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3,18

sur 1326 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Pourquoi tant d'éloges et de récompenses? On est loin de la critique visionnaire d'Orwell avec ce personnage d'Ati à peine ébauché, qu'on suit sans trop savoir pourquoi dans sa découverte d'un pays dont la description demeure froide et sans aucune surprise . Même les personnages secondaires sont attendus, stéréotypés. La découverte du ghetto annoncée en 4eme de couverture comme une expérience clé n'amêne finalement rien . le récit ressemble davantage à une pochade étudiante qu'à un récit subversif .
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Le concept est intrigant mais le récit est médiocre. On a voulu faire un mélange entre le grand 1984 d'Orwell et la vision d'un régime religieux totalitaire.
Malheureusement je suis très déçue. J'ai trouvé le récit faible, les personnages sans profondeur, le système décrit un grand déjà-vu, les réflexions sur la langue imposée, la surveillance, la maîtrise de la pensée du peuple : tous des concepts pris du livre d'Orwell appliqués à une politique religieuse.
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Je n'ai pas du tout aimé ce livre que j'ai finalement abandonné. L'histoire n'avance pas et il ne se passe rien. On va de description en description.... bref, j'ai passé mon chemin apres avoir essayé de m'accrocher sans succes
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On m'a offert ce livre... Mais il s'est très vite retrouvé en vente sur le bon coin. Après 100 pages, il ne s'était toujours rien passé, pas de dialogues, que des descriptions sans fin... Une fin que je n'ai jamais atteinte !
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Le livre de Boualem Sansal, 2084, est une référence évidente à 1984 de G. Orwell. Il promet au lecteur une dystopie mordante et également un très bon moment de lecture.

Néanmoins, la plupart du temps, l'auteur ne fait que décrire le monde dans lequel vit le personnage principal, et en oublie de parler de ce dernier, de ses aventures et de ses sentiments. le décors est planté de manière peu délicate. L'auteur cherche à introduire les noms, les concepts de son monde nouveau et délaisse l'intrigue et son personnage pendant plus de la moitié du livre. Il y a quelques bons passages, notamment sur ce que peut représenter un musée ou la vérité dans le “monde d'Abi”. Mais ces passages ressemblent plutôt à des réflexions d'essais, et s'imbriquent mal dans l'intrigue du roman.
De plus, le narrateur de l'histoire change plusieurs fois de point de vue à la fin du livre, sans que la présentation du livre ne permettre de le comprendre. Cette déstabilisation est accompagnée d'une fin hâtive, où le personnage principal se retrouve tiré d'affaire sans que l'explication ne soit réellement convaincante.

Je suis déçue par cette lecture, même si de nombreux passages m'ont interpellée. La manipulation des masses y est très bien décrite, de même que la difficulté de remettre en question le monde dans lequel on naît, dont on nous inculque les préceptes dès la plus tendre enfance. Cependant, l'articulation avec l'histoire du personnage principal est très maladroite, et rend cette lecture décevante.
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L'histoire aurait pu être intéressante ou du moins m'intéresser, mais le style d'écriture m'a vraiment déplu. Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages, à l'histoire...
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Fonctionnaire tuberculeux, Ati a vaincu le mal dans un sanatorium perdu dans la montagne. Après un an de voyage, il rentre chez lui à Qodsabad, capitale de l'Abistan. Reçu en héros pour avoir bénéficié du soutien de Yôlah, le dieu unique, et d'Abi, son délégué sur terre, l'employé de mairie aurait pu vivre heureux dans la béatitude de la croyance inconditionnelle si son séjour dans les montagnes n'avait pas écorné sa foi. Alors que, comme tout le peuple d'Abistan, il était jusque là soumis au système de pensée imposé par Abi, la Juste Fraternité et l'Appareil, Ati vit désormais avec le doute et la peur d'être découvert. Car en Abistan, rien ne peut être caché bien longtemps. Mécroire est puni de mort et les V sont capables de lire les pensées les plus intimes. Mais plus rien ne peut arrêter Ati, surtout quand il découvre en Koa, un compagnon qui partage sa quête de la vérité. Hors les murs de Qodsabad, des gens vivent sans le soutien de la religion. S'ils existent, il y a peut-être un autre monde, au-delà des frontières de l'Abistan...un monde libre !

Attention ''chef-d'oeuvre'' ! ''Récit plein d'inventions cocasses'' ! ''Fable puissante à l'humour ravageur'' !
Peut-être mais ce n'est pas visible au premier coup d'oeil. 2084 qui se veut un hommage au 1984 d'Orwell n'en a malheureusement pas la puissance. Il s'agit ici d'un récit long, répétitif et ennuyeux qui manque de moelle. Son Ati, sans substance, sans génie, promène ses questionnements dans un monde désincarné lui aussi. On découvre, l'oeil morne, cet Abistan sensé nous effrayer. Pas très surprenant ce monde où la religion domine tout. L'Islam n'est pas nommé mais c'est bien lui et ses dérives radicales qui sont décrits. Les femmes corsetées voilées, cachées, la vie des hommes dictée par des préceptes rigides, la surveillance constante, les interdits omniprésents, les dénonciations, les exécutions publiques, etc. Où sont la création, l'inventivité, l'imagination ? Les talibans ont obligé afghans et pakistanais à vivre ainsi, ce n'est pas de la fiction ! La dictature, religieuse ou autre, se construit toujours sur les mêmes bases : réinvention du passé, culte rendu à une personne ou à un dieu, règles strictes, contrôles à chaque instant, maintien des populations dans la peur. En cela, ce livre n'apporte rien de plus. Et, si l'écriture est belle, toutes ces phrases mises bout à bout finissent par lasser au-delà du supportable. Boualem Sansal a écrit avec sa tête et non avec ses tripes et c'est là que le bât blesse...
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Pas du tout accroché à cet ouvrage. le cadre un peu trop de sf peut-être mais surtout le livre est sorti trop après l'hyper déprimant "Soumission " de Michel Houellebecq et du magnifique, parfait et génialissime "Comment Baptiste est mort" d'Alain Blottière.
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L'écriture est laborieuse ou plutôt la lecture. Il manque un certain rythme.
Pourquoi 2084? Quel est l'élément déclencheur de la 1er guerre? Par contre j' ai trouvé très intéressante la forme de dictature. Rien à voir avec 1984 ...
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Que dire, je me réjouissais de le commencer, et puis très rapidement, malgré l'insistance de l'auteur sur le faits que tout ceci n'ai pas réel, on s'interroge, personnages peu attachant, peut-être est-ce voulu pour nous bercer dans une espèce d'atmosphère sans sentimentalisme. Déçue
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