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3,74

sur 627 notes
A mon âge vénérable j'ai depuis longtemps décidé d'arrêter au bout de +/- 50 pages si cela ne m'emballait pas. La vie est trop courte et l'offre bien trop abondante.
Quel micmac. Trop de personnages, trop de lieux différents, en bref bien trop de confusion pour créer l'intérêt du lecteur. Pourtant je trouve l'idée très valable par son originalité. Mais quand c'est mal construit....................cela n'en vaut pas la peine.
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De la SF vivante, dynamique, parfois drôle, mettant en avant les pensées et actes de quelques individus perdus au milieu d'une guerre qui n'est pas de leur temps. Connie Willis écrit un grand roman qui n'en a pas l'air, articulé en chapitres denses et enlevés, concentrés sur des péripéties d'apparence futiles mais qui dissimulent, en filigrane, un terrible drame d'ampleur universelle.
Lien : http://comicsmarvel.blogspot..
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J'ai acheté ce livre pour renouer avec la science fiction qui est un genre que j'apprécie et que j'avais un peu délaissé.
les prix obtenus Prix Hugo, Nebula m'ont décidé...
Alors.....

un peu déçu quand même :
- l'action se met très lentement en place
- le contexte est très britannique ( à part Dunkerque 1940 !)
-le thème des séjours d'historiens de 2060 est riche mais je reste dubitatif sur les situations provoquées.

Une remarque : que se passerait il si un homme ou une femme de 2060 avait des relations amoureuses avec des personnes de 1940 ( thème non traité !! )

Néanmoins la fin du livre reste prenante et j'ai acheté aujourd'hui la suite al lClear.C'est la preuve de mon intérêt pour cette suite.
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J'ai découvert ce livre tout à fait par hasard, sur l'étal d'une librairie, sans en avoir jamais entendu parlé. J'ai été attiré par la couverture : le Big Ben avec comme titre « Black-Out » ; j'ai lu le résumé, et je ne me suis pas posé de question : « ok c'est lui que je prends ! ».


Le résumé :

En 2060, les historiens voyagent dans le temps, pour être au plus près des évènements. Il n'y a pas de risque qu'ils changent le cours de l'Histoire puisque la machine qui les envoie évite tous les « points de divergence », ces moments si critiques qu'un battement d'ailes de papillon imprévu pourrait faire basculer les choses. Les voyageurs dans le temps connaissent, avant de partir, le lieu, la date et l'heure de leur « atterrissage ». Cela en théorie : en effet, les étudiants envoyés durant la Seconde Guerre Mondiale posent pied avec des décalages plus ou moins grands. Pire, lorsqu'ils veulent rentrer au XXIe siècle, leur lieu de transfert semble ne plus fonctionner, les laissant à eux-mêmes, au coeur d'une époque dangereuse qui n'est pas la leur. Plus ils y restent de temps, plus ils risquent de modifier l'Histoire…


Mon avis :

Cette lecture est presque un coup de coeur ! Presque, car il y a un certain nombre de longueurs. J'y reviendrai.

L'histoire est vraiment très bien documentée. Moi qui savais vaguement ce qu'était le « blitz », j'en sais désormais beaucoup plus ! On côtoie, comme les étudiants voyageurs, les londoniens durant ces événements. Il n'y a pas que le blitz : un étudiant, Michael est censé observer le rapatriement des soldats à Douvres, une autre, Merope (qui se fait appeler Helen, car Merope est peu usité dans les années 40), pour être avec des enfants londoniens évacués à la campagne dans une grande demeure.

Tout est fait pour que l'historien coure le moins de risque possible : durant le Blitz à Londres, une étudiante, Polly, s'est vu remettre une liste des pensions à éviter, des grands magasins (pour lesquels elle devra travailler pour lui servir de couverture) qui ont été bombardés et donc qu'il faut aussi éviter, des heures des débuts et fins des alertes bombardements, etc.

Il est possible qu'un point de transfert ne s'ouvre pas si une personne étrangère au voyage dans le temps est susceptible de voir la lumière que cela produit.

On vit véritablement les angoisses de ces jeunes qui se retrouvent coincés.

L'une des étudiantes se répète sans cesse : « si mon point de transfert ne marche pas, c'est que quelqu'un peut voir la lumière ; si l'équipe de récupération tarde à venir me chercher, c'est qu'elle ne sait pas où je me trouve ; oui mais on parle de voyage dans le temps ; ils peuvent très bien mettre des années à essayer de me localiser, ils pourront toujours m'apparaître 5 minutes plus tard à peine ». Cette répétition devient assez lourde à la fin…

A part ce détail, pourquoi « presque » un coup de coeur ? Et bien parce qu'au bout de la 150ème page, je ne comprenais toujours pas le pourquoi du comment. Trop d'histoires en parallèle, trop de personnages, certains qu'on ne voit plus pendant 100 pages, le sentiment qu'il n'y a pas d'intrigue principale. J'ai failli abandonner ma lecture. Heureusement que j'ai fait part de ses questionnements sur la page Facebook : Miss Léo Lecture m'a répondu que toutes ces intrigues finissaient par devenir cohérentes, petit à petit. J'ai donc poursuivi et grand bien m'en a fait ! J'ai de plus en plus adoré ! Et effectivement, les petites histoires sont, au final, sur une même ligne directrice.

La fin du tome s'arrête nette : en effet, il y en a un deuxième, All Clear, qui est déjà sorti en grand format, mais j'attends avec impatience sa sortie en poche (l'année prochaine ?) !

Pour résumer : ne vous arrêtez surtout pas au bout de la 200ème page ! Persévérez, vous en serez récompensé ;-)
Lien : http://lapauselitteraireetcr..
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Black-out de Connie Willis intègre le voyage temporel mais est accessible à tout lecteur, car l'aspect SF est très léger. Nous sommes plongés dans l'aventure de trois protagonistes pour qui la mission ne se passe pas sans heurt. Grâce à un travail de documentation poussé, l'auteure nous entraine dans le quotidien des Londoniens durant la seconde guerre mondiale. La plume reste scénaristique et on vit sur le même rythme que Polly, Mérope et Michael. Bien qu'il puisse décevoir les fans d'actions, ce livre est un véritable page turner.
Lien : http://livrement.com/2014/05..
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En 2060 le voyage temporel est parfaitement maîtrisé. Il est même utilisé abondamment par les historiens qui peuvent littéralement vivre de l'intérieur l'époque et le lieu de leurs recherches. C'est en particulier le cas d'un laboratoire de l'université d'Oxford qui en l'occurrence s'intéresse à la Seconde Guerre Mondiale. Et pour cela quoi de mieux que de se retrouver au coeur du Blitz qui ravagea l'Angleterre de septembre 1940 à mai 1941.

C'est ainsi que Michael Davies, pour se préparer à Pearl Harbor, se rend dans la région de Douvres pour assister au rapatriement des soldats de la « poche de Dunkerque ». Merope Ward est pour sa part aux premières loges pour observer les enfants londoniens évacués dans un manoir en pleine campagne. Polly Churchill est quant à elle dans le centre de Londres dans le but d'étudier le comportement des habitants dont la vie est rythmée par les bombardements quasi quotidiens. Parfaitement informés des lieux dangereux, et des heures précises des explosions de bombes, les trois sont censés être en parfaite sécurité. le problème est que certains de ces événements semblent être en léger décalage par rapport à leurs connaissances historiques, certaines bombes explosant avec retard, d'autres ne tombant pas exactement à l'endroit prévu. Et le pire est que les points de transfert d'une époque à une autre ne fonctionnent plus.

Les trois historiens se retrouvent donc coincés dans une époque qui n'est pas la leur et doivent composer avec une situation chaotique qu'ils ne maîtrisent pas autant qu'ils le devraient. Chacun décide alors de rejoindre les deux autres à Londres par leurs propres moyens tout en cherchant ce qui a bien pu faire dérailler la trame temporelle. Est-ce l'héroïsme bien malgré lui de Michael Davies ? Est-ce l'attachement de Merope Ward pour les deux garnements dont elle a la charge ? Est-ce le fait que Polly Churchill a bien du mal à trouver un travail et se retrouve dans un grand magasin qui n'était pas prévu ? Autant de possibilités aussi incertaines qu'angoissantes.

Après le Moyen-Age (Le grand livre, 1994) et l'Angleterre victorienne (Sans parler du chien, 2000) Connie WILLIS nous propose un nouveau voyage dans le temps avec un diptyque dont Black-out est le premier tome. Il est l'occasion d'une très belle reconstitution historique de l'Angleterre au début de la Seconde Guerre Mondiale, en particulier Londres pendant le Blitz. L'auteure s'avère parfaitement documentée et sait restituer toute la tension psychologique inhérente à la situation particulière du pays à cette époque. Pour cela elle met en scène une multitude de personnages d'une grande crédibilité, privilégiant le peuple tel qu'il a probablement réellement vécu à un ou plusieurs héros improbables. Elle n'oublie pas non plus l'esprit et l'humour très britannique qui s'imposait dans un tel récit ; à ce niveau on peut également saluer l'excellent travail de traduction de Joëlle WINTREBERT et donner une mention spéciale aux personnages d'Alf et Binnie, les deux insupportables gamins dont Merope Ward a la charge, et qui sont tout simplement d'une rare drôlerie.

Reste que le souci du détail de cette reconstitution trouve son revers dans certaines longueurs ici et là au fil du récit. Cette sensation est d'autant plus prégnante que la fin de Black-out appelle inévitablement la lecture du deuxième volet de ce diptyque, tout aussi imposant.
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En 2060, le métier d'historien a considérablement changé. Plus question de passer son temps dans les livres ou sur les chantiers de fouilles archéologiques, l'historien vit littéralement le passé. En effet, les technologies ont à ce point évolué que le voyage dans le passé est possible, et utilisé pour prendre connaissance dans les moindres détails de notre Histoire commune. Polly, Mérope, Michael et bien d'autres font parties de ces historiens de haut vol, basés à Oxford. Tous trois sont amenés à voyager durant la Seconde Guerre mondiale : Mérope pour vivre l'évacuation des enfants de Londres et leur accueil dans les campagnes anglaises, Michael pour vivre différents événements clés de la guerre, notamment Pearl Harbor et la bataille de Dunkerque et son évacuation, Polly le Blitz de Londres. Mais déjà, avant de partir, les laboratoires sont en branle bas de combat : des expéditions sont annulés, modifiés, intervertis, sans qu'aucune explication ne soit donnée. Et voilà nos trois historiens partis dans leurs missions à haut risque. Mais ces voyages dans le temps sont-ils réellement sûrs ? Les historiens peuvent-ils, sans le vouloir, modifier le passé ?

Ce premier tome nous enlève pour nous faire découvrir la Seconde Guerre mondiale comme on ne l'a jamais vu, avec un recul historique des protagonistes incroyable, et un lien marqué entre eux, malgré leur distance temporelle. le concept de voyage dans le temps est mené avec brio, les détails sous-tendant ce concept sont fouillés et plein de réalisme. Car Connie Willis a pensé à tout : la préparation de tels voyages nécessite des costumes appropriés pour se fondre dans la masse à l'arrivée, le bon accent pour ne pas détonner, surtout en plein conflit mondial, les papiers d'identité adéquats, une connaissance accrue du fonctionnement des technologies anciennes, et le bon endroit pour débarquer dans un lieu et une époque différente d'Oxford – 2060. Alors, forcément, le lecteur s'y laisse prendre : si le voyage temporel devait exister, il se passerait exactement de cette manière, à n'en pas douter !

Ce roman est surtout empreint de réalisme, au regard de notre histoire actuelle : avec le recul des années 2060, on apprend qu'une vague de terrorisme s'est abattue en Angleterre dans les premières décennies du XXIe siècle. Alors, on y croit, et on espère que Connie Willis n'est pas vraiment prophétesse !

Parlons maintenant des personnages. L'auteur nous propose des personnages d'une grande richesse, qu'on aime suivre. Polly, Mérope et Michael sont ceux qu'on suit le plus, alors on y est d'autant plus attaché. Mais il ne faut pas oublier les autres voyageurs temporels, qui apparaissent un peu en marge, mais qui auront toute leur importance dans la suite de l'intrigue, on le pressent bien. Et les personnages historiques que rencontres nos historiens sont fabuleux, surtout ceux qui croisent le chemin de Polly à Londres.

Connie Willis, en plus de tout cela, nous offre un premier tome très bien écrit, qu'on prend grand plaisir à dévorer, et ce malgré ces 672 pages. Elle réussit à instiller dans l'intrigue ce qu'il faut de suspens pour nous donner l'envie irrépressible de lire le tome 2 dans l'instant. Une chance pour nous, All Clear sera disponible dans nos librairies le 23 août prochain ! La fin du tome 1, au cliffhanger haletant, mêlant pour nos trois protagonistes problèmes de voyage temporel et problèmes historiques liés aux événements de la Seconde Guerre mondiale, rend indispensable la lecture de ce second tome. L'attente va être rude !
Lien : http://breveslitteraires.wor..
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Quand mon amie m'en a parlé, j'ai trouvé le principe de ce livre tout de suite sympathique.
Le début m'a parut un peu long, mais dès que l'on est dans l'histoire, ça coule tout seul.
J'ai eu une petite préférence pour les aventures de Polly.
Maintenant, on a plus qu'à attendre août pour avoir la suite (Que j'ai hâte !)
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Connie Willis et le voyage dans le temps, c'est une longue histoire. Après le Grand Livre et Sans Parler du Chien, voici Blackout (suivi de All Clear que je vais immédiatement commencer).

En 2060, les historiens utilisent le voyage temporel pour étudier le passé. Même si le fonctionnement de ce type de voyage n'est pas connu exactement, les techniciens ont compris une chose : il est impossible de modifier le passé. En effet, dès que quiconque essaie de s'approcher d'un "point de divergence", un décalage (dans le temps et/ou dans l'espace) l'en empêche. Et la porte refuse de s'ouvrir si elle est visible par un "contemporain". Forts de ces certitudes, trois historiens d'Oxford partent chacun de leur côté étudier une année très particulière : 1940 au Royaume-Uni. Mais la deuxième guerre mondiale, avec son lot d'évènements chaotiques, va mettre la théorie et nos voyageurs à rude épreuve...

Alors certes, le premier volume pèse 600 pages (et le second autant), le récit n'avance pas très vite, et certains seront rapidement rebutés. Mais Connie Willis, toute américaine qu'elle est, nous emmène, nous emporte avec son humour tellement anglais, plein de flegme, de sarcasmes et d'absurde. On sent également tout l'amour qu'elle porte aux "screwball comedies", ces films américains des années 50 faits de quiproquos et de situations incroyables et drôles (comme L'Impossible M. Bébé, par exemple).
Comme d'habitude, la science-fiction n'est ici qu'un alibi, un prétexte pour provoquer des situations rocambolesques et une histoire irrésistible ! Mélange de drames, de peurs et de rires, ce roman nous entraine dans un tourbillon dans lequel on se perd avec plaisir.
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J'avoue être assez déçue par cette lecture dont pourtant on m'avait dit le plus grand bien.

Pourtant, mes premières impressions étaient plutôt positives. le début est accrocheur. Les personnages sont en majorité sympathiques. le style de Connie Willis est fluide et agréable à lire et il y a quelques pointes d'humour bienvenues. de plus, on apprend des choses sur la seconde guerre mondiale notamment sur le Blitz. Mais l'histoire tient une si grande place et l'auteure nous livre tant de dates, détails, descriptions et anecdotes, manifestement issues de ses recherches sur le sujet, que, très vite nous croulons sous l'afflux d'informations et que la tête nous tourne presque !

L'auteure est connue pour se documenter beaucoup avant d'écrire un roman et son érudition déjà présente dans Sans parler du chien n'est plus à prouver mais même si nous apprenons des choses intéressantes sur différents périodes de la guerre 39/45, cela vire trop souvent à la fastidieuse leçon d'histoire bourrée de dates, de lieux et d'anecdotes. Si bien que parfois on s'ennuie. Certains passages débordent tant de faits, dates, lieux et chiffres qu'ils en deviennent indigestes. L'affluence de personnages à distinguer les uns des autres et tous ces faits historiques à assimiler ont fait qu'à mon grand agacement, j'avançais dans ma lecture à la vitesse d'un escargot neurasthénique, j'avoue sans honte avoir même lu certaines pages fortement descriptives en diagonale. Ajoutons à cela que nous naviguons sans cesse dans une sorte de brouillard temporel s'étirant de 39 à 44 et cela explique sans mal mes difficultés.Longtemps, je me suis mélangée les pinceaux entre les personnages et les dates. Quelques personnages surgissent parfois sans crier gare au cours de l'histoire (l'auteure ne nous les présente pas, on les voit juste agir sans réelle certitude quant à leur fonction dans l'intrigue), ils restent pendant deux ou trois chapitres puis disparaissent aussi soudainement qu'ils sont apparus !
Au vu du titre, Blitz, il semblait pour le moins évident que ce premier tome allait aborder le thème de la seconde guerre mondiale en Angleterre toutefois je ne pensais pas que ce serait aussi présent. La quatrième de couverture pouvait laisser croire que nous aurions entre les mains un ouvrage orienté SF parlant notamment de voyages temporels alors que cet aspect science-fictionnel est au fond très peu mis en valeur sur l'ensemble des six cent pages.

L'espace de quelques chapitres, j'ai eu l'espoir d'une seconde partie moins ennuyeuse que la première. Mais mon optimisme a vite été douché car si la suite du roman est moins axé sur les conflits qui règnent en Europe, moins éparpillée dans le temps aussi et se concentre dans un même espace-temps en réunissant enfin les personnages principaux au même endroit, ce qui rend la succession des événements moins éclatée et plus lisible, elle est surtout ultra-répétitive.

Le roman finit par tourner en rond tandis que les personnages passent leur temps à se courir après en effectuant chaque jour les même gestes (aller travailler, se cacher pendant les bombardements, aller se coucher et rebelote le lendemain et ainsi de suite) et surtout en répétant inlassablement la même chose : ai-je altéré par mon action le cours de l'histoire ? Oui, non, mais si, mais non…Pourquoi l'équipe de récupération n'est-elle pas venue me chercher ? Quand va-t-elle arriver ? Ces incessantes répétitions sont fortement agaçantes. A fortiori, quand le thème SF du voyage dans le temps n'est traité QUE de manière uniquement théorique, par le biais de l'hypothèse et du questionnement plutôt que dans l'action ou une quelconque illustration du propos. Cette seconde partie m'a semblé interminable !

Contrairement à ce que j'espérais, ce roman n'a pas constitué un grand divertissement. Ma lecture en fut même laborieuse. J'ai trainé la patte pour lire les 100 dernières pages. J'étais tenté d'abandonner mais n'ai pas pu m'y résoudre. Ma ténacité fut en quelque sorte récompensée puisque cela s'améliore un peu sur la fin. Pas assez toutefois pour gommer mes impressions négatives. Les derniers paragraphes ont beau laisser la porte ouverte sur le tome 2, le souvenir de l'ennui ressenti pendant le premier tome tend plutôt à me dissuader de le lire pour le moment.


Lien : http://ladelyrante.wordpress..
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