Suite et fin d'Ibitsu. Coup de théâtre et révélations sur l'identité de la Gothic Lolita sont au programme.
Un manga dont le scénario reste sur bon nombres de plans à tirer par les cheveux, si en plus on rajoute l'utilisation d'internet pour retrouver l'identité de la tueuse on constate d'emblée que le sentier avait été foulé à maintes reprises par des mangakas réputés en la matière.
L'explication de l'enfance maltraitée et des conséquences psychologiques irréversibles sont bancales et sombrent inévitablement dans la facilité du gore afin de palier au manque de scénario. Quant à l'évolution de la psychopathe, elle s'enlise dans les mêmes propos redondants du genre " Toi être un méchant frère. Moi être une gentille soeur. Toi être puni. "
Résultat très laborieux au final. On lui préfèrera
La Dame de la chambre close de
Minetaro Mochizuki.