Nos identités futures, celles qu'on imagine, celles qu'on espère

🫧 Archipelago
J'ai l'impression de vivre la scène de famille 🥹 ça me fait vraiment du bien de lire ces petits moments familiaux mais avec des vrais éléments culturels du Maghreb, sans être obligé de tout transposer. J'ai vraiment adoré retrouver des éléments de ma culture dans ce texte, et j'ai bien apprécié l'histoire mais je pense que ça m'aurait beaucoup plus plu si ça avait été un roman et pas une nouvelle, tout semble aller très vite à cause du format et j'ai été un peu perdu

🫧 Parler de ça
J'ai immédiatement accroché à l'écriture. Je suis polyhandie, j'ai pas la même maladie que la pp mais j'ai des symptômes similaires / identiques et ça fait vraiment du bien de lire ce genre de textes. Je sais que c'est le principe même de ce recueil, mais ça fait vraiment vraiment du bien

🫧 Conseil d'abeille
J'aime beaucoup l'idée de messages internet type voyage temporel. C'est extrêmement touchant de voir ça, et je me suis beaucoup reconnu dans les mots de Mila : " Je veux crier sur tous les toits que je suis fière, que je n'ai pas peur. Mais j'ai peur. Très peur". Comment ne pas pleurer ?

🫧La voix de Kandamma
Je me retrouve moins dans ce texte, ce qui est logique, mais j'ai bien aimé l'écriture et le sujet de cette nouvelle. L'histoire est très belle, et j'aime l'idée de la transmission et la façon dont ce concept est retranscrit ici

🫧 Mille fins du monde
Bon, je suis tombée amoureuse dès la première phrase, donc ça a forcément mal fini (j'ai pleuré) (beaucoup). Surtout à cause du prénom. Elio. Elio, j'en ai un dans ma vie. Je l'aime énormément. Je ne sais pas s'il sait à quel point je l'aime, pourtant je lui répète souvent. Il me manque parfois. Je voudrais le voir plus, lui parler plus. Elio, c'est vraiment beau. Je me suis énormément retrouvé dans ce texte. C'est, je pense, la nouvelle que j'ai préférée du recueil même si elles étaient toutes excellentes.

🫧 le cercle des initiées

J'ai bien aimé ce texte, mais après milles fins du monde j'étais peut être trop bouleversé pour l'apprécier à sa juste valeur (le fait qu'il était presque 4h du matin n'a pas du aider non plus je pense). Cependant, j'ai aimé l'idée que j'ai trouvé originale, et le discours qui nous ai offert, en particulier celui sur la colère que je connais bien.

Une véritable petite pépite !

Diveka, à travers ce recueil de nouvelles, laisse la parole à 6 auteur(es) pour s'exprimer sur les questions d'identités en imaginant le monde de demain.
On va y retrouver le sujet de l'ethnie, du handicap, de la transidentité (ou plus particulièrement de l'identité de genre), du sexisme, etc.

Un coup de coeur pour ma part à faire découvrir au plus grand nombre !

Coup de coeur pour ce recueil de six récits. le visuel est accrocheur et avant même de lire le sous-titre, je me suis dit que ces histoires allaient parler de diversité : Bingo ! Non seulement j'ai beaucoup apprécié les textes qui nous projettent un peu dans le futur et nous amènent à réfléchir sur les identités, mais je trouve que le projet est vraiment original. L'association Diveka s'est associé aux éditions Rageot pour organiser un concours d'écriture et donner la parole à de jeunes plumes très prometteuses. J'ai sincèrement apprécié la qualité littéraire de tous ces textes qui apportent un vent de fraîcheur dans les parutions de cette rentrée littéraire et je donne une mention spéciale à Romane le Nain, une étudiante en journalisme qui a écrit "Parler de ça", un texte subtil et très touchant sur le handicap invisible. Tous ces récits abordent des thèmes aussi variés que les cultures, les genres, la sexualité, le corps... et nous offre une belle leçon d'humanité et d'humilité. Bravo !
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