Je ne pouvais prendre le risque de laisser les anciens agents du KGB qui gouvernent aujourd’hui la Russie détruire tout ce que nous avions construit depuis la Révolution des roses sans essayer, au moins, de résister.Contrairement à ce que répètent des médias russes à la solde du Kremlin, je ne suis pas fou et je n’ai jamais cru que nous pouvions vaincre l’ex-Armée rouge.