Golda Meir : La femme derrière la légende

En littérature, beaucoup ont cherché à percer le mystère de cette activiste passionnée, concentrée et volontaire ayant vécu les horreurs des progroms.
Pour sauver sa peau Golda Meir a choisi ce deuxième choix en partant avec sa mère et sa soeur aux États-Unis. Elle y rencontre Maurice son premier mari intelligent et cultivé. Son rêve d'indépendance créatif déjà fortement ancrer depuis son plus jeune âge, où elle se montrait déjà brillante en se révélant très entreprenante prend peu à peu forme. Au fil des années, cette sioniste engagée va prendre l'utilité majeure de sa mission pour contrôler mûrement ses actes politiques humanitaires, après avoir lutté âprement contre tous les préjugés, en consacrant sa vie entière à la naissance d'un état hébreux en 1948. Il y a des phénomènes qui ne sauraient s'expliquer pour les uns, alors que pour les autres, et plus spécialement pour l'auteure orientée sur la psychologie ne peut en aucun cas ce que le confort lui offre pour se mettre à la place des opprimés, mais juste essayer de comprendre au mieux; et comme la signification: Va comprendre Charles, pour d'autres motifs que le PMU, il se passe un très fort sentiment d'injustice dans la tête d'une jeune fille habituée, mais seulement en apparence! contrainte par son éducation parentale à devenir une épouse respectable face à un régime totalitaire et redoutable, et ce depuis le berceau; totalement formée pour supporter les vicissitudes de la vie par les peurs engendrées à cause du régime autoritaire de Kiev, l'ancienne petite Russie se répétant sur le peuple juif face aux persécutions atroces de la dernière guerre mondiale commisent par le Reich allemand. Personne n'aurait pu soupçonné l'esprit combatif d'une jeune fille âgée de quinze ans, faisant ses preuves au jour le jour omnibulée par l'urgence de sauver tout un peuple en traitant dans les priorités essentielles de la survie. Bien plus tard au sommet de sa carrière politique basée sur des erreurs de jugements précautionneuses et stratégiques lui ont été reprochées à sa démission du 12 avril 1974, la militante du parti syndicaliste, leader du parti travailliste pendant dix ans, où elle officiait comme ministre des Affaires étrangères. Golda Meir, la MÈRE d'Israel aimait recevoir ses invités de prestige dans sa cuisine avec simplicité tout en préparant les repas qui leur seront servis ensuite après avoir pris les décisions qui s'imposaient durement dans une apparente tranquillité visuelle aux regards de ses homologues masculins tout de même un peu perplexes sur le choix du lieu. Golda Meir aimait tenir son rôle de maitresse de maison en sachant que ses recettes faisaient mouche sur les palais masculins, elle s'en amusait beaucoup, tout en revendiquant avec humour et fierté le pouvoir des femmes sur le contrôle exercé sur les hommes en qualité de maitresse femme en les affiliant à tous les métiers masculins pour prendre des décisions importantes et construire conjointement avec force et courage tous ensembles la nation israélienne. Une première dans le paysage politique grâce à une grande guerrière bien au-delà du paysage pontifical intellectuel trop souvent absent quand il s'agit de s'engager pour la liberté et de sauver les rescapés de la Shoah.