai hâte de lire la suite !
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Oakley Reed représente l'héritier parfait du hockey, fils et petit-fils de légendes dans ce sport, le poids des attentes qui pèsent sur ses épaules est parfois lourd à porter. Avec Quinton de Haas ils sont rivaux, se détestent depuis des années et ils ne s'attendaient vraiment pas à se retrouver à devoir jouer ensemble à l'université. 3 ans plus tard, la situation n'a pas changé, Quinton est toujours un volcan prêt à exploser, il déteste jouer avec Oakley et cette animosité se ressent sur la glace : l'équipe enchaîne les défaites ! Ces rivaux ne s'entendent que sur deux sujets : leur soif de gagner au hockey et les superstitions…
J'ai tout bonnement adoré ce premier tome. Au début, je me suis sérieusement demandé comment l'auteure allait réussir à sortir de la spirale de haine qui les entoure. J'ai souri devant sa solution en mode chat du Cheshire … je ne pensais pas m'accrocher autant aux personnages et au milieu du livre mon affection s'est renforcée pour l'un des deux protagonistes. Oakley sort de sa coquille au fil des pages alors que Quinton s'apaise. Ils forment un très bon duo et un couple qui va me rester en tête pendant encore un moment. La plume de l'auteure est fluide et très agréable à lire, j'ai hâte de lire le second opus. En bref, si vous aimez le hockey, les romances universitaires, le mm et des héros qui se détestent comme jamais… foncez vous ne le regretterez pas.
Lien : https://www.facebook.com/aub..
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Une nouvelle saga sur des sportifs universitaires, je dis oui !!! Et on commence avec du hockey et un bon ennemi to lovers. Que demander de plus?

Oakley et Quinton sont coéquipiers depuis leur entrée à l'université il y a 4 ans et sont ennemis depuis plus longtemps encore. Quinton est impulsif et assez brutal tandis que Oakley est plus posé et aime tout maîtriser.
Cette année l'un est nommé capitaine au grand dam de l'autre et de certains autres coéquipiers. Et suite au départ des diplômés, ils se retrouvent souvent ensemble sur la glace et c'est la catastrophe. Leur équipe enchaîne les défaites...
Lorsque qu'une enième provocation les rapproche et qu'ils gagnent ensuite leur match, il se pourrait qu'une nouvelle superstition voit le jour...

C'est un bon ennemi to lovers entre un gay assumé et un bébé bi qui ne se pose pas (assez?)de questions.
Mais au final il ne se passe pas grand chose, les scènes sont souvent juste entre eux deux (et souvent des scènes de sexe). Quelques personnages secondaires qui semblent intéressants sont introduits mais on a quasi aucune interaction entre les protagonistes et leur famille/meilleurs amis/colocataires...
Point positif, pour une fois dans une romance mm sportive ce n'est pas le thème du CO qui est au centre du récit.

Malgré tout j'ai aimé leur histoire, très agréable à lire et sans prise de tête, les deux protagonistes sont attachants et je lirai le prochain tome sans hésiter.

#briserlaglace #netgalleyfrance #MM #hockey #ennemiestolovers #lesopposéssattirent
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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
— Les superstitions sont à peu près la seule chose que je prends autant au sérieux que le hockey. Et c’est peut-être ma dernière saison. Je veux juste dominer le jeu.

Ou qu’il me domine lui, si c’est ce qu’il préfère.

Il me jette un regard mesuré, puis laisse échapper un petit rire d’incrédulité.

— Tu dois comprendre que c’est la chose la plus folle que j’aie jamais entendue. Surtout quand on se déteste, dit-il en nous pointant du doigt.

C’est un euphémisme.

— Je ne dirais pas qu’on se « déteste », répliqué-je en pesant mes mots. Plutôt qu’on ressent une sévère antipathie l’un pour l’autre.

— Parce que c’est tellement mieux, murmure-t-il en me relâchant et en croisant les bras.
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Mais le problème quand on aime ce que l'on déteste, c'est que ça nous détruit de le blesser en retour.
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Peut-être que tu m'as empalé si fort contre ces étagères qu'une partie des connaissances qu'elles contenaient s'est insinuée en moi aussi.
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- Just make sure you don't go falling in love with me.
I scoff. - A little hard when I'm already in hate with you.
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