C'est beauuu. Comme c'est beau ! Voilà les premiers mots qui me sont venus à la lecture de cet album. Pour aller un peu plus loin, je pourrais vous parler de la beauté et de la poésie des illustrations d'Ève Gentilhomme, dans une palette de couleurs qu'elle décline à merveille. Je pourrais vous parler de rêves d'enfants, qu'on dit impossibles mais qui sont incroyables. Je pourrais vous parler de la portée écologique de cet album, de cette réflexion sur la pollution des eaux de notre planète (c'est d'ailleurs un album que je trouve parfait pour aborder cette thématique en classe !) Comme c'est beau. Et comme cet album mérite d'être découvert !⠀
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Ce livre nous entraine dans le rêve d'Abel. C'est un voyage dans l'imagination de ce garçon. Il trouve tous les arguments pour contrer les remarques terre à terre de ses camarades. Il est plein d'espoir et propose un message positif.
Le texte est simple avec un côté poétique. Il est empreint de douceur. L'histoire porte également un message écologique qui permet de sensibiliser les petits.
Les illustrations sont fortes et très colorées. Les dessins en pleine page nous en mettent plein les yeux. C'est très doux avec beaucoup de courbes et d'arrondis.
Cet album est une ode à l'imagination dans une bulle de paix. Dès 5 ans.
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Ce livre est un bel album sur l'amitié et le pouvoir des rêves.
C'est aussi un bel exemple de persuasion et d'argumentation, voire une réelle leçon d'optimisme. le thème de l'écologie est également très actuel.
En outre, nous avons là un objet de bonne facture.
Personnellement, je n'adhère pas au choix des couleurs pour les personnages, contrairement aux paysages, mais cela reste anecdotique au vu de la qualité poétique de cet ouvrage.
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Un travail minutieux, audacieux, abouti, pour un merveilleux album de deux jeunes créatrices talentueuses et novatrices : à suivre !
Lire la critique sur le site : Ricochet
« Tu te perdrais dans l’océan! Je ne me perdrais pas, il m’accueillerait chez lui! Je glisserais dans son ventre tiède. Comme avalé. Je serais un peu lui, il serait fait de moi. »