Il déclama que la terre n'avait plus d'espoir, que la vie n'était déjà plus protégée, et que si les gens voulaient continuer à vivre heureux, ils ne pouvaient plus que s'appuyer sur l'amour. Pourquoi? Parce que l'amour est un anesthésique des douleurs de la vie.
J'ai toujours cru que vivre, c'était dans le but d'atteindre l'amour. Mais les médecins disent que je me trompe. Ils disent que si on vit pour une seule raison, il est facile de tout pousser à l'extrême ; autrement dit, à supposer que l'unique chose à laquelle on tient n'aboutisse pas, cela peut faire naître un état d'esprit pessimiste, jusqu'à avoir même des pensées suicidaires. (p. 128)