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Critiques de Jim Harrison (1059)
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Les jeux de la nuit

"The last word in lonesome is me"

Trois destins en apparence si différents mais pourtant des êtres assez similaires. Trois personnages très solitaire en quête de quelque chose. Sarah, Chien Brun et le troisième personnage sont tous trois issus de familles brisées. Le vieux Tim a été pour Sarah un repère comme ce fût le cas pour le grand-père de C.B.

Mais ça ne leur a pas empêchés de souffrir.

Je dois avouer que je ne m'attendais pas à autant de sexualité et surtout de perversité. De très jeunes personnages racontent à plusieurs reprises avoir été victimes d'attouchements. Harrison cherchent-ils ainsi à remettre la faute sur les pères absents ? Dès que Sarah atteins la puberté elle devient une véritable proie pour des hommes beaucoup plus âgés et son père n'est pas là pour la protéger. De même que C.B n'est pas assez stable pour veiller sur sa fille et que les parents du troisième personnage étaient trop occupés par d'autres choses.
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La Fille du fermier

Sarah et sa famille viennent s’installer dans le Montana. Sarah devient amie avec le vieux Tim et sa chienne Vagabonde. Il y a aussi Lad, son cheval.

Elle a peu d’amis. L’école se fait à la maison.



Un beau portrait de jeune fille qui devient jeune femme, avec tout ce que cela entraîne physiologiquement et psychologiquement. Comme toujours, Jim Harrison dépeint merveilleusement bien la nature, les animaux, la solitude, la liberté, la violence.

J’ai beaucoup aimé ce court roman où l’on passe de l’enfance à l’adolescence.

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La Route du retour

Lorsque j’ai vu qu'une consœur de Bookstagram proposait un bookclub dédié à Jim Harrison, j’ai sauté sur l’occasion car cela me permettait d’enfin lire "La Route du retour" qui trainait sur mes étagères depuis bien trop longtemps et que cela me donnait l’occasion de renouer avec l’univers de "Dalva" dont je garde un excellent souvenir ! Mais soit mes souvenirs sont faussés, soit je n’étais pas dans les bonnes dispositions pour l’apprécier car je me suis péniblement trainée dans les deux premières parties (470 pages lus en une semaine avec la tentation quasi-permanente d’abandonner) avant de dévorer la dernière partie (300 pages en quelques heures).



Le grand-père de Dalva est le premier personnage à prendre la parole. Lorsque sa petite-fille lui demande comment ses parents sont morts, il s’enferme dans ses souvenirs et nous raconte ses premiers amours, ses souvenirs de la guerre, son rêve de devenir artiste… Comme dans "Face à l’arbre sacré" (1951) de John G. Neihardt, un va-et-vient se met en place entre ses discussions présentes avec les rares personnes de son entourage et le passé qu’il ressuscite dans son journal intime. Sur le même mode narratif, c’est ensuite au tour de Nelse de nous parler de sa quête de sa mère biologique, dans les années 1980.



Au terme de ma lecture, je pense avoir été davantage emportée par la dernière partie car les personnages qui s’y expriment sont bien plus ancrés dans le réel, engagés dans le présent que les autres. Il y a d’abord Naomi, enseignante dans la petite école locale, puis Paul qui a perdu son frère pendant la guerre de Corée, et enfin Dalva qui traverse un moment-clé de son existence ! Bien que la nostalgie soit visiblement un trait de caractère de cette famille et un sujet de prédilection de l’auteur, elle se révèle mortifère pour les deux premiers personnages mais devient une force motrice incroyable pour les trois derniers.
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Dalva

Dalva porte le nom d’une salsa. Elle en possède le souffle de vie, la liberté de mouvement, la solitude d’une dernière note. Dalva est à elle seule l’histoire de l’Amérique, entre les rêves de grandeur, la soif de possession et la foi des grands espaces. Dalva est une femme, une fille, une mère et une amoureuse entière, dévouée et qui croit en un avenir meilleur. Dalva est une amie que chacun d’entre nous aimerait avoir à ses côtés…



Je ne connaissais rien de Jim Harrison. C’est avec Dalva que je découvre son univers. Si j’ai aimé les personnages, l’histoire, le rythme et l’écriture particulière de l’auteur, j’avoue avoir peiné sur quelques longueurs.



C’est une plongée au cœur de l’Amérique que nous offre Jim Harrison : ses ranchs, ses chevaux, ses fermiers aux caractères forts. On y croise aussi les épisodes plus sombres de la conquête des terres indiennes, la violence avec laquelle on a cherché à les anéantir. On y côtoie la guerre, proche et lointaine, et les morts qu’elle traîne dans son sillage.



Et puis il y a ces personnages, ces petites touches de lumière, ces petites bulles d’oxygène. Ces âmes parfois meurtries, parfois salvatrices, qui nous touchent et nous attendrissent.



Et enfin cette nature, qui dans sa puissance et sa bonté, apaise les esprits révoltés ou fougueux.



La lecture de Dalva est une expérience. Déstabilisante dans sa construction, les souvenirs y sont hachés, les temporalités mélangées. Bouleversante, il me restera longtemps en mémoire l’image de cette femme solitaire, moitié sioux, qui tourne le regard toujours dans la même direction, celle de la liberté…
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Un bon jour pour mourir

🗽 J’aime beaucoup la littérature américaine. Pourtant jusqu’ici je n’avais jamais été tentée par les romans de Jim Harrison car le film «Légendes d’automne» m’avait profondément ennuyée (n’en déplaise aux fans de Brad 😉).

J'ai finalement changé d'avis après avoir lu quelques retours enthousiastes sur les œuvres de cet auteur.



Après quelques recherches, mon choix s’est porté sur «Un bon jour pour mourir» parce qu’il fait partie des premiers romans de l’auteur et que ce titre m’intriguait.



🐟 Dans un bar de Key West, un jeune pêcheur (notre narrateur anonyme) rencontre Tim, un ancien combattant du Viêtnam toxico. Leur conversation s’oriente sur les rumeurs de construction d’un barrage sur le Grand Canyon. Les deux hommes sans attache et imbibés d’alcool décident alors d’entreprendre un voyage pour dynamiter le barrage contre nature. En chemin, ils embarquent Julia, la petite amie de Tim dont le narrateur tombe vite amoureux.

Au fur et à mesure de ce road trip vers l’Ouest, des bribes du passé du narrateur sont révélées.



🌵 Le style est simple et fluide. Il n’y a pas vraiment d’histoire. Pourtant j’ai aimé suivre ces trois jeunes désabusés s’improvisant écoterroristes à travers les vastes étendues américaines pour poursuivre un but environnemental à défaut d’autre but dans leur vie en dehors de l’alcool et la défonce.



Le protagoniste semble las de tout, a des tendances suicidaires et a laissé femme et enfant derrière lui, ne trouvant un peu de paix que dans la pêche à la truite et au tarpon et dans ses nombreux fantasmes.



Tim est revenu écorché du Vietnam (au sens propre comme au figuré) et Julia essaie en vain de retrouver le Tim qu’elle a connu avant la guerre et les substances chimiques.



🌵 «Courage, c’est un bon jour pour mourir» était un proverbe de la tribu des Nez-Percés à l’approche de la guerre. Comme cette guerre intérieure et désespérée que mènent ces jeunes gens.
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Faux soleil

Robert Corvus Strang a travaillé des années sur les barrages. Grimpeur et ingénieur, il a fini par chuter et perdre ses jambes. Pour une raison qui m'échappe encore son ex-beau-père, Marshall dont l'immense richesse a des sources obscures, paye Mark un journaliste blasé et obsédé par la bouffe pour l'interviewer... Jim Harrison va utiliser différentes formes (discours direct, "enregistrement", narration) pour mêler la vie de Strang et de Mark, montrant par là une aisance folle à l'écriture. Il convoque la nature et le corps comme des absolus face auxquels les humains sont finalement bien petits.

.

Pourtant, quelque chose m'a chipotée pendant toute la lecture, pas une vision datée (de la femme ou des latinos par exemple) parce qu'au final il n'est jamais que le témoin de son époque. J'ai fini par comprendre que notre Mark rejoint pour moi Holden, Marcel et Elizabeth dans le clan des personnages qui chouinent mais n'en foutent pas une pour devenir les acteurs de leur vie. Cette rencontre avec Jim Harrison est à la fois frustrante et satisfaisante, il faudra que je lise un autre titre pour me faire une opinion plus précise de son oeuvre.
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Dalva

L'écriture est simple et précise pour conter une vie simple et précise. Se plonger dans la lecture de ce roman revient à vivre dans l'Amérique profonde de l'auteur. Il parvient par une simplicité (qui n'a rien de facile) à immerger le lecteur dans la vie même de des personnages, sur ces territoires si particuliers et inconnu de nous européens. Pourtant, lire ce roman nous permet de mieux comprendre ce qui se passe outre atlantique.
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Légendes d'automne

Après avoir été subjuguée par ses romans , "Dalva" et "La route du retour", quel bonheur de replonger dans l' univers de Harrison,où le désir, les paysages et la bonne chère se disputent la première place.



"Légendes d'automne" est l'un des recueils de nouvelles les plus connus de Harrison, notamment si comme moi vous avez suivi de près la filmographie de Brad Pitt, et b̵a̵v̵é̵ ̵d̵e̵v̵a̵n̵t̵ admiré sa prestation dans le rôle de Tristan dans l'adaptation de la nouvelle éponyme.



J'ai encore une fois été conquise par l'écriture brute et poétique de Harrison, qui forge des histoires qui bousculent, et raconte les passions et les souffrances qui fondent l'identité des Etats-Unis.



Dans les trois novellas : "Vengeance", "L'homme qui changea de nom" et "Legendes d'automne", ce sont bien ces passions qui balaient tout sur leur passage, particulièrement la vengeance. Celle de trois hommes trahis par ceux qu'ils aiment, qui prennent en main leur destin et agissent pour leur liberté, souvent désireux d'un retour à la nature, à la simplicité et une propension certaine à bien profiter des plaisirs de la vie. Il y a toujours un bon petit plat qui mijote dans les pages de Harrison, une fille qui fait tourner la tête, ou une bonne bouteille qu'on s'apprête à descendre, mais il n'y a pas que ça. La profondeur des questionnements existentiels qui traversent chacun de ses textes, l'humour, et la beauté, que Harrison sait déceler dans la nature qui l'environne, font de ses textes des incontournables de ma bibliothèque.



Si j'ai aimé la tension de "Vengeance" à la frontière mexicaine et l'histoire de la famille Ludlow au fin fond du Montana (le personnage de Tristan et son amitié pour Un-coup ❤️), j'ai été vraiment séduite par la 2e nouvelle, et je garderai longtemps en tête l'image de cet homme qui danse chez lui, seul.



Ecrivain de la nature et de la folie de l'existence, du retour à la terre et de la bonne bouffe, j'ai déjà hâte de poursuivre la découverte de son oeuvre!
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Dernières nouvelles

pédophile mais pas dans la celebration puisque la fin condamne(?) la dérive du héros.
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Le Vieux Saltimbanque

Donné lors d'un pique nique babelio. J'espère que le livre transportera son prochain lecteur comme moi dans l'univers d'un personnage comme jim Harrison, fascinant.

Simple à lire, il nous fait découvrir l'intimité d'un auteur à succès qui reste un homme avant tout.
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Une odyssée américaine

Un sexagénaire fermier ex-enseignant est poussé à changer de vie par sa femme qui divorce et vend tout. Perdu, il part sillonner les États-Unis du Michigan à la côte ouest (son fils habite en Californie) nous racontant ce qu'il voit, ce qu'il mange, ce qu'il boit, ce qu'il rencontre (oiseaux, femmes, hommes), ce qu'il fait (rien de grandiose) et ce qu'il pense (beaucoup de sexe). On voyage et on suit son cheminement chaotique (masquer]vers l'apaisement.[:masqier]

Le fil conducteur - un puzzle d'enfance - est très poétique, le road-movie et l'évocation de la nature sont chouettes, le regard truculent et autocritique est drôle et touchant. Ma première lecture (oui...) de Jim Harrison est une réussite.
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Légendes d'automne

Legends of the Fall pourrait se traduit par Histoires d'une Chute.



Légendes d'Automne est l'éternelle histoire de la chute d'un homme à cause d'une femme.



Les trois nouvelles sont liées par ce fil tenu rouge de la vengeance dans trois univers différents où les hommes sont hyper présents, les femmes tenant un rôle secondaire mais pourtant catalyseur, la cause de l'impérieuse vengeance.



A l'encontre des autres lecteurs, je n'ai pas apprécié Légendes d'Automne, ma préférée est Vengeance peut être parce que libérer de celle-ci les personnes acceptent la métamorphose de leurs sentiments, de leurs vies.
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Légendes d'automne

Une plume magnifique mais je n'ai pas accroché avec aucune des 3 histoires... Ce sont des histoires d'hommes qui se pensent fort mais ne le sont pas tant que ça. Qui acceptent ou non leurs failles. Des histoires trop éloignées de moi pour que cela m'interpelle.



Dommage pour moi, j'espère que cela plairait au lecteur qui le prendra à la boîte à livres de Moustier-Sainte-Marie !
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Dalva

Un chef d'oeuvre tout simplement.Jim Harrison est un des plus grands ecrivains modernes americains et son oeuvre doit etre decouverte tant elle est riche et diverse.Ce livre se lit tres facilement car l'action est constante et maintient l'interet.Une bonne facon de decouvrir l'œuvre de l'auteur.
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L'Eté où il faillit mourir

Ce livre se compose de trois nouvelles.

Dans la 1e je n'ai pas réussi à y entrer, j'ai donc fini par aller à la seconde sans la terminer.

Dans la 2e, qui m'a paru mieux, je n'ai fait que la survoler

Et j'ai abandonné pour la 3e.

C'est rare quand j'abandonne !
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Légendes d'automne

Il y a dans les nouvelles de Jim Harrison cette « sauvagerie » des grands espaces qui renvoie notamment à l’État du Montana auquel il était tant attaché. La présence du « wild » si cher à Jack London habite le moindre de ses récits. Vautours, coyotes, grands cerfs, grizzlis y ont autant leur place que les hommes qui tâchent de respirer à la même hauteur tandis que la folie du monde menace de les rattraper.

C’est le cas des trois fils du colonel Ludlow, personnage principal de la nouvelle « Légendes d’automne ». Au début de la guerre de 14, Tristan, Alfred et Samuel partent se battre en Europe. Le père, raide et intransigeant sous sa peau de bison, choisit de fulminer contre l’hypocrisie des chefs et la corruption des politiques. En compagnie du vieil Indien Un Coup dont il épouse la culture, il bougonne dans son ranch et contemple ses montagnes.

Ce personnage de vieux soldat, si proche de Jim Harrison, est merveilleusement incarné par Anthony Hopkins dans le film d’Edward Zwick, qui offre une version très fidèle du récit original…


Lien : http://enlisant-enecrivant.n..
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La Fille du fermier

Sarah est jeune, belle et sauvage, elle se lance dans une course à la vengeance. Le style de Jim Harrison donne une force et une profondeur inimitable à ce petit roman qui laisse sa trace dans les esprits. Les descriptions des paysages américains ajoutent un souffle supplémentaire et rend la lecture haletante.
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Faux soleil

Le portrait d'un homme simple et complexe à la fois... une histoire sans grande envolée romanesque...

et pourtant comme cela fait du bien de tomber sur ce type de littérature. Avec de la chair réellement, de la boue, où les êtres existent, suent, baisent, doutent et essaient de se dépêtrer des complexités inerrantes à la famille et aux contradictions en chaque être capable de se penser, où les mots savent créer une réalité sensorielle, à la fois terre à terre et philosophique.

A opposer sans aucun doute avec les "romans d'aujourd'hui" vides, sans aspérité, sans douleur pour permettre une lecture si fluide que l'on n'y fait que revivre l'expérience d'une diarrhée docile et aussitôt oubliée.
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Une odyssée américaine

C'est le premier roman de Jim Harrison que je lis. Cet écrivain, mort en 2016, se situait résolument en marge de l'Amérique "impériale" et matérialiste, se voulait proche des petites gens et préférait nettement la Nature aux gratte-ciels. Cliff, le héros du livre, est un sexagénaire vivant dans la cambrousse du Michigan, qui vient d'être plaqué par sa femme. Il se décide à faire un long voyage en auto, qui le conduira en Californie où vit son fils. Il traverse ainsi divers Etats (ce qui l'amènera à rebaptiser tous les Etats des USA). Cette odyssée se déroule dans un climat doux-amer: Cliff remâche les souvenirs de sa terne vie, notamment ses démêlés avec son ex-femme, et regrette sa vie frugale d'autrefois. Il est perpétuellement choqué par les usages de la jeune génération (en particulier de son usage immodéré du téléphone portable)… ce qui ne l'empêche pas d'être encore très motivé par le sexe.



Ce roman a une écriture un peu crue et ne coupe pas les cheveux en quatre; il se lit très facilement, même s'il présente quelques longueurs. Par contre, on peut regretter que les lieux traversés soient décrits trop sommairement. Mais c'est le personnage de Cliff, un anti-héros sans ambition, désabusé, indifférent aux grandes tendances de son temps, qui me semble le plus remarquable. Cliff ne veut pas se battre contre ce qu'il déteste et en même temps il persévère dans son propre chemin. Il est clair que, à travers lui, Jim Harrison exprime son dégoût pour la société américaine; mais il choisit d'écrire sans emphase. Il nous joue - un peu en sourdine - sa petite musique de contestation de la modernité.

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Dalva

Après avoir visionné nombres d'interviews et de reportages, et notamment le dernier film émouvant de François Busnel et Adrien Soland « Seule la terre est éternelle », je me suis enfin décidée à découvrir la plume de Jim Harrison. Et quelle rencontre !!

Un kaléidoscope de récits entrecroisés, des transitions historiques instructives, l'évocation des grands espaces. Grandiose !!

Une rencontre par-delà les mots, par- delà les sens. Immense coup de coeur pour cet écrivain qui entre dans mon panthéon livresque de la Grande Littérature américaine où j'ai encore tant à découvrir.

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Une vengeance
Légendes d'Automne
En route vers l'Ouest
L'Homme qui abandonna son nom

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