On l'appelait tempête

Ce livre m'a donné le goût de la lecture. Il s'agit du premier roman dévoré à l'âge de sept ans. Une histoire touchante dont je me souviens très bien. Un petit garçon vit seul avec son père. Il n'aime pas trop l'école et préfère s'amuser au grand air. Un jour, il découvre de jeunes oiseaux ayant échappé à l'attaque meurtrière des braconniers. Les petits pélicans deviendront ses amis. En particulier, le plus chétif. Ce roman est une belle fable sur l'amitié, la nature et le monde de l'enfance. En dehors des chemins de l'école, on apprend la vie et on se renforce. Ce livre est riche en émotions. Tantôt émouvant, tantôt drôle. Un beau voyage sur les terres d'Australie qui nous apprend à quel point se battre pour une cause n'a pas d'âge.

J'ai travaillé sur ce livre en sixième, je viens de le trouver dans mon placard, il est dans un état indescriptible tellement je l'ai le trimbalé partout. C'est un très jolie histoire pour les enfants, elle m'a beaucoup marquée.

C'est une histoire simple et émouvante, celle d'un enfant qui vit au bord de l'océan avec son père, et grandit libre, au contact de la nature. Un jour, le petit garçon sauve trois jeunes pélicans d'une mort certaine. Une amitié profonde naît peu à peu entre l'enfant et l'un des pélicans. Ce livre court raconte, sans grandiloquence ni mièvrerie, cette amitié menacée par la cruauté et la bêtise des hommes.