Tsukasa, après la mort de son père, se sent libéré d'un poids. Sa vie aussi peut reprendre un cours normal pour un garçon de son âge. C'est pour ce père qu'il se donnait à fond dans le football, pour échapper à la misère. Maintenant, il doute s'il va encore jouer. Lui et Midori sont de nouveau follement amoureux et se font l'amour, cette fois, avec sincérité et sans tromperie. Kazuma, quant à lui, commence à comprendre que Midori ne sera pour lui qu'une amie. Tsukasa doit se rendre pour quinze jour en Allemagne. Il confie Midori à son rival. La maman de celle-ci tombe malade. Paniquée, Midori décide de retourner sur son île pour soutenir sa mère et Kazuma décide de l'accompagner. La maman de notre héroïne est déjà sur pied, son malaise était bénin. Elle est persuadée que Kazuma est le fiancé de sa fille. …
Pour ce huitième tome, on commence à ressentir la fin de la série. Je pense que sans le vouloir, l'auteure nous a révélé une partie du dénouement. Peut-être que je me trompe. Ce tome est rempli de bons sentiments. L'amour dépasse la vengeance mais Midori tient toujours à la confrontation avec Tsukasa. Elle le persuade de continuer le football car elle espère le battre sur le terrain. C'est sans doute l'épisode le plus (trop peut-être) gentil de la série. J'espère que même si la fin approche, les deux derniers tomes seront plus corsés que celui-ci.
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