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Sortie en OCTOBRE 2016 !
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? de quoi ça parle : ?
Réchappée d'une mort certaine, la reine Lyrna est déterminée à reconquérir l'indépendance du Royaume Unifié. Elle doit faire appel à des forces qui naguère encore lui répugnaient : les êtres dotés des étranges facultés de la Ténèbre. Et l'issue du conflit repose sur Vaelin al Sorna, désormais Seigneur de Guerre. Mais la voie vers la victoire est semée d'embûches, surtout lorsque la voix du sang, le pouvoir qui faisait de lui le plus grand guerrier de son temps, demeure obstinément muette...
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Anthony Ryan/5
26 notes
Résumé :
La Dame des Corbeaux
Assoiffée de vengeance, Derla – figure célèbre des bas-fonds de Castelvarin – n’a d’autre choix que d’entrer au service du machiavélique roi Janus. Chargée de protéger Sentes Mustor, ivrogne et joueur invétéré, Derla engage une partie à haut risque avec le tristement célèbre Borgne, chef en devenir de la pègre castelvarine...
Le Haut Percepteur
À la tête de sa compagnie d’Octroyeurs, Jehrid Al Bera se... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (4)
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Alors j'ai lu à plusieurs endroits que ce recueil était constitué de 3 nouvelles. Hors le livre que j'ai tenu entre mes mains et lu n'en contenait qu'une....
Ceci étant dit, j'ai trouvé cette nouvelle très intéressante puisqu'elle poursuit l'aventure Blood Song, poux celles et ceux qui ont lu au moins un tome, et en constitue une excellente entrée en matière pour les autres.
Cette nouvelle n'est bien entendu pas indispensable mais elle a le mérite de combler un vide laissé dans le tome 1 de la trilogie, ainsi que de faire la connaissance de Derla, qui en l'espace de 160 pages et sous la plume d'Anthony Ryan, se découvre une personnalité déjà bien fouillée, un tempérament bien affirmé, et un sacré potentiel qui selon moi, pourrait donner lieu à un cross over. On ne peut faire autrement que de s'attacher à la belle, car l'auteur a su lui donner une véritable envergure et une profondeur déjà conséquente. Il est passé certes sur des moments clés de sa vie, ou de sa formation, mais l'essentiel est là, et pose déjà le personnage comme un élément indissociable de son univers. Les vides laissés vacants invitent réellement le lecteur à vouloir redécouvrir Derla dans sa propre série.
Je le redis : ce personnage possède un réel potentiel et ce serait dommage de ne pas l'exploiter, le développer.
Ceci étant dit, j'ai trouvé cette nouvelle très intéressante puisqu'elle poursuit l'aventure Blood Song, poux celles et ceux qui ont lu au moins un tome, et en constitue une excellente entrée en matière pour les autres.
Cette nouvelle n'est bien entendu pas indispensable mais elle a le mérite de combler un vide laissé dans le tome 1 de la trilogie, ainsi que de faire la connaissance de Derla, qui en l'espace de 160 pages et sous la plume d'Anthony Ryan, se découvre une personnalité déjà bien fouillée, un tempérament bien affirmé, et un sacré potentiel qui selon moi, pourrait donner lieu à un cross over. On ne peut faire autrement que de s'attacher à la belle, car l'auteur a su lui donner une véritable envergure et une profondeur déjà conséquente. Il est passé certes sur des moments clés de sa vie, ou de sa formation, mais l'essentiel est là, et pose déjà le personnage comme un élément indissociable de son univers. Les vides laissés vacants invitent réellement le lecteur à vouloir redécouvrir Derla dans sa propre série.
Je le redis : ce personnage possède un réel potentiel et ce serait dommage de ne pas l'exploiter, le développer.
Ce petit volume dérivé de l'excellente saga Blood Song nous propose trois nouvelles se déroulant dans l'univers développé dans cette oeuvre. Si l'on ne nous y relate pas les aventures des personnages déjà connus et appréciés dans l'histoire principale, nous retrouvons en revanche certains protagonistes de celle-ci (Sentes Mustor, frère Sollis, le chroniqueur Verniers Alishe Someren...) pour avoir un aperçu supplémentaire de leurs vies.
Les deux premières nouvelles prennent la forme d'un récit tout à fait agréable à lire, qui nous offrent des événements à mettre en lien avec l'histoire principale sans pour autant l'enrichir considérablement. On passe un bon moment de lecture, mais l'ensemble reste dispensable pour qui n'aurait pas la motivation de se procurer l'ouvrage et d'approfondir cet univers.
La dernière nouvelle, la plus courte, prend la forme d'un extrait de chroniques comme on peut en avoir au début des chapitres de Blood Song, mais de façon plus consistante. le ton est plus proche d'un document historique, ce qui pourrait en rebuter certains.
Dans tous les cas, les nouvelles restent agréables à lire et seront un joli ajout pour qui souhaite se plonger plus encore dans l'univers de Blood Song.
Les deux premières nouvelles prennent la forme d'un récit tout à fait agréable à lire, qui nous offrent des événements à mettre en lien avec l'histoire principale sans pour autant l'enrichir considérablement. On passe un bon moment de lecture, mais l'ensemble reste dispensable pour qui n'aurait pas la motivation de se procurer l'ouvrage et d'approfondir cet univers.
La dernière nouvelle, la plus courte, prend la forme d'un extrait de chroniques comme on peut en avoir au début des chapitres de Blood Song, mais de façon plus consistante. le ton est plus proche d'un document historique, ce qui pourrait en rebuter certains.
Dans tous les cas, les nouvelles restent agréables à lire et seront un joli ajout pour qui souhaite se plonger plus encore dans l'univers de Blood Song.
Je ne connaissais pas l'univers d'Anthony Ryan et je l'ai découvert avec plaisir à travers les deux premières nouvelles. Ces deux histoires sont bien écrites, on s'attache rapidement aux personnages, même si on connait peu de choses d'eux. Cependant, j'ai eu plus de mal avec la troisième nouvelle. Je l'ai trouvée ennuyeuse à souhait. Peut-être est-elle intéressante pour ceux qui connaissent déjà le monde?
Bien mais court. Un goût de trop peu.
critiques presse (1)
La Dame aux Corbeaux est un recueil de trois nouvelles qui sont autant de portes d'entrée différentes à l'univers dark fantasy d'Anthony Ryan.
Lire la critique sur le site : SciFiUniverse
Citations et extraits (3)
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Derla se rappelait très bien le Trancheur, un déserteur de la Garde du Royaume qui selon certains avait perdu l'esprit après la bataille de trop. Terré dans le quartier sud, il s'était adonné un mois durant à un tel carnage que toutes les prostituées de la cité avaient craint de s'aventurer dans les ténèbres. Le fou furieux s'était finalement retrouvé acculé près des quais par une foule en colère qui, après l'avoir sévèrement rossé, l'avait confié à un groupe de filles de joie fort remontées. Les hurlements du bougre résonnaient encore aux oreilles de Derla, sans pour autant troubler son sommeil.
Je ne suis pas morte finalement, songea t'elle. Car il faut être en vie pour avoir peur.
Très mauvais ça la peur. Quand il a peur, même un couard peut se révéler dangereux.
Videos de Anthony Ryan (3)
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