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Waww qu’est ce que j’ai adoré ce livre ! Quelle satisfaction de comprendre tous les liens à la fin du livre avec Peter pan ! Je le trouve encore mieux que Peter pan d’ailleurs. Hâte de lire les suivants ! Quelle bonne idée d’avoir mis la version de la belle et ensuite de la bête

Pffff j'ai lu péniblement 150 pages mais la lecture doit rester un plaisir et là franchement c'était une torture
Déjà les prénoms m'ont perdu et puis il ne se passe strictement rien
Un livre pour les vrais amateurs de SF mais pas pour moi j'abandonne

Un très bon livre sur les thèmes du voyage, des relations humaine, de la finalité que l'on veut trouver à sa vie.

Ce récit nous amène sur les côtes du continent austral à bord de l’Orlovsky, et accompagné par une multitude de personnages pour qui il ne serait pas venu à l’idée de voyager ensemble de prime abord. Très bien écrit, avec les points de vue de 3 personnages « principaux » entrecoupés par moment par les petites histoires d’autres membres de la croisière. On suit leur croisière à la découverte de la faune et de la flore arctiques, des évènements qui rythmes la croisière ainsi que des états d’âmes des uns et des autres.

L'auteur signe ici un nouveau texte magistral !
Je suis une inconditionnelle de son travail et ai adoré ses deux premiers romans que je recommande toujours vivement.
Lize Spit a une patte incroyable et parvient mieux que quiconque à installer une atmosphère. Ici, comme dans Débâcle et Je ne suis pas là, celle qu'elle campe est dérangeante, oppressante. On sent - autre point commun avec ses deux premiers textes - que la catastrophe est inéluctable. Ce qui est très prenant, c'est que l'on se demande à chaque page à quel moment cela va arriver. Cela rend ce livre absolument impossible à lâcher !
Les deux jeunes héros sont brillamment dépeints et le moindre de leurs gestes, la plus petite intention qu'ils manifestent les ancre un petit peu plus dans le réel.
L'honorable collectionneur est un grand texte. C'est un texte sur l'emprise et il m'a fait penser d'une certaine manière à Angoisse de Zweig.
Lisez-le absolument ! Je vous garantis un moment de lecture haletant et ô combien plaisant !

Carie et le premier roman de Stephen King en 2024 il fêtera c'est 50 ans il est toujours aussi excellent il se Lit très vite pas facile de le lâcher, carie et jeune qui vit mal sont adolescents avec une mère fanatique et des camarades de classe qui la harcèle.

A Brenhaven, ce sont les elfes les tyrans. Ils ont sauvé les citoyens du Necromant mais ont pris sa place en tant que dirigeants de la ville. D'une main de fer. Depuis que la Sylve, une forêt qui a poussé au cœur de la ville en une nuit, est apparue, ils refusent de partir et ont pris le pouvoir.
Ici, on retrouve le côté classique de la fantasy avec nos ingrédients phare : nains, elfes, humains, et autres créatures, de la magie et une tyrannie. Mais l'auteur joue un peu avec les codes, et on va aussi croiser les morts vivants et des méchants peu communs dans le rôle.
Sa plume est vraiment un vrai régal, d'une grande qualité et très fluide à la lecture. Les pages défilent toutes seules. J'ai trouvé tous les personnages super attachants, et j'ai adoré suivre leur périple au coeur de la cité.
Tout se déroule quasiment dans Brenhaven et j'ai beaucoup aimé ce côté un peu huis clos, la tension constante dans l'intrigue et que subisse aussi les personnages en raison des elfes tyranniques. On est pris dans l'histoire dès les premières pages, et j'ai passé un excellent moment du début à la fin.
Ca m'a fait un bien fou de lire un roman de fantasy pure, écrit avec brio et avec tous les codes que j'adore du genre, mais d'une manière très singulière et efficace.
Je vous recommandé à 100% cette histoire si vous aimez la fantasy.

J'ai lu ce roman en trois jours.

L'auteur se joue de nous et on y prend plaisir !

Difficile à résumer sans divulguer les machinations de M. Musso.

Mon conseil : faites comme moi et suivez l’auteur pour une belle promenade dans l’univers qu’il crée pour nous. Un livre de Valentin Musso, c’est toujours une belle découverte!!! J'ai hâte au prochain.

J'ai lu "Father I don't want this marriage" et j'ai passé un super moment.
Encore une héroïne réincarnée dans un roman mais qu'elle n'a pas écrit. Et là aussi, il va falloir qu'elle redore son image si elle ne veut pas subir une fin tragique. J'ai aussi beaucoup aimé cette histoire, un peu moins originale mais efficace. Les personnages sont intrigants et il me tarde de connaître la suite des aventures de cette jeune fille mal aimée de son père !

J'ai lu "Autrice de ma destinée" que j'ai absolument adoré. Une autrice se retrouve réincarnée dans son roman, sauf qu'elle y joue la méchante de l'histoire qui finit tuée par le héros. Elle doit changer ce destin si elle ne veut pas mourir.
J'ai accroché direct à cette histoire qui mêle habilement fantasy, amour, magie, guerre et humour. Je me suis tellement retrouvée dans l'héroïne qui est affligée de voir ce qu'elle a fait subir à ses propres héros 🫢😂 #autricesadique
J'ai beaucoup ri et j'ai été happée par l'intrigue qui s'annonce très prometteuse ! L'univers est vraiment super chouette et les personnages sont tous très attachants. Vivement la suite !

Pour la petite histoire, ce livre est le tout premier que j’ai lu de Christelle ( mais sous son ancien titre, avant qu’il soit réédité par l'auteur en AE). Et comme on dit chez moi vaut toujours mieux deux fois qu’une ! Je ne regrette pas mon 2eme périple dans cette guerre entre Maloniens et Crawlers. 2 populations qui ne se côtoient que de façon commerciale… jusqu’à ce qu’une bombe explose et mette fin à cette entente.
La tension monte, les questions viennent… Éris, accompagnée de sa meilleure amie, voit, en soignant les 2 Crawlers encore vivants sous les décombres, l’opportunité inespérée d’élucider ce bazar. Mais l’assassinat de son père, et les accusations portées contre elle, ne lui laisse pas d’autres choix que de fuir les siens… sa bonté la pousse tout de même à libérer ses prisonniers et c’est donc pas avec un mais deux beaux gosses ( identiques physiquement qui plus est ) que commence son nouveau voyage.
Ce que j’aime avec l’autrice, c’est qu’elle a le don de peindre ses histoires avec brio, utiliser un vocabulaire parfait tout en apportant une touche d’humour. Les références sur des objets disparues dans ce monde futur ( comme le rubik’s cube par exemple) rend le scénario encore plus réel et authentique. Même si je nous espère un futur bien meilleur que le leur 😅
Le ennemi to lover… palala j’adore ! ça souffle le chaud et le froid ( dans tous les sens du terme ) entre Éris et Kyle. Tandis qu’une relation plus douce se crée entre la jeune fille et Loan, le jumeau. Entre les 2 son cœur balance mais moi le mien a assez vite fait son choix !
Mon préféré est ( en toute objectivité bien sûre 😜) Tokki, la boule de poils qui accompagne l’héroïne durant ce périple. J’ai adoré la place qu’il prend dès le début ainsi que son « immense » évolution.
L’ intrigue est bien ficelée et porte des messages diverses et variées. Que les apparences sont trompeuses et que l’habit ne fait pas le moine.
Quand la fin ! Pfiou, l’avoir lu 2 fois n’a en aucun cas entaché les réactions face à la vérité ! Vous ne pouvez donc pas passer à côté de ce roman qui satisfaire les adeptes et rendra les novices accros de dystopie … voir à la plume de l’autrice !


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Jolie découverte que cette série des Bidules Chouettes. Cet album au dessin tout simple a fonctionné avec toute la famille : les enfants ont aimé le rythme, les personnages-objets/aliments et la course effrénée de John (le citron pressé qui a un pépin) ; et les parents ont bien ri et se sont amusés à traquer les références (le groupe de musique de John s'appelle les Beadules, Roland est une balle de tennis... et je n'en dirai pas plus). Nous en relirons d'autres avec plaisir !

Coincée dans un jeu vidéo, l'héroïne doit gagner des points d'affinités avec les personnages masculins de l'histoire pour éviter de mourir. Mais incarnant la vilaine du jeu, ce n'est pas une mince affaire ! Un récit épique, des situations drôles et émouvantes à la fois, un excellent suspense. On dévore ce webtoon très beau visuellement et haletant !

Peut-être que les citations que j'ai mises en ligne vous donneront l'envie d'acquérir ce petit recueil de pensées au titre évocateur "une pensée par jour", qui, étrangement, me fait penser au genre d'ouvrages bien trop nombreux en début de chaque année, du style "une pensée positive par jour", qui remplissent les têtes de gondoles des libraires.
N'y trouvez là aucune recette de bonheur prêt à l'emploi, mais plutôt des petites pensées, butinées de-ci, de-là, dans les écrits de la Sainte.
Un régal...

Moyen-Age. Martino naît albinos, et son village voit très vite en lui un enfant maudit. Une superbe bande dessinée qui évoque avec justesse la différence, au coeur d'une époque où l'on brûle ce qui fait peur. Une magnifique histoire sur l'amitié, l'acceptation et la sororité. Qu'est ce qu'une sorcière, au fond ?

Je m’suis encore fait avoir par Gallmeister et les aguicheuses couvertures de sa collection Totem.

Persuadé d’avoir chopé le dernier né de Daniel Woodrell, Winter’s Bone n’est en fait qu’Un hiver de glace. Ce titre avait déjà été publié chez Rivages en 2007 et la maison à la patte de loup, ne se fatigue pas beaucoup pour cette réédition puisqu’elle nous propose la même traduction de Frank Reichert. En somme, un gros copié avec une belle illustration de couv’ balancé dans les rotatives, puis sur les étalages et v’là donc le feuillu dans ma besace.

Bon faut dire que les signaux étaient au vert aussi. Gallmeister, quand ils publient du ricain, c’est souvent très bon. Et puis Woodrell quoi.
Sur que c’est pas le plus joyeux de la bande et ses histoires sont aussi noires que les fesses d’une taupe.

J’avais vraiment aimé La mort du petit cœur, tout aussi torréfié, peut être plus soutenu sur le rythme, j’ai trouvé que c’est ce qui manquait à ce récit. Même si l’on adore lire les passages contemplatifs de l’auteur ça traine parfois un peu la papatte dans les Ozark et si on adore y trainer entre connaisseurs (coucou Kirzy, Isidore, Yaena) vaut mieux faire gaffe ou on fout les panards car la montagne aussi vaste qu’elle soit, c’est propriété privée chez les rednecks. Et allez pas me chercher des noises à des gros shlagos tous pleins de métamphétamine ok ?

Jessup, ca ressemble à un nom de soda, et pourtant c’est l’sobriquet du père de famille, un as des fourneaux, mais pas du genre de ceux qui passe à Top Chef. Ces fournées à lui, rapportent un max de blé mais pas pour leurs qualités gustatives. Plutôt celles qui te tiennent éveillées 48h minimum, avec une grosse confiance en toi et une tachycardie qui va avec… D’la bonne grosse métamphétamine de bouseux.
Alors l’Jessup, y laisse femme cinglée et enfants vivoter dans une bicoque qui a connu de meilleurs jours et promet de revenir avec un tas de fric.. Du coup la maréchaussée explique qu’il a hypothéqué sa maison pour payer une caution en l’attente de son procès. Aïe.

Heureusement qu’il y a Ree. L’ainée. Et puis comme on est perdus dans la montagne et livrés à soi-même, la famille ça veut dire quelque chose, non ? L’omerta pousse tout ceux qui vont au poste à avoir la même habitude que Charlie Chaplin. Surtout quand ton arbre généalogique ressemble à un poteau, et que la quasi-totalité des gens du cru s’appellent comme toi, n’est-ce pas ?

Ça, c’est ce qu’on verra… Enfin ce que vous verrez car moi j’ai vu et j’ai kiffé.

Du noir, dans les Appalaches, des drogués, un pitch qui sent le cramé dès le début, l’hiver mordant qui arrive et une héroïne badass, le tout mené par un scribe qui sait faire. Que demander de plus pour nous bousculer le quotidien ??!

C’est un roman de science-fiction qui semble décalé et suranné car il se passe au milieu des années 80-90 et la vision du futur de l’auteur fait parfois sourire. Il reste une très bonne réflexion sur la différence et sur la solitude qu’elle engendre. Il fait aussi un portrait peu flatteur de l’administration fédérale américaine. J’ai aimé le message pacifiste de Thomas qui devait résonner beaucoup plus fort au moment de la publication en pleine Guerre Froide.

Je n'avais pas encore découvert la plume de l'autrice et je dois dire que c'est une bonne surprise. Moi qui avais beaucoup entendu parler d'elle et de ses œuvres, j'avoue j'étais un peu réticente de peur de ne pas accrocher. Ce tome 1 est très introductif au niveau des mondes et des personnages.
L'univers est dense et bien construit. L'autrice fait pas mal de répétitions sur les différents Londres et sur Kell notre Antari.
Au début ces répétitions ne me gênaient pas mais passé les 3/4 du livre c'était un peu long. L'intrigue principale arrive rapidement, la pierre noire qui vient d'un monde détruit, inexistant le Londres Noir. Et je dois dire que ce monde m'intriguais beaucoup j'espère en entendre encore parler dans les autres tomes.
Quant à nos deux protagonistes Kell et Lila, je me suis beaucoup attachée à eux, à leur personnalité et leurs valeurs. J'espère dans les autres tomes voir une romance poindre le bout de son nez pour nos 2 héros.
J'ai ressenti quelques longueurs mais les 100 dernières pages ce sont lu très vite. Et la fin je ne m'y attendais pas. Je dois dire que ce premier tome a su faire son effet et je vais donc continuer cette saga !

Hommage posthume.

Nina Bouraoui prend la plume suite à la mort de son père.

Ce livre est un hommage. Un hommage au père de Nina Bouraoui. Alors que son père vit ses derniers jours dans une maison de santé, l’auteure se réfugie dans l’écriture pour faire face à la douleur. Souvenirs et présent s’entremêlent dans la narration. La plume poétique de Nina Bouraoui rend ces moments aériens, hors du temps.

Le père de l’autrice a eu une vie tumultueuse. Haut-fonctionnaire algérien, il a côtoyé de nombreuses personnalités et échappé à un attentat. Nina Bouraoui imagine également les secrets que son père aurait pu garder.

Ce livre est très touchant. L’émotion est présente de la première à la dernière page. J’ai ressenti toute l’admiration et la gratitude de l’autrice pour ce père extraordinaire. Élevée comme un garçon, Nina Bouraoui aura eu une place à part dans la vie de son père. Place qui ne changera pas à l’âge adulte avec la découverte de son homosexualité. Les dernières pages sont magnifiques, le plus bel adieu qui soit.

Bref, ce livre est un très beau témoignage, celui d’une vie et d’une très belle relation père-fille.

Lu dans le cadre du Grand Prix des Lectrices ELLE 2024.

Ecoline est une chienne peintre. Délaissant la ferme et la vie à la campagne, elle "monte à Paris". Là, elle se noie dans la vie mondaine, opéra Garnier, Moulin rouge, petis fours et champagne en belle compagnie. Mais Jennifertiti, une déesse chatte égyptienne souhaite faire des sacrifices pour ramener à la vie Checkmet, un dieu chat dont elle fut amoureuse. Et ainsi de suite dans une aventure échevelée pour une BD animalière atypique qui lorgne du côté d'Adèle Blanc-Sec parfois.

Ai-je aimé? Je n'en sais rien en fait. Il y a de la poésie bienvenue. De la naïveté déconcertante et peu emballante aussi. C'est parfois très plat et insipide. Et parfois on n'est pas loin d'un coup génial, sublime. Il y a de l'émotion parfois qui alterne avec des lieux communs sans attrait. Bref, l'ensemble est fort inégal, alternant le bon et le pire... Au final, pas convaincu.

On plonge très facilement dans les mondes d'Ewilan mais il est plus difficile d'en sortir. Comme pour la 1ère trilogie, l'univers est tellement bien décrit qu'on s'y croirait. On enchaîne les chapitres sans pouvoir s'arrêter.
C'est une vraie aventure avec des personnages auxquels on s'attache et qu'on est triste de quitter une fois le livre terminé.
La trilogie des mondes d'Ewilan est plus mature que celle de la quête d'Ewilan, avec des passages plus sombres et des personnages qui ont évolué.
La fin est épique et pleine d'émotions et clôt bien les 6 tomes des 2 trilogies.
Je recommande grandement si on aime la fantasy et ce même si on est, comme moi, bien loin de l'âge de la cible. C'est un vrai coup de cœur.