Cécile Sepulchre/5
13 notes
Résumé :
Dans la très chic rédaction de Luxe Addict, une guerre féroce se livre pour le pouvoir. Marine, jeune ambitieuse provinciale, tente de décrypter les codes étranges de la planète mode, pour se hisser au pouvoir. De l'assistante à la rédactrice en chef, c'est le choc des cultures: chacune a son univers social, ses failles secrètes et ses aspirations contradictoires de femme moderne. En suivant leurs mésaventures, on découvre les dessous les plus secrets du microcosme ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (10)
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Cécile Sépulchre dresse un portrait sans complaisance des rédactions de mode parisiennes en dévoilant les coulisses dans le Défilé des vanités désormais disponible en format poche.
Martine Pouelzoc est une jeune bretonne qui rêve de Paris, de sa mode luxueuse et glamour, de son rythme effréné. Restée coincée en Bretagne à étudier ? Très peu pour elle. Selon elle, ce dont elle a besoin avant tout pour devenir rédactrice de mode, c'est d'un très bon carnet d'adresses et d'un oeil aiguisé. Lorsqu'elle arrive à Paris, elle commence donc par passer voir sa tante directrice d'un bureau de presse spécialisé dans la mode. Une première étape qui va lui permettre de se relooker à l'aide des vêtements destinés au service de presse et de laisser dernière elle sa Bretagne plan plan. Désormais rebaptisée Marine de Rubempré, plus tendance et plus chic, la jeune femme part en quête d'un stage. Elle va le décrocher auprès de Raphaël le jeune et puissant directeur artistique du magazine de mode Luxe Addict. Marine commence alors son initiation dans un univers aussi étrange que hors norme où son arrivée va bousculer l'équilibre fragile de la rédaction. Entre la provinciale ambitieuse et les parisiennes blasées, c'est le choc des cultures. D'ailleurs, c'est à ce moment-là qu'Elisabeth, la rédactrice en chef, valide la venue d'un cochon par avion en vue d'un shooting photo souhaité par son rival Raphaël.
Cécile Sepulchre entraîne les lecteurs dans un monde qu'elle maîtrise sur le bout des doigts. Ex-rédactrice en chef L'Officiel de la mode, elle dénonce avec drôlerie les dérives d'un monde déconnecté de la réalité. Ici l'image prime sur le texte, tout change à chaque saison et l'apparence compte plus que tout. Tout est déformé, les retouches photos jusqu'à supprimer le nombril d'un mannequin squelettique ne semble déranger que la rédactrice en chef au sein de la rédaction. L'auteure pointe du doigt un les aberrations d'une industrie qui considère les femmes au-dessus du 38 comme « grosses ».
C'est avec humour que le Défilé des vanités ouvre les portes de l'envers du décor d'un monde sophistiqué et régit par des centaines de codes. « le must-have de l'hiver devient le comble de la ringardise en un éclair » bousculant sans cesse les règles d'un petit monde dictatorial. Cécile Sepulchre compulse les frustrations, les convoitises, le snobisme et l'arrogance, l'hypocrisie. Elle met en évidence les excès et les conflits qui régissent la rédaction. Elle synthétise avec efficacité un microcosme.
Martine cherche à atteindre un idéal qui ressemble pour le lecteur à une aberration. Heureusement dans cet univers tyrannique Bille, une jeune assistante reste une bouffée d'air frais. Malgré ses formes son tallent et son efficacité lui permette de se maintenir en place.
Plus piquant que le Diable en Prada, le Défilé des vanités est aussi plus instructif sur les rouages qui font fonctionner la presse luxe et tous les liens entre les créateurs, les attachés de presse et les rédactions des magazines. Cécile de Sépulchre croque avec aisance et sans complexe les mésaventures des rédactrices qui luttent pour conserver leur place et se font la guerre pour se hisser toujours plus haut dans les hautes sphères privilégiées.
La réalité tient une place prépondérante et si l'intrigue rappelle sans aucun doute le Diable s'habille en Prada, il se montre plus mordant et plus sévère avec les protagonistes auxquels on s'attache progressivement et qu'on aime aussi détester.
Si au-delà de l'humour, on peut s'effrayer d'une tyrannie du luxe et de ses normes hors-normes, le roman corrosif et bien rythmé est servi par la plume accrocheuse et fluide de son auteure.
On tourne les pages avec facilité, on rit et se laisse entrainer par Elisabeth, Bille, Agathe et on découvre tout plein de choses.
Si vous êtes de ce petit monde, rédactrice ou RP (dite « pi ar », c'est plus chic) vous ne manquerez pas de retrouver un peu de vous et de votre quotidien, parole d'attachée de presse !
Lien : http://www.adam-et-ender.com..
Martine Pouelzoc est une jeune bretonne qui rêve de Paris, de sa mode luxueuse et glamour, de son rythme effréné. Restée coincée en Bretagne à étudier ? Très peu pour elle. Selon elle, ce dont elle a besoin avant tout pour devenir rédactrice de mode, c'est d'un très bon carnet d'adresses et d'un oeil aiguisé. Lorsqu'elle arrive à Paris, elle commence donc par passer voir sa tante directrice d'un bureau de presse spécialisé dans la mode. Une première étape qui va lui permettre de se relooker à l'aide des vêtements destinés au service de presse et de laisser dernière elle sa Bretagne plan plan. Désormais rebaptisée Marine de Rubempré, plus tendance et plus chic, la jeune femme part en quête d'un stage. Elle va le décrocher auprès de Raphaël le jeune et puissant directeur artistique du magazine de mode Luxe Addict. Marine commence alors son initiation dans un univers aussi étrange que hors norme où son arrivée va bousculer l'équilibre fragile de la rédaction. Entre la provinciale ambitieuse et les parisiennes blasées, c'est le choc des cultures. D'ailleurs, c'est à ce moment-là qu'Elisabeth, la rédactrice en chef, valide la venue d'un cochon par avion en vue d'un shooting photo souhaité par son rival Raphaël.
Cécile Sepulchre entraîne les lecteurs dans un monde qu'elle maîtrise sur le bout des doigts. Ex-rédactrice en chef L'Officiel de la mode, elle dénonce avec drôlerie les dérives d'un monde déconnecté de la réalité. Ici l'image prime sur le texte, tout change à chaque saison et l'apparence compte plus que tout. Tout est déformé, les retouches photos jusqu'à supprimer le nombril d'un mannequin squelettique ne semble déranger que la rédactrice en chef au sein de la rédaction. L'auteure pointe du doigt un les aberrations d'une industrie qui considère les femmes au-dessus du 38 comme « grosses ».
C'est avec humour que le Défilé des vanités ouvre les portes de l'envers du décor d'un monde sophistiqué et régit par des centaines de codes. « le must-have de l'hiver devient le comble de la ringardise en un éclair » bousculant sans cesse les règles d'un petit monde dictatorial. Cécile Sepulchre compulse les frustrations, les convoitises, le snobisme et l'arrogance, l'hypocrisie. Elle met en évidence les excès et les conflits qui régissent la rédaction. Elle synthétise avec efficacité un microcosme.
Martine cherche à atteindre un idéal qui ressemble pour le lecteur à une aberration. Heureusement dans cet univers tyrannique Bille, une jeune assistante reste une bouffée d'air frais. Malgré ses formes son tallent et son efficacité lui permette de se maintenir en place.
Plus piquant que le Diable en Prada, le Défilé des vanités est aussi plus instructif sur les rouages qui font fonctionner la presse luxe et tous les liens entre les créateurs, les attachés de presse et les rédactions des magazines. Cécile de Sépulchre croque avec aisance et sans complexe les mésaventures des rédactrices qui luttent pour conserver leur place et se font la guerre pour se hisser toujours plus haut dans les hautes sphères privilégiées.
La réalité tient une place prépondérante et si l'intrigue rappelle sans aucun doute le Diable s'habille en Prada, il se montre plus mordant et plus sévère avec les protagonistes auxquels on s'attache progressivement et qu'on aime aussi détester.
Si au-delà de l'humour, on peut s'effrayer d'une tyrannie du luxe et de ses normes hors-normes, le roman corrosif et bien rythmé est servi par la plume accrocheuse et fluide de son auteure.
On tourne les pages avec facilité, on rit et se laisse entrainer par Elisabeth, Bille, Agathe et on découvre tout plein de choses.
Si vous êtes de ce petit monde, rédactrice ou RP (dite « pi ar », c'est plus chic) vous ne manquerez pas de retrouver un peu de vous et de votre quotidien, parole d'attachée de presse !
Lien : http://www.adam-et-ender.com..
une comédie humaine d'aujourd'hui dans la presse et la mode!
Depuis l'apparition de Marine de Rubempré jusqu'à celle de Delphine Rastignac, le défilé des vanités est une comédie humaine transposée dans l'univers contemporain de la presse parisienne de la mode et du luxe.
Cet ouvrage nous tient en haleine du début à la fin. On en déguste chaque passage, en veillant à ne pas en lire trop le même jour afin d'en préserver le plaisir jusqu'au lendemain…Jusqu'au surlendemain.....Enfin de le faire durer le plus longtemps possible. Une friandise à consommer avec délectation !
Avec son écriture fluide, drôle, rythmée, agrémentée de références esthétiques, captivante avec ses facettes psychologiques et sociologiques, Cécile Sepulchre a construit son roman comme un puzzle parfait dont chaque pièce viendrait opportunément assembler un tableau final surprenant et désopilant.
Le Défilé des Vanités d'un humour décapant relate des anecdotes surréalistes et drôlissimes, et met également en lumière et sans complaisance, mais toujours avec légèreté, les ressorts de la créativité de la haute couture, les jeux de pouvoirs au sein d'une rédaction, les données économiques et politiques des industries du textile, de la presse, du luxe ou encore du charity business.
Un roman hilarant et édifiant pour le bonheur des lectrices et des lecteurs de 16 à 96 ans !
A quand le tome 2 et/ou la version filmée ?
Depuis l'apparition de Marine de Rubempré jusqu'à celle de Delphine Rastignac, le défilé des vanités est une comédie humaine transposée dans l'univers contemporain de la presse parisienne de la mode et du luxe.
Cet ouvrage nous tient en haleine du début à la fin. On en déguste chaque passage, en veillant à ne pas en lire trop le même jour afin d'en préserver le plaisir jusqu'au lendemain…Jusqu'au surlendemain.....Enfin de le faire durer le plus longtemps possible. Une friandise à consommer avec délectation !
Avec son écriture fluide, drôle, rythmée, agrémentée de références esthétiques, captivante avec ses facettes psychologiques et sociologiques, Cécile Sepulchre a construit son roman comme un puzzle parfait dont chaque pièce viendrait opportunément assembler un tableau final surprenant et désopilant.
Le Défilé des Vanités d'un humour décapant relate des anecdotes surréalistes et drôlissimes, et met également en lumière et sans complaisance, mais toujours avec légèreté, les ressorts de la créativité de la haute couture, les jeux de pouvoirs au sein d'une rédaction, les données économiques et politiques des industries du textile, de la presse, du luxe ou encore du charity business.
Un roman hilarant et édifiant pour le bonheur des lectrices et des lecteurs de 16 à 96 ans !
A quand le tome 2 et/ou la version filmée ?
Je pensais détester. J'ai adoré !
Le livre s'est fini en deux jours tant sa lecture m'a plu.
On jette un regard extérieur sur le microcosme de cet univers fashion si particulier, en circuit fermé, à travers un kaléidoscope de personnalité et l'histoire effrénée avance par bribe jusqu'à son dénouement. J'ai grandement apprécié l'absence de parti pris de l'auteure, sans complaisance pour l'un ou l'autre de ses personnages. Tout le monde est logé à la même enseigne et c'est rafraîchissant. L'écriture est simple, efficace, plaisante, sans lourdeur, aussi légère que la vaine société quelle dépeint où se débattent hommes et femmes pris dans la toile de la mode, impitoyable et pourtant éphémère. Drôle et (im)pertinent.
Le livre s'est fini en deux jours tant sa lecture m'a plu.
On jette un regard extérieur sur le microcosme de cet univers fashion si particulier, en circuit fermé, à travers un kaléidoscope de personnalité et l'histoire effrénée avance par bribe jusqu'à son dénouement. J'ai grandement apprécié l'absence de parti pris de l'auteure, sans complaisance pour l'un ou l'autre de ses personnages. Tout le monde est logé à la même enseigne et c'est rafraîchissant. L'écriture est simple, efficace, plaisante, sans lourdeur, aussi légère que la vaine société quelle dépeint où se débattent hommes et femmes pris dans la toile de la mode, impitoyable et pourtant éphémère. Drôle et (im)pertinent.
Un roman drôlissime et super prenant. L'intrigue est super bien ficelée et les personnages sont attachants et très représentatifs de ce monde. Surtout je riais toute seule en le lisant.
Ecrit d'une plume alerte, ce roman vous entraine pour le pire et le meilleur dans les coulisses de la mode. Les anecdotes, hallucinantes, ont un petit air de vécu. Sans doute parce que l'auteur -une ex rédactrice en chef de l Officiel- s'est inspirée de son vécu. On découvre le fonctionnement de ce petit monde et c'est vraiment passionnant. A conseiller aux jeunes qui veulent travailler dans ce milieu et à toutes celles qui aiment la mode. le seul regret, bien qu il fasse 400 pages, et d'arriver à la dernière page. Vivement la suite et le film !!
Ecrit d'une plume alerte, ce roman vous entraine pour le pire et le meilleur dans les coulisses de la mode. Les anecdotes, hallucinantes, ont un petit air de vécu. Sans doute parce que l'auteur -une ex rédactrice en chef de l Officiel- s'est inspirée de son vécu. On découvre le fonctionnement de ce petit monde et c'est vraiment passionnant. A conseiller aux jeunes qui veulent travailler dans ce milieu et à toutes celles qui aiment la mode. le seul regret, bien qu il fasse 400 pages, et d'arriver à la dernière page. Vivement la suite et le film !!
J'adore lire les livres de 200 pages (pour être de pas sûr de ne pas s'ennuyer).Mais là les 400 pages je ne l'ai pas vu passer sa va vites.Je ne me suis pas enbêté.
On rit ,on apprend sur un monde qui fait rêver de loin mais qui dedans et beaucoup moins glamour que ce qui laisse prétende.
Pour un premier roman on peut félicité l'auteure car elle a un vrai don.Un vrai coup de coeur pour cette ouvrage.
Je le conseil ce livre à tous .
On rit ,on apprend sur un monde qui fait rêver de loin mais qui dedans et beaucoup moins glamour que ce qui laisse prétende.
Pour un premier roman on peut félicité l'auteure car elle a un vrai don.Un vrai coup de coeur pour cette ouvrage.
Je le conseil ce livre à tous .
Citations et extraits (4)
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Version french touch du Diable en Prada, cette plongée dans les coulisses de la mode parisienne est à dévorer
Closer
« 10 révélations sur le monde de la mode… Tout et bien d’autres choses encore est raconté par une ex rédactrice en chef mode »
La Parisienne
« Vous allez comprendre les codes et les contraintes de cette grande comédie humaine de la mode…»
France 24 (+ passage tv « La tendance du « parler vrai »
Cécile Sepulchre dépeint avec un cynisme assorti de tendresse l’univers qu’elle a longtemps côtoyé, sans tomber dans la délation malsaine
Article en pleine page du quotidien belge l’Avenir
« Un roman drôle et féroce qui compare le milieu de la mode à la cour de Versailles. »
France 3, L’invitée du Soir 3
http://culturebox.francetvinfo.fr/…/cecile-sepulchre-egrati…
« Encore plus acide que le Diable en Prada… un portrait à la fois fascinant et terriblement piquant d’une société irrationnelle mais fermée.. l’un de ces récits qu’il est impossible de reposer une fois qu’on l’a commencé! »
mangooandsalt.com/2014/02/28/le-defile-des-vanites/
« On s’y croirait vraiment … Loin d’être un tableau noir et pessimiste, ce roman est très drôle ! »
MarieClaire.fr
« Le défilé des vanités » ne se contente pas d’être une histoire pleine d’imagination et parfois drôlissime. C’est une enquête au cœur de la mode »
Le journal du textile
« Mieux qu’un roman, un témoignage « sur le vif » du microcosme de la mode parisienne. Lisez ce livre, je ne l’ai pas laché, l’ayant lu d’une traite entre éclats de rire et réflexion sur la fugacité de ce métier.
Editions Angeline News
« Cécile Sepulchre ose écrire ce que généralement on ne dit qu'entre initiés. »
Monsieur Magazine
N°1 des 10 livres mode qu'il ne fallait pas rater en 2013 !
Culturebox, France TV Info
« Le premier livre de Cecile Sepulchre, ancienne rédactrice en chef de L’Officiel de la mode, s’infiltre dans les coulisses de la mode parisienne »
Daily Elle
Elle croque tous les personnage qui oeuvrent sur cette planète féroce, avec humour et tendresse. Intrigues, coups bas, rebondissemnts : jubilatoire
Madame Figaro
«Pour la première fois, une ex-rédactrice en chef lève le voile sur le milieu extrêmement fermé de la mode et braque les projecteurs sur Paris, capitale de la mode. »
BE.com
Des personnages balzaciens capables de tout pour rester à flot …Ecriture alerte, sens du détail et de la chute, rien ne manque pour faire de son livre un beau succès de librairie.
"Le carnet parisien"
« La version française du Diable en Prada. Un roman drôle, impitoyable . Et surtout authentique »
Question de femme
« Elle décrit les codes de ce monde privilégié où le luxe, la beauté et l’argent règnent en maîtres »
France TV Infos
« Cécile Sepulchre fait un état des lieux sans complaisance de l'univers des rédactions de mode parisiennes »
Marie France.fr
« Un roman plus vrai que nature dans les coulisses d'un journal de mode, écrit par l'ancienne rédactrice en chef de l'Officiel de la Mode. »
Do It In Paris.fr
« Le défilé des vanités raconte avec humour les dessous du microcosme de la mode parisienne »
Le Figaro madame (2e article fin janvier)
« L’univers de la mode vit-il dans une bulle ? »
Tribune dans Slate.fr
http://www.slate.fr/story/83731/univers-mode-bulle
« Le Défilé des Vanités » devrait devenir l’incontournable de ces prochaines semaines pour tous et toutes les « fashion addicts ».
Luxsure.com
« Derrière la simple histoire, c’est tout un pan des grandes rivalités du milieu de la mode et de sa vitrine qu’est la presse de mode qui est décrit sous couvert d‘anecdotes. (…) Le défilé des vanités met en scène Paris, montrant que c’est d’abord dans cette ville que cela se passe. N’en déplaise au diable et à Prada… »
Fashion Mag
« Quand une ancienne rédactrice en chef d'un célèbre magazine de mode nous dévoile en exclusivité les petits secrets des coulisses de la mode parisienne, on achète illico ! »
On the mode again.com
« Si l’auteur avait vécu au 17ème siècle, elle aurait sûrement été une La Fontaine ou une La Bruyère ; à dénoncer la société dans laquelle elle vit de manière divertissante.»
Stheels
« Plus branché que Le Diable s'habille en Prada, les personnages sont plus fouillés, plus attachants et surtout plus réalistes… Ce livre est un régal. »
http://www.accrodelamode.com/index.php…
«Nous avons aimé le livre de Cécile Sepulchre … Une comédie féroce ! »
La Fringale Littéraire, interview vidéo ici
« Ce roman se lira comme un jeu de piste dont le but serait de reconnaître
des événements et personnages réels »
ClicClacHop.com
« Son titre annonce d’emblée la couleur »
Burda
« Le cadeau mode n°1… La bible rêvée des modeuses ou des curieuses qui veulent tout savoir sur les coulisses des rédactions mode »
Le laboratoire des modes
« Est-il possible de raconter la mode de l'intérieur ? Rares sont ceux qui tentent l'aventure ».
Huffington Post (tribune)
« L’art de la guerre adapté ici à une guerre feutrée mais sans pitié, un véritable guide de survie à l’usage des candidats à la planète mode. Follement réjouissant ! »
Dandy Magazine
« Un livre à emporter dans ses valises pour les vacances de Noël et à dévorer le 25 décembre bien au chaud sous sa couette… »
Tendances de Mode
« Cécile Sepulchre a su décoder avec finesse ce monde opaque du microcosme parisien. Anecdotes, extravagances et règles étranges »
Belle
« Un roman plein d’humour sur les coulisses de la mode »
Bfm, le goût du luxe
« Cécile Sepulchre, ancienne rédactrice en chef de mode (l’Officiel de la mode) signe son ‘Prada’ »
Livre Hebdo
« Un livre drôle et bouleversant… une magnifique leçon de survie »
unitedfashionforpeace.com
« L’auteure épingle avec humour les lois qui régissent cet univers . . impitoyable ! »
http://blog.marionnaud.fr/?p=23048#comment-60820
« Si vous voulez en savoir plus sur les dessous (peu glorieux) de la mode...
Le Défilé des Vanités de Cécile Sepulchre »
Be book.com
« Les répliques sont très travaillées , les personnages haut en couleur … La morale de la fin est très soignée et j'ai bien vu un scénario de film »
http://intelligently-fashionable.blogspot.com/
« En matière de voyage, l’ex-rédactrice en chef de l’Officiel Mode en connaît un rayon. »
Blog Jet lag trip
« S’il est un livre de chevet à avoir en ce moment, c’est bien celui de Cécile Sepulchre »
Fashion-Spider
« Un monde opaque, peuplé de diables et diablesses tous habillés en Prada ». . Actualité 24h
Closer
« 10 révélations sur le monde de la mode… Tout et bien d’autres choses encore est raconté par une ex rédactrice en chef mode »
La Parisienne
« Vous allez comprendre les codes et les contraintes de cette grande comédie humaine de la mode…»
France 24 (+ passage tv « La tendance du « parler vrai »
Cécile Sepulchre dépeint avec un cynisme assorti de tendresse l’univers qu’elle a longtemps côtoyé, sans tomber dans la délation malsaine
Article en pleine page du quotidien belge l’Avenir
« Un roman drôle et féroce qui compare le milieu de la mode à la cour de Versailles. »
France 3, L’invitée du Soir 3
http://culturebox.francetvinfo.fr/…/cecile-sepulchre-egrati…
« Encore plus acide que le Diable en Prada… un portrait à la fois fascinant et terriblement piquant d’une société irrationnelle mais fermée.. l’un de ces récits qu’il est impossible de reposer une fois qu’on l’a commencé! »
mangooandsalt.com/2014/02/28/le-defile-des-vanites/
« On s’y croirait vraiment … Loin d’être un tableau noir et pessimiste, ce roman est très drôle ! »
MarieClaire.fr
« Le défilé des vanités » ne se contente pas d’être une histoire pleine d’imagination et parfois drôlissime. C’est une enquête au cœur de la mode »
Le journal du textile
« Mieux qu’un roman, un témoignage « sur le vif » du microcosme de la mode parisienne. Lisez ce livre, je ne l’ai pas laché, l’ayant lu d’une traite entre éclats de rire et réflexion sur la fugacité de ce métier.
Editions Angeline News
« Cécile Sepulchre ose écrire ce que généralement on ne dit qu'entre initiés. »
Monsieur Magazine
N°1 des 10 livres mode qu'il ne fallait pas rater en 2013 !
Culturebox, France TV Info
« Le premier livre de Cecile Sepulchre, ancienne rédactrice en chef de L’Officiel de la mode, s’infiltre dans les coulisses de la mode parisienne »
Daily Elle
Elle croque tous les personnage qui oeuvrent sur cette planète féroce, avec humour et tendresse. Intrigues, coups bas, rebondissemnts : jubilatoire
Madame Figaro
«Pour la première fois, une ex-rédactrice en chef lève le voile sur le milieu extrêmement fermé de la mode et braque les projecteurs sur Paris, capitale de la mode. »
BE.com
Des personnages balzaciens capables de tout pour rester à flot …Ecriture alerte, sens du détail et de la chute, rien ne manque pour faire de son livre un beau succès de librairie.
"Le carnet parisien"
« La version française du Diable en Prada. Un roman drôle, impitoyable . Et surtout authentique »
Question de femme
« Elle décrit les codes de ce monde privilégié où le luxe, la beauté et l’argent règnent en maîtres »
France TV Infos
« Cécile Sepulchre fait un état des lieux sans complaisance de l'univers des rédactions de mode parisiennes »
Marie France.fr
« Un roman plus vrai que nature dans les coulisses d'un journal de mode, écrit par l'ancienne rédactrice en chef de l'Officiel de la Mode. »
Do It In Paris.fr
« Le défilé des vanités raconte avec humour les dessous du microcosme de la mode parisienne »
Le Figaro madame (2e article fin janvier)
« L’univers de la mode vit-il dans une bulle ? »
Tribune dans Slate.fr
http://www.slate.fr/story/83731/univers-mode-bulle
« Le Défilé des Vanités » devrait devenir l’incontournable de ces prochaines semaines pour tous et toutes les « fashion addicts ».
Luxsure.com
« Derrière la simple histoire, c’est tout un pan des grandes rivalités du milieu de la mode et de sa vitrine qu’est la presse de mode qui est décrit sous couvert d‘anecdotes. (…) Le défilé des vanités met en scène Paris, montrant que c’est d’abord dans cette ville que cela se passe. N’en déplaise au diable et à Prada… »
Fashion Mag
« Quand une ancienne rédactrice en chef d'un célèbre magazine de mode nous dévoile en exclusivité les petits secrets des coulisses de la mode parisienne, on achète illico ! »
On the mode again.com
« Si l’auteur avait vécu au 17ème siècle, elle aurait sûrement été une La Fontaine ou une La Bruyère ; à dénoncer la société dans laquelle elle vit de manière divertissante.»
Stheels
« Plus branché que Le Diable s'habille en Prada, les personnages sont plus fouillés, plus attachants et surtout plus réalistes… Ce livre est un régal. »
http://www.accrodelamode.com/index.php…
«Nous avons aimé le livre de Cécile Sepulchre … Une comédie féroce ! »
La Fringale Littéraire, interview vidéo ici
« Ce roman se lira comme un jeu de piste dont le but serait de reconnaître
des événements et personnages réels »
ClicClacHop.com
« Son titre annonce d’emblée la couleur »
Burda
« Le cadeau mode n°1… La bible rêvée des modeuses ou des curieuses qui veulent tout savoir sur les coulisses des rédactions mode »
Le laboratoire des modes
« Est-il possible de raconter la mode de l'intérieur ? Rares sont ceux qui tentent l'aventure ».
Huffington Post (tribune)
« L’art de la guerre adapté ici à une guerre feutrée mais sans pitié, un véritable guide de survie à l’usage des candidats à la planète mode. Follement réjouissant ! »
Dandy Magazine
« Un livre à emporter dans ses valises pour les vacances de Noël et à dévorer le 25 décembre bien au chaud sous sa couette… »
Tendances de Mode
« Cécile Sepulchre a su décoder avec finesse ce monde opaque du microcosme parisien. Anecdotes, extravagances et règles étranges »
Belle
« Un roman plein d’humour sur les coulisses de la mode »
Bfm, le goût du luxe
« Cécile Sepulchre, ancienne rédactrice en chef de mode (l’Officiel de la mode) signe son ‘Prada’ »
Livre Hebdo
« Un livre drôle et bouleversant… une magnifique leçon de survie »
unitedfashionforpeace.com
« L’auteure épingle avec humour les lois qui régissent cet univers . . impitoyable ! »
http://blog.marionnaud.fr/?p=23048#comment-60820
« Si vous voulez en savoir plus sur les dessous (peu glorieux) de la mode...
Le Défilé des Vanités de Cécile Sepulchre »
Be book.com
« Les répliques sont très travaillées , les personnages haut en couleur … La morale de la fin est très soignée et j'ai bien vu un scénario de film »
http://intelligently-fashionable.blogspot.com/
« En matière de voyage, l’ex-rédactrice en chef de l’Officiel Mode en connaît un rayon. »
Blog Jet lag trip
« S’il est un livre de chevet à avoir en ce moment, c’est bien celui de Cécile Sepulchre »
Fashion-Spider
« Un monde opaque, peuplé de diables et diablesses tous habillés en Prada ». . Actualité 24h
Les pneus de la Jaguar crissèrent sur la neige. Le chauffeur manoeuvra pour stopper face au tapis rouge et se précipita afin d’ouvrir la portière. Des pieds nus chaussés de vertigineuses sandales en soie crème apparurent. Ils se fichèrent dans la neige, qui s’effrita mollement sur la peau pâle et frissonnante, glissant entre les orteils aux ongles rayés et laqués, tachant l’étoffe. Les flashes des photographes commencèrent à crépiter.
Marine de Rubempré, toute de Balenciaga vêtue, descendit de l’auto en ajustant ses immenses lunettes noires, suivie d’Hippolyte. Elle faillit attraper son sac et son manteau d’astrakan rose mais se retint à temps. À son niveau hiérarchique, c’eût été un fashion faux pas, selon l’étiquette de la cour du Louvre. Elle ne conserva donc que son smartphone.
– Je gère l’intendance, confirma Hippolyte, son bras droit, en lui lançant un regard entendu.
Un attaché de presse, longue silhouette mince et noire à Blackberry greffé à l’oreille, visiblement en état de panique interne aiguë, se précipita avec un sourire convulsé.
– Ah Marine vous voilà ! Allons-y viiite, tout le monde vous attend. Jamais dans ma vie d’attaché de presse je n’ai eu un stress pareil ! Viiiiiiite !!!
La jeune femme le gratifia d’un coup d’oeil indifférent et le suivit avec nonchalance, tout en signifiant d’un signe du doigt son refus d’interview à une Japonaise qui brandissait un micro.
Se frayant un passage à travers la foule, le petit groupe se faufila entre les photographes et les multiples barrages, pour finalement pénétrer dans la salle des défilés, une immense tente chauffée à blanc par une heure d’attente. Des mugissements exaspérés se firent entendre du côté des photographes à la vue de Marine tandis que des réflexions agacées fusaient des rangs compacts des journalistes. Quelque trois mille paires d’yeux furieux observaient son arrivée tant attendue. Mais la jeune femme n’en avait cure. Royale, elle traversa la salle et s’assit au premier rang, pile dans l’axe du podium. La place d’honneur. Ôtant enfin ses lunettes, elle promena son regard sur la foule, savourant son pouvoir.
La lumière s’éteignit, le défilé pouvait commencer…
Marine de Rubempré, toute de Balenciaga vêtue, descendit de l’auto en ajustant ses immenses lunettes noires, suivie d’Hippolyte. Elle faillit attraper son sac et son manteau d’astrakan rose mais se retint à temps. À son niveau hiérarchique, c’eût été un fashion faux pas, selon l’étiquette de la cour du Louvre. Elle ne conserva donc que son smartphone.
– Je gère l’intendance, confirma Hippolyte, son bras droit, en lui lançant un regard entendu.
Un attaché de presse, longue silhouette mince et noire à Blackberry greffé à l’oreille, visiblement en état de panique interne aiguë, se précipita avec un sourire convulsé.
– Ah Marine vous voilà ! Allons-y viiite, tout le monde vous attend. Jamais dans ma vie d’attaché de presse je n’ai eu un stress pareil ! Viiiiiiite !!!
La jeune femme le gratifia d’un coup d’oeil indifférent et le suivit avec nonchalance, tout en signifiant d’un signe du doigt son refus d’interview à une Japonaise qui brandissait un micro.
Se frayant un passage à travers la foule, le petit groupe se faufila entre les photographes et les multiples barrages, pour finalement pénétrer dans la salle des défilés, une immense tente chauffée à blanc par une heure d’attente. Des mugissements exaspérés se firent entendre du côté des photographes à la vue de Marine tandis que des réflexions agacées fusaient des rangs compacts des journalistes. Quelque trois mille paires d’yeux furieux observaient son arrivée tant attendue. Mais la jeune femme n’en avait cure. Royale, elle traversa la salle et s’assit au premier rang, pile dans l’axe du podium. La place d’honneur. Ôtant enfin ses lunettes, elle promena son regard sur la foule, savourant son pouvoir.
La lumière s’éteignit, le défilé pouvait commencer…
« Un roman plus vrai que nature, sorte de pendant français au Diable s’habille en Prada. Captivant !
"Un roman désopilant de cynisme" Frédéric Beigbeder
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