The mighty est un récit étrange , commun et en même temps différent.
Si
Keith Champagne et
Peter J. Tomasi se sert de leur intrigue pour déconstruire l'image du super héros (fortement inspiré de Superman), c'est avant tout la partie relationnel qui est mis en avant laissant de côté toute la partie action pour un final assez réussi.
Côté dessin Snjerbjerg fait un bon taff mais on retiendra surtout la prestation de
Chris Samnee qui impressionne par la maitrise de son trait pour une série qui date d'il y a 10 ans.
Si The Mighty a un seul défaut, c'est d'avoir été publié en France un peu trop tard, alors que l'ère de la déconstruction est, à mon avis, terminée depuis quelques années