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EAN : 9782246813217
304 pages
Grasset (11/01/2023)
3.54/5   57 notes
Résumé :
Le roman de Christophe Donner commence en 2020, quand il fait la connaissance d’un oligarque russe, Otto Zorn, magnat du numérique et grand collectionneur d’art conceptuel qui lui achète l’ensemble des fichiers vidéo du roman qu’il est en train d’écrire. Ces milliers d’heures d’enregistrement, capturées par un des logiciels de son ordinateur, contiennent ainsi l’intégralité du processus de création de l’écrivain. L’oligarque et l’écrivain viennent de créer le plus g... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (16) Voir plus Ajouter une critique
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Oh ! ... Oui ! attrapé ! Il est beau celui-là ! Un « grand-mère », deux « bureau », trois « général ». Trois noms dans son titre, magnifique spécimen !
Ce que ça vous fait faire les challenges de lecture, je vous jure…
Enfin, pas fâchée d'avoir mis fin à cette traque qui me faisait loucher sur les étales de librairie et de bibliothèque d'un oeil torve, comptant in petto les noms dès que les titres devenaient un peu longs. D'ailleurs, si ça vous intéresse, je tiens à votre disposition un relevé statistique des plus édifiants quant à l'usage des adjectifs qualificatifs et des noms communs dans les titres de roman. Les premiers l'emportant largement sur les second lorsqu'il s'agit de voler en nombre.
Finalement, chercher à cocher des items, c'est un peu faire une collection. On se prend à chasser des livres qu'on n'aurait qu'à peine regardés, à les voir sous un autre jour aussi. Ainsi, ça m'aura fait découvrir Christophe Donner que je n'avais jamais lu. Et qui semble plutôt doué pour les titres qui claquent : Bang Bang, Quiconque exerce ce métier stupide mérite tout ce qui lui arrive (beaucoup de verbes mais un seul nom, vous avez compté aussi ?), la France goy ou Quatre idiots en Syrie… petit florilège qui ne reprend qu'une très courte part de la longue bibliographie du monsieur mais montre un art consommé de la pratique des seuils attirants. Enfin, pour ce qui me concerne, aucun autre que Ce que faisait ma grand-mère à moitié nue sur le bureau du Général n'aurait fait l'affaire. Et hop, épinglé !
Notez d'ailleurs qu'entomologiste, Christophe Donner semble l'être un peu aussi. Ou au moins amateur de curiosités. Sur les étagères de sa mémoire, il a accumulé des souvenirs familiaux, ceux remontant au début du XXe siècle lorsque l'antisémitisme français flirtait avec les monarchistes de l'Action française. Il les a encadrés, enjolivés diront certains historiens peu férus de licence créatrice. Et depuis quelques romans, il les regarde sous toutes leurs coutures, les entrelace à d'autres trames, fait des expériences. Apparemment, il voue une fascination tenace et un tantinet haineuse pour certains de ses ascendants ou amis de ces derniers. Et il aime beaucoup broder là-dessus. Chacun son truc, vous me direz.
Ainsi, ici, une grosse part de l'histoire a ici à voir avec l'enquête apocryphe que mène Christophe Donner sur la mort de Philippe Daudet, petit-fils d'Alphonse, Lettres de mon Moulin, Tartarin de Tarascon… et fils de Léon Daudet, pleutre, salopard, monarchiste, faisant montre d'un acharnement procédurier tournant à la folie. Et ami du grand-père de l'auteur, si j'ai bien suivi. Christophe Donner revient sur les circonstances de la mort de ce jeune homme, pas même quinze ans, et sur la manière dont son père a transformé ce suicide avéré en « meurtre policier » instiguée par « la gueuse » (comprenez la République). Folie qui n'a rien de douce si l'on compte le nombre d'innocents qu'il a fait traduire en justice pour corroborer ses fantasmes parano-mégalo.
Ce qui n'a rien à voir avec le général ni avec sa grand-mère me direz-vous. Certes. C'est pour cette raison que la guerre 14-18 de De Gaulle, ses relations (mauvaises) avec Pétain nous sont contées. Pour la grand-mère, on en entend également un peu causer. Et on aura le fin mot de l'histoire (ça fait un peu pschitt à mon sens, m'enfin bon…)
Le multimilliardaire qui paie en bitcoins chacun des fichiers concaténant l'intégralité de l'activité numérique de l'auteur, ça, le titre ne le laissait pas prévoir... Mais ça y est aussi. Tout comme Dora. Que vous auriez prise pour la compagne du narrateur, comme moi, si vous n'aviez pas lu quelque part que c'est en fait une émanation fictionnelle parmi d'autres chargées de tenir compagnie à un narrateur / auteur féru d'autofiction et de distance ironique avec sa propre existence malgré tout.
Ca fait beaucoup non ? Même pour un livre au titre aussi long. Même pour un collectionneur de curiosités. Alors, est-ce que j'ai aimé ? Eh bien, c'est agréable à lire. Les considérations historiques (à prendre avec des pincettes si j'ai bien compris les avis informés) restituent une époque que je connaissais peu. Mais je n'ai pas vraiment compris l'intérêt du dispositif avec le multimillionnaire. Ni la plus-value qu'il y a à triturer de l'historique familiale de cette façon-là. Ca m'a fait penser à ces vieilles croutes qu'on gratte jusqu'au sang… Plus par ennui, complaisance ou goût du scandale que par nécessaire et fructueuse introspection. Pas sûr donc que je tente une autre de ces oeuvres.
Mais au moins, j'aurai un beau titre à mon tableau de chasse !
Au suivant !
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"Une histoire de France qui n'a jamais été racontée de cette manière..." En effet !
Parce que tout est faux. le Léon Daudet du livre n'a que le nom de commun avec celui de l'histoire, rien ne s'est passé comme le dit l'auteur.
On se perd en conjectures sur le propos de l'auteur.
A-t-il voulu écrire un roman historique ? L'ouvrage ne correspond pas aux codes du genre, qui s'efforce en général de respecter un minimum la vérité historique, ou d'en donner l'impression.
Alors quoi ?
De l'histoire romancée ? Peut-être. L'exposé de vues très personnelles sur l'histoire du vingtième siècle, mêlée à une saga familiale démente ?
Sans doute. Et franchement on en a marre de la famille Gosset et de la voir mise à toutes les sauces, apparaissant dans tous les évènements de l'histoire de France, tel le Zelig de Woody Allen. Mais Woody Allen, lui, est drôle.
Quoiqu'il en soit, on attend maintenant d'apprendre que Napoléon a remporté ses victoires grâce au Caporal Jacques Gosset, et que Colomb monta son expédition sur les conseils d'un certain Aldo Gossetti,
Quant à la grand-mère de l'auteur..sa seule fonction est de pousser le lecteur imprudent à entreprendre la lecture de cet opus
Pour en revenir à Léon Daudet. Il n'avait rien d'un démocrate, mais il voulait une restauration monarchique. Aucun de ses adversaires ne l'a considéré comme fasciste, ni comme un aspirant au pouvoir personne,D'ailleurs c'était en réalité un dilettante, très introduit dans les milieux littéraires, fils d'Alphonse Daudet, Époux d'une petite fille de Victor Hugo grand ami de Proust, à qui il fit obtenir le prix Goncourt.
Quant à son fils, les causes de son suicide sont mal élucidées. C'était un adolescent perturbé et fragile, ce qui n'a rien d'extraordinaire, non plus hélas que les suicides à cet âge
PS. Saisi d'un scrupule, j'ai googlise le nom Gosset Je n'ai trouvé qu'une marque de champagne, excellent au demeurant selon les critiques. Peut-être le Général l'appréciait-il lui aussi, au point d'en avoir parfois une bouteille sur son bureau ?

Addenda.
Si Léon DAUDET était monarchiste, il n' a jamais été fasciste, au contraire. Dés 1932, il alertait sur le danger présenté par Hitler, et craignait un partage de la Pologne entre l'Union Soviétique et l'Allemagne qui se retournerait ensuite contre la France. En 1935 il écrivait que la France risquait d'être écrasée par l'aviation et l'arme blindée.
Il est dommage qu'on ne l'ait pas écouté Il n'était pas sectaire et son monarchisme ne l'empêchait pas d'ailleurs d'admirer la politique étrangère de la Convention.
A partir de 1930, il a répudié son antisémitisme. Et il n'a jamais préconisé la persécution ou la discrimination des Juifs.
Sur la triste affaire Philippe Daudet, voir l'article Wikipédia qui y est consacré.
On ne comprend pas la hargne avec laquelle Donner le poursuit de livre en livre
Addenda 2. Sur l'Action Française : elle n'a jamais été fasciste. Il y a eu plus de résistants issus de l'Action Française que de collaborationnistes. Doriot et Deat, chefs des deux principaux partis fascistes sous l'Occupation, venaient de la gauche. le capitaine d'Estienne d'Orves, premier fusillé résistant, catholique et monarchiste, était proche de l'Action Française.
Il serait donc préférable de ne pas tout confondre.


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Dans la continuité de "La France goy", son précédent livre, l'auteur s'intéresse ici au suicide de Philippe le fils de Léon Daudet, activiste d'extrême-droite, monarchiste et un des fondateurs de "l'Action française". L'auteur nous dresse un portrait hallucinant de ce personnage, et on comprend comment son propre fils a pu faire le projet de l'assassiner avant de se résoudre (pourquoi?) au suicide. À cette trame, Christophe Donner a l'habileté de lier sa propre famille et le général De Gaulle. Il se trouve en effet que son arrière grand-père, Henri Gosset a un brin fricoté avec "l'Action française". Mais sa grand-mère, comment a-t-elle pu se trouver ainsi à moitié nue sur le bureau de de Gaulle ? C'est un fait avéré. Je le sais, puisque j'ai lu le livre. Mais je ne dirai rien.
Voilà un livre très malin, une fresque édifiante sur les milieux d'extrême-droite de l'entre-deux guerres, qui se lit avec beaucoup de plaisir et porte à réflexion. le plaisir de la lecture et la joie de l'intelligence, que demander de plus ?
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N°1719 – Février 2023

Ce que faisait ma grand-mère à moitié nue sur le bureau du GénéralChristophe Donner – Grasset.

Ce titre quelque peu racoleur est sans doute de nature à décider les plus sceptiques. Quant au Général, malgré le fait que nous ayons de plus en plus d'officiers étoilés, il ne peut s'agir que de de Gaulle puisque dans la mémoire collective des Français il n'y en aura jamais qu'un seul dont on prend même la précaution d'enrichir son grade d'une majuscule. Pourtant cela colle mal avec l'image qu'a laissé de lui « l'homme du 18 juin » qu'on imagine assez mal en Don Juan, mais on ne sait jamais !
J'ai été un peu perdu au début avec ce roman qui est la suite d'un ouvrage précédent que je n'ai pas lu, avec ces histoires entrecroisées d'oligarque russe qui a fait fortune grâce à la cryptomonnaie et qui achète à l'auteur le roman qu'il est en train d'écrire sur sa famille et plus spécialement sur la figure du docteur Henri Gosset, son arrière-grand-père qui soigna le fils révolté du royaliste Léon Daudet, un des fondateurs de l'Action française qui faillit faire basculer la France dans le fascisme et sur cette partie de la vie du jeune officier De Gaulle qui croisa pour la première fois le déjà vieux Pétain au début du XX° siècle. Cela sent le drame oedipien de la lutte à mort du fils contre le père sans qu'on sache très bien parfois qui veut tuer l'autre. Mais la grand-mère dans tout cela et la raison de sa posture qu'on imagine au service d'une ambition précise que la morale d'aujourd'hui semble vouloir hypocritement bannir des relations hommes-femmes pourtant immuables ? Qui était-elle? C'est Denise, dite Amin, quant aux véritables raisons, peut-être pas forcément historiques de sa présence sur le bureau du général, elles sont assez surprenantes. Que m'étais-je imaginé ?
Tout cela m'a paru intéressant sur le plan historique, mais quand même bien confus et surtout romancé. J'ai appris des choses sur les relations entre De Gaulle et Pétain, les postures déférentes mais fermes du jeune capitaine conscient de sa valeur et suffisantes et hiérarchiques du vieux maréchal avide d'honneurs. On sait comment tout cela va se terminer. Il est souvent question de l'auteur et surtout de Léon Daudet, le fils du célèbre écrivain, politicien ambitieux et surtout de sa famille, de son fils Philippe, adolescent perturbé, fugueur et anarchiste et de son projet un peu fou, pourtant réalisé. Une véritable saga avec des morts, et pas seulement à cause de la guerre, des adultères, des ambitions politiques, des démêlés judiciaires...

C'est étonnant, écrit sur le mode jubilatoire, et il faut attendre les dernière pages pour connaître la raison de la présence incongrue de cette femme sur un meuble quasiment historique. Finalement j'ai bien aimé et cela m'a donné en tout cas l'envie de découvrir cet auteur prolifique.
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Dans la France Goy, son précédent roman, Christophe Donner nous livrait un récit foisonnant, historique et érudit sur la montée de l'antisémitisme en France dans les années 20. le tout étayé de dialogues « d'époque » saisissants d'authenticités. Car, la base de ce travail de recherche sur les sources de "l'anti juiverie", s'appuyait sur la découverte d'archives familiales : lettres, journaux intimes, articles de presse, manuel d'escrime, écrits par son arrière-grand-père Henri Gosset contemporain d'Alphonse Daudet.
Ce que faisait ma grand-mère à moitié nue sur le bureau du Général peut se lire comme une suite.
Ce récit autofictionnel met en scène Christophe Donner lui-même, en proie au vide de la page blanche laissée par la somme de travail investit dans la France Goy et vidé par la promo qui s'ensuivit.
Christophe Donner va finalement « remettre son ouvrage sur le métier » grâce à un oligarque russe qui lui propose de le rémunérer sous forme de cryptomonnaie pour chaque page écrite.
Il renoue donc avec l'histoire de ses aïeux. Son arrière-grand-père Henri Gosset qui était l'un des premiers kinésithérapeute était ami avec Léon Daudet le directeur de l'Action Francaise, journal antisémite.
Dans ce livre, Donner "s'autorise à faire intervenir sa vie" (dixit une interview), alors qu'il privilégiait « l'histoire historique » dans la France Goy.
On se délecte des écrits surannés de ses ancêtres qui donnent du corps aux faits historiques, tel le drame qui survint dans la famille de Léon Daudet en 1923 et fit les beaux jours de la presse à scandale.
Entre lui et sa famille intervient un nouveau personnage dont on se demande ce qu'il vient faire là : le général De Gaulle ; ses regrets, son talent d'écrivain, ses relations avec Pétain, ses faits d'armes…
Et, tel un fil rouge, revient sans cesse cette question : que faisait sa grand-mère sur le bureau du général ? On sent qu'un lien existe mais il faudra attendre la fin de la lecture pour dissiper ce mystère.
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critiques presse (3)
LeMonde
24 mars 2023
C’est vif, malin, intéressant… Mais l’on ne peut s’empêcher de voir dans ces pages une brillante ruse dilatoire visant à repousser le moment d’écrire le roman que Christophe Donner porte depuis longtemps sur son grand-père, Jean Gosset, philosophe chrétien, héros de la ­Résistance, mort à 32 ans.
Lire la critique sur le site : LeMonde
Lexpress
09 janvier 2023
Une bonne résolution pour 2023 : retourner vivre en 1923. Cette année-là, Philippe Daudet, 14 ans, décide de tuer son père, le gargantuesque Léon Daudet, député de Paris, membre fondateur de l’académie Goncourt et surtout plume belliqueuse de L’Action française.
Lire la critique sur le site : Lexpress
LaTribuneDeGeneve
09 janvier 2023
Christophe Donner maintient le suspense tout au long du livre, au grand dam d’un étrange personnage qu’il prétend connaître.
Lire la critique sur le site : LaTribuneDeGeneve
Citations et extraits (5) Ajouter une citation
[Pétain :]
« Faites-moi ce bouquin, de Gaulle, et je vous fais obtenir la médaille des évadés. Avec citation. »
De Gaulle en rêve de cette médaille, c'est la seule chose qui le consolerait un peu du cauchemar que furent ces deux ans et demi à bouffer des patates gelées et des précis militaires. De Gaulle aurait accepté le rôle de nègre du maréchal sans cette carotte, car l'idée de faire un livre, quand bien même il ne serait pas signé par lui, mais par ce maréchal qu'il n'aime plus, qu'il respecte à peine, qui le heurte chaque jour un peu plus avec son franc-parler qui n'est que l'expression de la vulgarité soldatesque, mais faire un livre, bon sang, l'écrire, le voir publié, c'est quelque chose qui le bouleverse.
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En classe de sixième, quand le professeur de français donnera comme sujet de rédaction : «Faites le portrait de votre meilleur ami», l'incipit de Philippe [Daudet] ne laissera aucune ambiguïté : «Mon meilleur ami, c'est mon père.» Et quand le colonel Bernard de Vésins lui demandera un jour : «Que ferez-vous plus tard, Philippe ?», celui-ci répondra : «Moi, je veux continuer papa.»
L’œuvre de son papa [Léon Daudet] n'est qu'une succession de cabales interminables, de procès en appel, de duels, de crapuleries inqualifiables, c'est un tissu ou plutôt un écheveau informe de calomnies, de chantages, d'escroqueries, d'incitations au meurtre et aux pogroms. Il faudrait pouvoir surmonter son écœurement pour établir la liste des innocents qu'il a accusés d'espionnage, de trahison, je ne l'ai pas.
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Parce que je suis un écrivain. Et un écrivain qui n'arrive pas à raconter l'histoire qu'il porte en lui depuis toujours, celle qui raconte vraiment sa vie, c'est un écrivain qui est ... je ne sais pas ce que je suis. Un écrivain prometteur.
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Et surtout, surtout : pas de point-virgule, je suis allergique au point-virgule. C'est un métis, le point-virgule, un bâtard. On est soit point, soit virgule, on n'est pas point-virgule. Il faut choisir.
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Ne me laissez pas aggraver les choses.
Je suis comme un chien galeux, je me frotte contre le béton, mais le sang ne vient pas...
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Videos de Christophe Donner (18) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Christophe Donner
Christophe Donner vous présente son ouvrage "La France goy" aux éditions Grasset. Rentrée littéraire automne 2021.
Retrouvez le livre : https://www.mollat.com/livres/2549013/christophe-donner-la-france-goy
Note de musique : © mollat Sous-titres générés automatiquement en français par YouTube.
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