Pour moi, ce tome se place clairement en hors-série. On sort du cadre habituel pour découvrir une intrigue tournant autour de l'art. Les personnages sont pour la plupart des peintres connus et reconnus. La fin de l'ouvrage sous forme de mini-encyclopédie de l'art troll est particulièrement divertissante. Un tome très visuel, avec une histoire bien menée. Un coup de coeur !

Quelle pépite ! Clairement l'un des meilleurs tomes de la saga. Tout est parfait du scénario à la colorisation des dessins, en passant par les références, l'humour et la mignonnerie des petits trolls. On renoue (enfin) avec les ingrédients qui ont fait les succès de cette série. Du grand Arleston, du grand Mourier, j'en redemande.

Le premier ingrédient de leur quête en poche, notre trio de trolls (qui n’en compte en fait qu’un et demi) se lancent hardiment dans la quête du second, qui les emmène visiter le monde.



De fait, on sort un peu des paysages urbains et forestiers des premiers volumes : voici les grandes étendues d’eau, les plaines sauvages, avec leur cortège de monstres inédits et des activités humaines surprenantes. L’environnement de grande ville du tome précédent me paraissait assez étouffant, j’apprécie de retrouver des grandes étendues ici.



Certains passages sont un peu plus sanglants, sans tomber dans le gore non plus. Mais on n’est clairement pas dans une bande dessinée pour enfants.



On vit également la Grande Conjonction, qui apporte son lot de situations loufoques. Ce troisième volume renouvelle pas mal l’environnement et l’intérêt de l’histoire. Après la semi-déception du second, ça relance mon enthousiasme et mon envie de parcourir la suite de l’aventure.

Une série de bandes dessinées bien sympathique ! Trolls de Troy nous entraîne dans un univers fantasy complètement déjanté, peuplé de trolls belliqueux, de magiciens farfelus et de créatures insolites. L'histoire se passe dans le monde de Troy, où des trolls vivant dans le village de Phalompe voient leur tranquillité perturbée régulièrement par des aventures rocambolesques.



Ces BDs se caractérisent principalement par leur humour décapant et leurs jeux de mots innombrables. Les situations sont souvent absurdes ce qui les rend très drôles, et chaque album (ou presque) offre une nouvelle quête avec une nouvelle intrigue, alors on ne s'ennuie pas !



Par ailleurs les personnages sont hauts en couleur, on s'attache rapidement aux trolls principaux Waha, Teträm ou Pröfy, et puis pour les autres, on prend le temps de trouver chaque jeu de mots ou chaque référence culturelle se cachant derrière leurs noms.



Christophe Arleston a réussi à créer un univers fantasy très détaillé notamment avec ses différents peuples, cultures et créatures. Et le dessin de Jean-Louis Mourier donne parfaitement vie à cet univers avec ses dessins dynamiques et expressifs !



Je passe toujours un bon moment en lisant ces BDs, les décors et les personnages sont supers et l'univers me convient parfaitement. Pour les amateurs d'humour et d'aventures ces BDs sont pour vous !

[critique pour toute la série]

Au rang des plaisirs de Fantasy adolescents qui fonctionnent bien.

Nous sommes dans l'univers de Lanfeust, une génération avant. Et c'est à la société trollienne, trollarde, trollâne... que l'on s'intéresse.

On retrouve la famille Simpson version troll, leurs appétits, leur imagination et leur humour corrosif et caricaturale des sociétés humaines. D'ailleurs, on a même une humaine adopté, la plus trolle des trolls au final.

Ça se lit très bien et c'est très drôle. chaque tome a sa propre histoire, pas comme les sagas du rouquin, de son compagnon Hébus et sa belle Cixi.

Après, ce n'est pas aussi mémorable et marquant c'est sur. Mais on passe un bon moment.

Un tome divertissant même si ce n'est pas le plus drôle de la saga. Il est agréable à lire mais il ne me laissera pas un souvenir impérissable. On note tout de même le génie de l'auteur pour toujours trouver des jeux de mots dignes de Devos. Les traits des personnages ont changé, je trouve le visage de Waha plus dur. J'étais plus fan de l'ancien style des dessins.

Deuxième tome des aventures de nos trolls favoris. Pour sauver leur village de l’esclavage, nos héros (malgré eux) doivent s’emparer d’une mèche de cheveux d’un vénérable… qui se révèle être chauve. Pour mener leur tâche à bien, il s’agira donc d’être créa-tif.



Ce nouveau volume tranche assez avec le premier. Fini le paisible village troll dans la forêt et la découverte de leurs us et coutumes. On se concentre ici sur Waha et Tëtram – ainsi qu’un invité surprise – qui évoluent surtout dans l’environnement urbain d’une grande ville, et qui sont très concentrés sur leur tâche. On flâne moins, il y a moins d’insouciance et plus de sentiment d’urgence.



La première lecture de cette bande dessinée m’a laissé sur ma faim : je ne retrouvais pas la fraîcheur du premier, et la découverte de la vie quotidienne de « monstres », et j’en étais sorti assez déçu. Une relecture m’a cependant permis de découvrir une foule de jeux de mot que je n’avais pas détectés la première fois, et m’a réconcilié avec l’aventure. Le rendez-vous est donné pour suivre la suite de la quête dans le tome suivant !

J'ai trouvé cet épisode un peu lourd car trop politisé. La caricature d'un ancien président prenant le pas sur l'histoire de l'héritage de Waha. J'attendais vraiment autre chose. Même si ce tome est plutôt drôle, ce n'est pas du tout un coup de coeur. Au passage, ce serait bien que Pröfy réussisse à construire une maison. Le running gag est trop usité.