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Pascale Haas (Traducteur)
EAN : 9782264079671
546 pages
10-18 (05/05/2022)
3.84/5   143 notes
Résumé :
Londres, 1781. La canne à sucre a un prix : celui du sang.
Juin 1781. Un corps est pendu à un crochet sur le quai de Deptford : l'homme a été horriblement torturé et porte la marque des esclaves.
Quelques jours plus tard, le capitaine Harry Corsham – un héros de guerre se lançant dans une carrière parlementaire prometteuse – reçoit la visite de la sœur d'un vieil ami. Son frère, Tad Archer, un abolitionniste passionné, était sur le point de dévoiler un... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (42) Voir plus Ajouter une critique
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L'Ange noir,

Un énorme coup de coeur pour ce roman !

L'auteur nous propulse en juin 1781 dans la banlieue de Londres, à Deptford.

Le capitaine Harry Corsham est un ancien soldat. Blessé, il s'est reconverti dans un travail administratif au sein du ministère de la Guerre.

La soeur de son ami d'enfance vient le trouver pour lui annoncer la mort de son frère Tad Archer et lui demande de trouver l'assassin de son frère. Par devoir, il accepte cette mission difficile.

Tad était un avocat abolitionniste très engagé qui a été torturé et pendu sur les bords de la Tamise. Il enquêtait sur un secret qui pouvait, selon lui, provoquer des dommages à l'esclavage britannique et des doléances envers l'abolition.

Mais dans cette ville où toute l'économie et la richesse sont issues de la traite négrière, Harry pourra-t-il enquêter sans s'attirer les foudres des bourgeois et des autorités ? pourra-t-il obtenir des soutiens des esclaves ?

Quel est cet "Ange noir" dont une esclave lui a murmuré le nom ?



Les personnages ne sont pas des héros, avec leurs côtés sombres. Les relations entre eux sont complexes, mais la liste des personnages insérée en début d'ouvrage m'a grandement aidée, ainsi que les plans.

Le roman est rédigé sous la forme du journal de Harry, donc on suit pas à pas ses investigations, ses doutes, ses interrogations et ses découvertes. L'on se sent très proche de ce personnage et on sursaute à certains moments !

Un premier roman magnifique ! Un style descriptif et immersif magnifiques : j'ai même senti les odeurs !
L'auteur connaît parfaitement la période historique, les lieux, et le contexte : cette érudition est grandement efficace sans être lourde.


J'adresse mes félicitations à la traductrice (Pascale Haas) pour son travail minutieux.

Un roman captivant, très bien rédigé et traduit, une enquête originale, des personnages complexes, et la dénonciation de la traite négrière au XVIIIe siècle.

Si vous aimez les romans policiers historiques, précipitez-vous sur ce roman !

Je vous le conseille vivement !
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C'est l'histoire de l'hypocrisie humaine qui rencontre l'appât du gain à n'importe quel prix.

Nos deux horreurs fusionnant ensemble se transformeront ensuite en un business sans conscience puisque ce sera l'exploitation de l'Homme par l'Homme.

Oh, ne jugez pas trop vite ces Anglais esclavagistes qui voulaient du sucre à bas prix pour mettre dans leur tea time, nous ne valons pas mieux qu'eux de nos jours.

Comme eux, nous souhaitons acheter des biens à bas prix : nous ne regardons pas toujours où nos habits sont fabriqués, ni comment (et par qui) sont extraits les matériaux de nos smartphones, PC, ni si notre huile d'olive, viande, légumes ou fruits ont été collectés par des travailleurs syndiqués, payés aux tarifs en vigueurs dans nos pays ou par des travailleurs immigrés sous-payés, des sans papiers qui touchent des misères,…

Le but du jeu n'a pas changé : de la qualité, pas trop cher et pour le reste, comme les Anglais de cette époque, nous faisons ceux qui ne savent pas, qui regardent leurs pieds, ailleurs, qui ont des scrupules qui ne durent que peu de temps.

Ce thriller historique frappe là où ça fait mal : l'esclavagisme, la traite des Noirs, les vaisseaux négriers qui allaient chercher des Noirs en Afrique et les transportaient ensuite dans les Caraïbes pour bosser dans les exploitations de canne à sucre.

Ces esclaves Noirs, appelés Nègres, sont considérés par la loi comme du mobilier, ce qui fait qu'au même titre que vous pouvez shooter dans vos casseroles ou massacrer votre buffet, sans que cela émeuve personne, vous avez le droit de tuer vos esclaves sans qu'un tribunal ne vous condamne.

Ce polar historique a aussi des airs de roman noir, le contexte social de cette Angleterre étant bien mis en avant et utilisé à bon escient, se mélangeant harmonieusement dans l'enquête (qui ne sera pas de tout repos) que le capitaine Harry Corsham va mener afin de savoir qui a tué aussi abominablement que ça son ancien copain de collège, Tad Archer.

Bourré de fausses-pistes, de chausse-trappes, d'omerta, son enquête se révèlera bien plus dangereuse que l'on ne pourrait penser de prime abord, car dans cette histoire, on ne sait jamais à qui se fier, les personnages pouvant cacher une âme sombre ou vous aider sans vous le montrer.

Sans aucun doute, ce roman a demandé des heures, des jours, de travail de recherche historiques et cela a payé, car le réalisme est bien présent, autant dans les personnages que dans le récit historique.

Personne n'est tout à fait blanc ni tout à fait noir dans cette histoire et la plupart des personnages sont esclavagistes comme d'autres seraient banquiers ou pécheurs. C'est un métier comme un autre en 1780…

À cette époque, en plus de les considérer, par la loi, comme des biens meubles, la population Blanche considérait les Noirs comme un peuple de dégénérés, des sous-hommes, des animaux. C'était scientifique, même ! (oui, ça me fait mal de l'écrire, mais je n'y peu rien, je ne fais que noter la pensée des gens de l'époque).

Si nous avions baigné dans de pareilles inepties, pensées horribles (tous les mots que vous voulez), sans doute n'aurions pas pensé différemment que ceux de cette époque. Harry Corsham qui ne pense pas comme les autres est regardé de travers et c'est mal vu pour une carrière politique de penser que les Nègres (oui, c'est pas ce terme qu'ils sont désignés, je ne l'utilise pas en insulte, par contre) sont des humains comme les autres.

Sera-t-il hypocrite comme les autres, aura-t-il les couilles ou nous fera-t-il un compromis à la Belge ? Non, je ne vous le dirai pas, faudra lire cet excellent polar historique pour le savoir.

Sachez juste que nous ne sommes pas dans le monde des Bisounours et qu'il n'est pas facile d'avoir raison contre tout le monde dans cette époque qui voulait que les gens ne soient pas ce qu'ils étaient vraiment. Si un Juif pouvait se faire passer pour un catho pour éviter les ennuis, si un homo pouvait donner le change aux autres, un Noir en fuite ne pouvait pas changer sa couleur de peau.

Un polar historique bien documenté, addictif, sans pour autant se la jouer 24H chrono, des personnages réalistes, qui évoluent, une enquête difficile et quelques scènes qui donneront envie de hurler tant c'est inhumain. Un récit brillant.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Le question de savoir si la vie humaine a plus d'importance que le profit ne se pose même plus, quelle que soit l'époque, la réponse est toujours la même.
Dans ce roman historique, l'auteur nous emmène à Londres en 1781, à une époque où l'esclavage est encore en vigueur et où la vie de ces hommes, femmes et enfants noirs ne représentent pas grand chose puisqu'ils ne sont considérés que comme des marchandises, des possessions, voire des sources d'ennuis.
Un homme pourtant va tenter de faire la lumière sur une abomination, mais ce sera au péril de sa vie.
En effet, Tad Archer, un avocat de Londres, va être torturé et massacré pour avoir voulu dénoncer quelque chose de si abject que bien des vies innocentes seront sacrifiées pour que ce secret reste enfoui à tout jamais.
Mais c'est sans compter sur le capitaine Harry Corsham, un ami de Tad, qui va à son tour tenter de percer la chape de silence qui entoure le port de Depford, au risque de mettre sa carrière, sa famille et même sa vie en danger, car les esclavagistes et leurs protecteurs sont puissants et ont beaucoup à perdre.
J'ai beaucoup aimé cette plongée dans l'Angleterre esclavagiste du XVIII ème siècle, les descriptions de l'époque et de l'ambiance régnant à Depford sont excellentes.
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Mesdames et messieurs, approchez, approchez s'il vous plaît!
Vous qui cherchez de la noirceur, de l'hypocrisie pourfendue, des machinations politiques et des drames intimes.
Vous qui êtes en quête de frissons, de peur, d'une Angleterre gangrenée par le mensonge et la cruauté!
Vous qui rêver de voyages au long cours sur de belles goélettes au mât effilée, de rivages et d'embruns, d'effluves de vanille
Tenez, voici les négriers... Les fouets et le sucre; celui de vos douceurs: des caramels que vos têtes blondes dégustent à l'envi et celui du pudding de Noël...
Vous qui voulez des émotions fortes pour sortir de l'ennui, vous qui voulez vous encanailler...
Vous qui, enfin, voulez une enquête très bien ficelée et ressentir le souffle salvateur de indignation "Blood & Sugar" vous ravira autant qu'il vous écoeurera. Vous en sortirez poisseux et haletants... Et peut-être même que vous ferez l'impasse sur le sucre pendant quelques heures.

Nous sommes en juin de l'an de grâce 1781 au royaume de sa Majesté. La Guerre d'Indépendance qui secoue les Amériques n'est pas encore terminée et les Lumières qui bercent timidement l'Europe ne sont pas si intenses.
A Deptford, une ville portuaire située non loin de la capitale, on retrouve un corps pendu à un crocher, comme un porc qu'on aurait saigné, et sur le cadavre torturé, la marque des esclaves.
A Londres, le capitaine Harry Corsham, héros de guerre briguant une carrière parlementaire, reçoit la visite d'une jeune femme de son passé. Elle est la soeur de celui qui fut son meilleur ami, Tad Archer, et elle vient lui demander de l'aide: son frère a disparu. En mémoire de cette amitié, Corsham accepte.
Évidemment, vous le voyez venir, le cadavre de Deptford est bien celui de Tad...
Le fougueux jeune homme était un fervent abolitionniste et tout porte à croire que ce sont ses convictions et son engagement qui ont signés son arrêt de mort. Deptford est en effet l'une plaques tournantes du commerce triangulaire.
Là, les esclavagistes sont riches et roi, le sucre se paye au prix du sang et d'un cynisme confondant.
Là, tout le monde sait, tout le monde ment et les secrets pleuvent, autant que les fantômes, autant que les terreurs, autant que la souffrance...
Envers et contre tout, contre le système duquel il est un rouage et contre les siens, Harry Corsham va pourtant tenter le tout pour le tout pour démasquer l'assassin de son ami.

Il ne se doute pas de l'engrenage dans lequel il se glisse, dans quel nid de guêpes et de serpents il va devoir se débattre.
Le scandale est aussi intime que politique, les morts se succèdent et dans ce tourbillon de faux-semblants, de mensonges et d'absolue cruauté, notre héros aura bien du mal à ne pas perdre pied.

Laura Sheperd-Robinson signe avec "Blood &Sugar" un roman captivant, poisseux et angoissant à souhait qui va bien-au-delà de la simple intrigue policière pour tendre vers un récit politique, engagé et dont la portée historique est maîtrisée en maître!
Quel terrifiant délice que ce roman qui explore les zones les plus ténébreuses de l'âme humaine avec une complexité et une intelligence rare! Qui dénonce aussi bien qu'il raconte. Qui hypnotise autant qu'il dégoute.
C'est magistral, tellement magistral que je vais de ce pas me lancer dans "Vies et Mort de Lucy Loveless" pour me prendre des coups une fois encore, pour poursuivre cette exploration des bas-fonds, aiguillée par la fascination du pire autant que par l'envie d'une bouffée de révolte et le désir d'une histoire qui me jetterait en insomnie.
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Après avoir eu le plaisir de découvrir cette auteure à l'occasion de son second ouvrage "Vies et Mort de Lucy Loveless" j'avais hâte de me replonger dans les aventures de la famille Corsham. Non seulement je n'ai pas été déçue mais j'ai trouvé ce volume encore plus passionnant que le précédent.
L'histoire nous est présentée sous la plume du Capitaine Harry Corsham qui après avoir bataillé aux côtés des soldats de la couronne en Amérique est revenu au pays pour travailler au Ministère de la Guerre.
Informé de la disparition de son ami d'enfance Thaddeus Archer par la soeur de ce dernier qui lui demande de partir à sa recherche, il gagne la ville de Deptford destination supposée de Thaddeus et découvre le cadavre torturé du malheureux.
Avocat militant pour la cause des noirs et luttant de toutes ses forces pour l'abolition de l'esclavage, Thaddeus s'était fait de multiples ennemis sur place, dans ce port qui doit sa prospérité au commerce triangulaire des esclaves.
Corsham décide de mener une enquête pour découvrir le meurtrier de son ami qui détenait un secret susceptible de porter un coup fatal à la sinistre industrie de la traite des noirs, source de richesse pour bien des aristocrates locaux.
Les intérêts en jeux sont colossaux et les résistances à l'abolition de l'esclavage sont à l'aune des profits escomptés par les armateurs, ce qui met en grave danger les audacieux qui posent trop de questions. La preuve !
A travers l'enquête qu'Harry poursuit contre vents et marées, au péril même de sa vie, l'auteur décrit l'effroyable réalité de l'esclavagisme au 18ème siècle en Angleterre dans cette nation qui se prétendait libérale mais qui considérait l'homme noir comme une simple marchandise.
Les péripéties se succèdent sans aucun temps mort et malgré les obstacles qui ne cessent de se dresser sur son chemin, Harry poursuit le meurtrier à la trace et reprend le combat de son ami disparu tant il est révolté par la dure réalité qu'il découvre.
Dans ce premier volume j'ai retrouvé avec plaisir des personnages déjà rencontrés, notamment Péregrine Child qui n'était pas "attrape-voleur" mais magistrat chargé de faire régler l'ordre et la loi à Deptford. Toujours en ce qui le concerne les mêmes ambiguités mais néanmoins un fond de loyauté envers les Corsham qu'il s'agisse ici d'Harry comme ensuite de Caroline.
Je me dis que vraiment Caroline et Harry étaient faits pour s'entendre car face à l'injustice d'un crime impuni (perpétré sur une personne qui leur était chère) ils ne se laissent ni l'un ni l'autre impressionner par les obstacles et le danger et luttent de toutes leurs forces pour faire triompher le droit.
Mais pourquoi diable n'arrivent ils pas à s'entendre alors qu'ils se ressemblent tellement ? On apprend , de façon très sommaire , que Caroline, tombée follement amoureuse d'Harry, a fait pression sur sa famille pour se faire autoriser à l'épouser . Ensuite sur ce qui paraît être un malentendu, le couple s'est délité ...Mais quel dommage ! Harry est tellement "aimable" au sens 18ème du terme ! Alors qu'elle est l'épouse d'un homme courageux, loyal et valeureux, que va faire Caroline avec ces petits marquis de pacotille qui sont pour elle plus que de simples partenaires de carte ?
Mon vieux fond romantique attend pour un 3ème tome à venir (?) la réconciliation et le départ sur de nouvelles bases . Avec une enquête commune à la Tommy et Tuppence ? Mais là je fais confiance à la talentueuse autrice pour continuer à nous enchanter en présentant une trame narrative insérée dans un contexte historique parfaitement documenté.
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Citations et extraits (36) Voir plus Ajouter une citation
La fin de l'esclavage, répéta Stokes d'un air songeur. J'ai du mal à voir par quel moyen… La lampe d'un génie ? Une baguette magique ? Pardonnez ma franchise, monsieur, mais si vous espérez que cesse un jour l'esclavage, vous devez jeter un sort au peuple anglais ! Car il aime mettre du sucre à bas prix dans son thé tout comme du tabac à bas prix dans sa pipe. Aucune lamentation à ce sujet n'y changera rien !
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Avez-vous lu Spinoza ?
- Disons que non.
- Il pensait que l'émotion était l'ennemi de l'esprit rationnel. La plupart des gens prennent rarement le temps de considérer l'effet qu'ont leurs émotions sur leurs décisions. Ils croient agir de manière rationnelle mais il n'en est rien. Poussée à ses extrêmes, l'émotion peut dominer entièrement un homme.
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Le rasoir d'Ockham (1) est ma devise. Lex parsimoniae. Donnez-moi deux explications, l'une simple, l'autre compliquée, et à chaque fois je retiendrai la plus simple.
(1). Le rasoir d'Ockham, connu aussi sous le nom de principe de simplicité ou de parcimonie, a été énoncé par le franciscain d'origine anglaise Guillaume d'Ockam (1285- 1347), selon lequel il ne faut pas multiplier les hypothèses sans nécessité. "Raser" signifie dans ce contexte "éliminer".
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Des perles de verres. Par milliers. Sur son invitation, j'en attrapai une poignée en laissant les minuscules billes colorées filer entre mes doigts.
"Les princes nègres les apprécient, m'expliqua-t-il. Avec cinq cents perles, on achète un prisonnier africain. Ils aiment aussi le rhum et le tabac. Et les armes. Si on leur fournit des armes, les tribus d'esclaves capturent davantage de prisonniers dans les tribus rivales, qui à leur tour cherchent à se défendre et viennent nous solliciter pour avoir leurs propres armes. Les esclaves sont la seule monnaie que nous acceptons, ce qui nous a permis d'étendre le commerce tout le long de la côte guinéenne.
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Un épais brouillard s'accrochait au ras de la Tamise. Il roulait à la surface de l'eau et le long des quais, s'engouffrait dans les cours sordides et les ruelles adjacentes du bas Deptford. Ici, ce brouillard avait un nom : le Souffle du Diable. Il charriait la puanteur et les miasmes nauséabonds du fleuve.
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Video de Laura Shepherd-Robinson (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Laura Shepherd-Robinson
Dans cette vidéo, Laura Shepherd-Robinson répond à 7 questions de lecteurs autour de son livre 'Vies et mort de Lucy Loveless' (10/18). Elle nous y explique notamment son goût pour le roman historique, et sa volonté de mettre au premier plan des figures d'héroïnes fortes.
Merci à tous les lecteurs ayant envoyé leurs questions à l'autrice ! Et merci à Fabienne Gondrand pour l'interprétation des propos de l'autrice.
Retrouvez sur Babelio 'Vies et mort de Lucy Loveless' : https://www.babelio.com/livres/Shepherd-Robinson-Vies-et-mort-de-Lucy-Loveless/1403979
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