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Il est sans doute des moments plus propices que d'autres pour apprécier certains thèmes de lecture. Ceux de la rupture amoureuse ou de la crise de la quarantaine ne m'interpellent pas directement – ou plus, ou… pas encore !! – et pourtant je me suis régalée de ce texte malheureusement trop vite achevé.

Dans une harmonieuse justesse des mots, Marianne Rubinstein offre à ce journal de Yaël une élégance d'écriture qui m'a beaucoup touchée. Moments d'accablement, de complicité, de légèreté, d'amour ou d'humour, nouvelles rencontres, réflexions sociologiques ou évocations littéraires… Sans jamais nous enliser dans une sensiblerie dégoulinante, Yaël passe ainsi subtilement des larmes au sourire, se délivrant peu à peu de l'ombre pour retrouver la lumière, et l'on suit avec bonheur ce lent mais réjouissant parcours vers une liberté nouvelle.

Merci à Pilyen dont la critique – à mon avis très juste – m'avait conquise et amorcé cette belle découverte.


Lien : http://minimalyks.tumblr.com/
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Yaël, la quarantaine,tient son journal, depuis le 3 septembre, le jour, oú Yann , son mari la quitte froidement pour une de ses amies.Depuis, elle partage la garde de son fils avec celui qui l'a trahie, abandonnée...La blessure est profonde, le désespoir l'envahit. Elle laisse sortir sa haine, observe sa peine, dépérit, s'auto flagelle. Mais aprés le chagrin brutal vient la colère salvatrice, puis le questionnement, enfin l'apaisement et la conscience d'une nouvelle vie assortie de la liberté retrouvée.....Écrire devient une thérapie salutaire,:" L'écriture n'est pas un hobby, elle polit la souffrance et empêche de sombrer".....
En effet, loin du monde, l'auteure va se reconstruire en compagnie de ses auteurs préférés ....le lecteur appréciera l'aide que Seneque , Montaigne, Flaubert,Woolf, Proust et surtout Dante vont apporter à Yaël..le récit , découpé en chapitres liés aux saisons , est aéré par des réflexions sociologiques et des pauses littéraires qui l'habillent de profondeur, lui donnent de l'attrait et l'enrichissent...on lit Amos Oz, on écoute Barbara, l'auteure réapprend à vivre
en confiant à son journal ses inquiétudes de mére, sa douleur de femme quittée, ses préoccupations d'intellectuelle qui enseigne l'économie à l'université....Pourquoi cantonner ses recherches à l'économie quand la littérature l'appelle ?
C'est aussi le récit de la quarantaine : obsession du corps,réalité ou fantasme du désir et de la séduction....Que signifie avoir quarante ans? Pourquoi m'at- il quittée?
On explore tous les aspects avec finesse, précision et justesse. Le ton est lumineux, les mots sont harmonieux, l'écriture est élégante, elle émeut et touche.On suit les moments d'accablement, d'amour ou d'humour, de légèreté aussi , sans sensiblerie ni pathos, Yaël s'interroge avec lucudité sur sa vie, elle passe de la douleur à l'ébauche d'un sourire, sort prit à petit de l'ombre pour la lumiére....abattement, colère et jalousie font place avec clairvoyance et intelligence au désir cherché puis trouvé.....
C'est une belle renaissance à la vie que l'on savoure :authenticité , fluidité, vérité , oú l'auteure aborde le désir,la séduction, le couple, la maternité la rencontre avec des hommes.....
Un roman féminin agréable ! Une belle découverte pour une auteure que je ne connais pas....


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Yaël, 40 ans, se retrouve seule, son compagnon Yann a quitté le navire, il n'a pu résister au chant d'une sirène, amie de Yaël. Elle doit assurer la rentrée scolaire de son fils de trois ans alors qu'elle sombre dans le désespoir. Elle décide d'écrire un journal intime et nous livre ses pensées. La garde alternée, la déprime, la liberté, les amis, les rencontres, ses questions sur son âge, son enquête sur la quarantaine et les réflexions d'un amant pas très diplomate. le contexte est triste mais Yaël a un humour irrésistible. Les mots sont choisis avec soin, légers, justes et le tout se lit avec avidité. C'est une histoire écrite par une femme et en apparence pour les femmes. Pourtant c'est un véritable décodeur pour homme ! Ne vous fiez pas aux extraits, c'est un livre joyeux sur la quarantaine féminine.
Lien : http://pyrouette.canalblog.c..
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"Messieurs, si les femmes sont pour vous une éternelle énigme, lisez toute affaire cessante Les Arbres ne montent pas jusqu'au ciel qui vous prouvera, si besoin était, que l'on peut être intelligente, cultivée, drôle et que la quarantaine n'est pas la fin de la séduction ni du désir. Mesdames, vous allez adorer" (Page)
Et le fait est que j'ai adoré le roman-journal de Marianne Rubinstein.
Septembre, Yaël est dévastée : elle a 40 ans, c'est la rentrée en maternelle pour son fils Simon alors que Yann vient de la quitter et qu'une garde alternée s'installe péniblement. On suit donc au quotidien les états d'âme de Yaël, forcément pas folichons au début, qui tout doucement et au fil des saisons, relègue la rancoeur de l'amour bafoué et de l'orgueil blessé, pour se concentrer sur les éclaircies qui lui sont offertes : les amies retrouvées, son travail de professeur d'économie à la fac, les auteurs qui lui sont chers, Virginia Woolf, Dante ou Roland Barthes, et petit à petit, la découverte que finalement la quarantaine, ce n'est pas la fin de tout mais que cela pourrait bien être le début d'une nouvelle liberté...
Mention spéciale pour la fable de la Fourmi heureuse et productive, un petit bijou de parabole économiste !
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Yaël a bientôt 41 ans, son petit Simon, lui, en a 3 et entre en maternelle et Yann l'a quittée sans préavis. En ce 3 septembre, Yaël va mal... Seule, abandonnée, malheureuse, elle vit au gré de la garde partagée de son fils, une semaine sans presque quitter son lit alterne avec une semaine à donner le change à Simon. La blessure est profonde, le désespoir abyssal mais la vie reprend le dessus. Après le chagrin, vient la colère, salvatrice, puis le questionnement et finalement l'apaisement, la conscience d'une nouvelle vie, libre et pourquoi pas heureuse... Des amies, des liaisons, la reprise de ses cours d'économie, peu à peu les choses s'améliorent et Yaël consigne dans son journal son cheminement, son évolution. Ecrire devient la thérapie qui la sauve du naufrage.


La situation de départ n'a rien d'original. Un homme quitte sa femme pour une plus jeune qu'elle et la femme délaissée sombre dans l'auto-apitoiement. Mais passées ces premières pages, on assiste à la renaissance d'une quarantenaire qui s'interroge sur sa vie et ses sentiments avec beaucoup de lucidité. le quotidien bouleversé lui permet de redevenir mère après une semaine de séparation, de redevenir femme dans les bras d'un amant de passage, de retrouver ses amies, de confronter son expérience à celles d'autres femmes de son âge. Yaël s'interroge et interroge ses amies: que signifie avoir 40 ans? Peut-on être encore désirée par un homme ou faut-il se résigner à ne plus plaire? Arrivée à mi-chemin entre la naissance et la mort, faut-il craindre le pire -la fin, la maladie, ou peut-on enfin respirer, libérée des contingences de la jeunesse? Questionnements, réflexions, travail sur soi...Yaël prend conscience que sa vie n'est pas finie, que l'avenir lui sourit. Pourquoi se cantonner à l'économie quand la littérature l'appelle depuis toujours? Ecrire pour faire de son cas personnel quelque chose de plus grand, de plus universel...
Au fil des saisons, l'histoire d'une femme qui se reconstruit sur les ruines de son couple, servie par une écriture entraînante et finement ciselée...le souffle de Virginia Woolf sans doute.
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Les arbres ne montent pas jusqu'au ciel se présente comme le journal intime de Yaël, une femme que son mari vient de quitter, et qui se retrouve à supporter à la fois le désespoir de cette séparation, et les difficultés de la garde partagée de leur enfant, Simon. A chaque journée son cours paragraphe, qui nous permet de vivre avec elle l'évolution de son ressenti, de ses émotions face à cette douleur.

Entre les périodes sans son fils où Yaël se plonge dans une apathie totale, avec un refus de vivre évident, et celles où Simon vient ranimer le peu d'espoir et de vie qu'il lui reste, c'est le portrait d'une femme dépressive qui se noie dans son malheur, mais qui va finalement, le temps aidant, reprendre le cours normal de sa vie. Déprime, laisser-aller, colère, jalousie, puis renouveau, petit à petit... Yaël va réapprendre à vivre, à relativiser son propre malheur en côtoyant celui de ses amies et de son entourage, et va finalement découvrir qu'à 40 ans passés, elle est libre.

Au final un roman sans grande originalité. J'ai eu du mal à y entrer au début, car je l'ai trouvé essoufflant par son rythme très saccadé de journal intime, succession de phrases courtes ne laissant aucun répit à l'histoire qui a du mal à se mettre réellement en place... Et puis j'ai trouvé beaucoup de longueurs, avec des paragraphes consacrés à la littérature ou à l'économie ou ceux où elle fait sa crise de la quarantaine, qui selon moi ne font pas avancer le schmilblik... Mais les pages se tournent quand même et finalement on prend goût à tout ça, et on se laisse prendre par cette histoire ordinaire qui pourrait arriver à n'importe qui... Un avis mitigé donc, une lecture qui ne m'a rien apporté mais que je ne regrette pas pour autant.
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Yaël vient d'être quittée par son mari, qui lui a préféré une petite jeunette. Yaël est écrivain et professeur d'économie à l'université, elle commence alors un journal intime dans lequel elle va raconter les affres de la séparation, l'amour pour son fils, sa jalousie, ses rencontres, ses lectures, ses tentatives pour écrire un nouveau roman, et ses interrogations sur la quarantaine. Durant toute une année, elle écrit donc à la fois le quotidien, de petits faits parfois presque insignifiants, ou des drames que vivent ses amis, des réflexions, ses joies, ses espérances et aussi, bien sûr, son désespoir. Ce journal se révèle être un exutoire, et partant, une bouée de sauvetage.

Étrange coïncidence, mais voici le quatrième livre que je lis ces derniers temps et qui aborde le “problème” de l'âge, et notamment de la quarantaine, chez les femmes (Un si bel avenir ; Arlington Park ou encore Nous étions faits pour être heureux). Vous me direz que les livres que l'on choisit de lire n'arrivent jamais par hasard, et que, certainement, ces choix doivent correspondre à une interrogation personnelle, consciente ou inconsciente, et vous n'aurez sans doute pas tort.

N'y allons pas par quatre chemins, ce roman n'a pas eu l'effet escompté. Si la forme du journal intime m'est chère, je me suis cependant souvent ennuyée à la lecture de celui de Yaël, à quelques rares exceptions près. Cet ennui est né, essentiellement, de l'impression de ne rien lire de vraiment nouveau sous le soleil, on ne compte plus, que ce soit en littérature ou dans les films, les histoires évoquant ce genre de situation. Bien sûr tout cliché peut être effacé par un style et un traitement qui lui permettrait un certain renouveau. Mais, peut-être cela était voulu par Marianne Rubinstein, l'écriture m'a semblé plate et je trouve cela d'autant plus dommage que la diariste est censée être écrivain. Yaël écrit souvent qu'elle aimerait écrire mais ne sait pas quoi écrire et là est en fait le noeud du problème. Que l'écrivain se pose des questions sur son écriture est souvent intéressant, et c'est la raison pour laquelle je me plais à lire les journaux d'écrivains, mais ici, les réflexions ne sont jamais poussées jusqu'au bout. Yaël cherche chez d'autres écrivains (Virginia Woolf, Roland Barthes ou Marcel Proust) des réponses dans leurs oeuvres, mais elle ne fait, bien souvent, que recopier des passages de leurs oeuvres ou raconter des faits biographiques sans que sa propre réflexion soit réellement menée à maturité.

Dans son journal, Yaël aborde le divorce et ses conséquences, des considérations sur l'économie (la crise tout ça!), le cancer, la quarantaine des femmes, l'écriture, la maltraitance des femmes, l'adolescence à travers le personnage d'Olga . Effectivement il y a dans tous ces thèmes finalement un lien, mais j'ai trouvé qu'ils étaient abordés vaguement, traités à la va vite, morcelés. Il n'est pas exclu que ce sentiment soit dû aussi à la forme même du roman en journal. Chaque jour (puisque ce journal est écrit quasi au jour le jour) apporte un fait, une réflexion, une remarque, dans des paragraphes assez courts qui souvent m'ont laissé sur ma faim.

Alors oui, ce journal c'est la renaissance d'une femme de quarante ans après un divorce, mais, par exemple, son interrogation sur la quarantaine ne va guère plus loin que ce que l'on peut en lire dans un magasine féminin. Et surtout, cette interrogation surgit un peu comme un cheveu sur la soupe. Soudain Yaël interroge ses amies : C'est quoi, pour toi, la quarantaine ? Cette question surgit soudain au milieu du roman, revient trois ou quatre fois, puis on passe à autre chose.

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Sous forme de journal intime, de quelques lignes à deux ou trois pages par entrée, ce roman reprend le personnage de Yaël Koppman, sorte de double de l'auteur, présentée dans un précédent roman. On entre toutefois très facilement dans ce texte sans avoir lu le précédent, trop aisément peut-être. le style n'est guère marquant, cela pourrait être le journal de ma petite cousine ou de ma collègue de travail. Les interrogations de Yaël, ses atermoiements, sonnent avec justesse mais aussi une impression de déjà-lu, qu'il s'agisse de la déprime consécutive à une rupture, de la mère peu aimante, de la cousine malade, de l'ex-compagnon indécis, des rencontres frustrantes... Et citer Virginia Woolf, Montaigne ou Sénèque, ou s'égarer occasionnellement dans des digressions sur l'économie n'ajoute pas grand chose au roman.
C'est d'une lecture agréable, et cela sonne juste, il faut l'admettre, mais si l'identification ne se fait pas avec le personnage, ce qui a été mon cas, je crains bien qu'il n'en reste pas grand chose.
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Sous la forme d'un faux vrai journal intime, l'auteur nous livre l'histoire au jour le jour d'une séparation. La température est vite donnée « Simon entre en maternelle et Yann me quitte ». Ce qui pourrait s'engluer devient vite dynamique et l'écriture alerte et positive narre la reconstruction et les questions qui émaillent la crise du milieu de vie car c'est de cela qu'il s'agit. Yaël a la quarantaine. L'amour qui s'enfuit lui impose de regarder le temps qui reste devant elle, celui qui vient de passer et enfin penser à la vieillesse qui s'annonce. En même temps qu'elle subit cette rupture, elle agit en se questionnant son âge « c'est quoi avoir 40 ans ? ». Devenir soi-même mais comment ? Son parcours l'amènera au plus près d'elle-même et d'une possible liberté intérieure. le récit est aéré par des anecdotes érudites, des poèmes et des pauses littéraires qui l'enrichissent et lui donnent de la profondeur. On apprécie l'aide que Sénèque, Montaigne et surtout Dante vont apporter à Yaël. On écoute Barbara, on lit Amos Os avec le plaisir d'avoir des morceaux choisis par Marianne Rubinstein. C'est aussi une déclaration du bonheur d'écrire, un hommage à la littérature qui mine de rien vaut bien une psychanalyse. Rien de spectaculaire, juste la magie d'un roman qui arrive à rendre belles et utiles les souffrances de l'amour et de l'âge.
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"Jeudi 3 septembre: Simon entre en maternelle et Yann me quitte (Tu ne peux pas nous quitter comme ça, ai-je hurlé. Je ne vous quitte pas, je te quitte).

Yaël Koppman est économiste, a quarante et un an, un petit garçon de trois ans, et vient brutalement de se faire plaquer par Yann, son compagnon. C'est comme cela que débute le livre, et c'est son chemin vers l'apaisement, l'acceptation de sa séparation que nous allons suivre. La narratrice s'interroge sur ce qu'est la quarantaine pour une femme. le désir, la séduction, le couple, la maternité sont des sujets balayés par le roman.

Les différentes phases de sa réflexion sont très bien servies par la construction narrative en forme de journal intime. de cette façon, jours après jours et saisons après saisons (le roman est découpé en chapitres: automne, hiver, printemps, été, automne) nous accompagnons l'héroine. La galerie de personnages "secondaires" est assez attachante; Clara, la cousine adorée à qui l'on découvre une éventuelle tumeur au sein, Olga la petite voisine et sa mère, les amis de Yaël qui veulent lui faire rencontrer des hommes... Les différentes phases de la rupture sont très bien relatées; l'abattement, puis la colère, la jalousie (son ex-compagnon est parti pour une jolie prof de danse), les difficultés de la garde alternée, la réappropriation de son corps, le désir cherché puis retrouvé, la sérénité enfin.

Ce roman réunissait donc un certain nombre de qualités pour m'enchanter. Mais plusieurs éléments m'ont contrariée à sa lecture. D'abord, l'impression d'avoir loupé des chapitres. Les réponses se trouveraient-elles dans un des précédents ouvrages de Marianne Rubinstein, le Journal de Yaël Koppman ? On comprend que certaines choses (la relation de Yaël à sa mère, entre autres) ont été évoquées dans un livre antérieur, mais quand on ne l'a pas lu (ce qui est mon cas), la sensation est dérangeante.

Ensuite, les copies de nombreuses citations. La narratrice est économiste, nous l'avons dit, mais a beaucoup de temps libre, grâce à son poste de chercheuse-enseignante à l'université. Durant ses moments de liberté donc, quand elle ne travaille pas et qu'elle n' a pas son fils avec elle, elle se nourrit de littérature. Virginia Woolf, Barthes, Tolstoï et j'en passe. le personnage central doute de ses capacités à écrire; l'auteur douterait-elle autant pour se détourner de son histoire toutes les cinq pages et "remplir" son texte par les mots des autres? Exemple particulièrement agaçant: quand elle relate sur trois pages le diaporama sur l'histoire de la fourmi heureuse et productive. Personnellement, je le connaissais, des collègues de bureau me l'ayant envoyé par mail. A mes yeux ce n'est pas de la littérature. Y a-t-il là un manque cruel d'inspiration? Je ne sais pas, mais j'en ai été fortement déçue.

Pour résumer, donc, un roman avec des qualités, dont celle de poser de manière juste les questions des femmes aux abords de la quarantaine. Cependant, une facheuse propension à recopier à torts et à travers les textes des autres; procédé qui m'a profondément ennuyée et fait perdre de l'intensité à l'histoire.

http://manoulivres.canalblog.com/archives/2013/02/17/26435816.html
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