Ce serait comme une migration d'oiseaux vers le soleil, le passage des quatre saisons, comme la succession des âges de l'homme, l'enchaînement qui les noue, du rêve à l'amour, et de l'amour au souvenir, du souvenir à l'obsédant regret : des enfants de rêve partant dans l'odeur d'essence d'un scooter, des rires et les cheveux dans le vent et l'air de Piaf qui chante "Allez venez Milord"... Un même chemin qu'on croirait de pélerinage vers Compostelle, un poing de révo...
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