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James Crumley (Autre)
EAN : 9782351787250
304 pages
Gallmeister (05/11/2020)
3.79/5   236 notes
Résumé :
Traduit par Jacques Mailhos.
Détective privé, Milo Milodragovitch exerce dans le Montana, et ce qu'il aime avant tout, c'est la coke et le peppermint. Normal pour quelqu'un qui s'apitoie sur sa vie passée avec ses cinq ex-épouses et vit reclus dans une région où l'hiver ne pardonne pas. Une certaine Sarah Weddington lui écrit qu'elle souhaiterait le voir. Notre homme part la trouver et il apprend que Sarah est une ancienne maîtresse de son père. Elle lui dema... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (32) Voir plus Ajouter une critique
3,79

sur 236 notes
Edité par une sérieuse et très respectée maison d'édition, bénéficiant de jolies illustrations, aussi bien à l'extérieur qu'à l'intérieur, jouissant d'une réelle estime dans le milieu des critiques, malgré tout ça : ça ne l'a pas fait avec moi... le journal Libération parle d" un style époustouflant, une écriture haletante qui tient de la course-poursuite au bord des précipices."
Ils ne devaient pas avoir bu un earl grey ou de la tisane quand ils ont écrit un truc pareil...

De suspens : point !
Je me suis ennuyée comme un rat (ou plutôt une ourse ) mort(e).

Et du style : bof ! Je reconnais une atmosphère noire (mais c'est facile quand on accumule les cadavres, emmerdement du personnage principal, qu'on lui colle une addiction à l'alcool et au rail de coke...).
Même pas drôle, ou si peu. Je me suis surprise à guetter comme des bouffées d'air frais, les phrases amusantes, mais il y en a si peu. Et le style n'est ni poétique, ni allambiqué...

Ça se passe dans le Montana, sous quelques centimètres de neige, mais on n'est pas dans le nature writing pour autant, plutôt dans les bars...

Encore un roman bien macho, où un homme, la quarantaine rugissante et bien entamée , avec de la bedaine, bourré comme un coing, fréquentant la poudreuse, qui n'aime pas trop les armes, mais qui en posséde , se tape tout ce qui bouge , de l'étudiante à la bombasse blonde... Toutes lui tombent dans les bras en dix secondes.
Encore un roman noir qui ne se prend pas au sérieux, écrit par un homme, qui a ce qu'on appelle "la carte".
Je ne peux m'empêcher de remarquer que moults autrices qui écrivent bien mieux et sont plus drôles, dont le personnage principal est une femme, n'ont pas cette fameuse carte de respectabilité...

A part ça, c' est une histoire brouillonne, où il est question de ... de quoi au juste ? D'une peau d'ours, une maison incendiée, de méchants, de gentils qui trépassent, d'un anti héros, une enquête qui au départ devait être facile et qui va s'avérer pleines de tiroirs et de croche pieds...


Une lecture qui plaira plus aux lecteurs qu'aux lectrices...
A part ça , il est sympa comme tout ce Milo, un vrai nounours.
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James Crumley, c'est le type même du bon copain à qui tu pardonnes tout ! Une entrée en matière un peu poussive ? Une intrigue un peu convenue ? Pas grave. Oublie !

Prends quelques shots de schnaps, fais les passer avec 2-3 bières ou whiskeys, sniffe ton rail et embarque avec Crum' direction Meriwether, dans le Montana, pour découvrir La danse de l'ours dans une nouvelle traduction de Jacques Mailhos.

Là tu y retrouveras Milodragovitch - Milo pour les intimes et pour ces dames (pléonasme facile) - rangé de son officine privée depuis Fausse piste, et toujours dans l'attente de son héritage paternel qui ne se débloquera que pour ses 52 ans. Mais même devenu vigile pour tuer le temps, Milo est vite rattrapé par l'action quand une ancienne maîtresse de son père lui offre un pont d'or pour enquêter sur un couple étrange.

Entre bitures et deals de coke, l'enquête va vite s'avérer un poil - d'ours – plus complexe que prévu, les filatures à l'ancienne laissant rapidement place aux fusillades à l'automatique, explosions à la grenade à main et incendies de maisons, sur fond de corruption environnementale… le tout heureusement entrecoupé de quelques opportuns coups de reins, parenthèses romantiques et salvatrices pour Milo dont la réputation de bourreau des coeurs n'est plus à faire.

« Je suis tombé dans cette merde par accident, et j'ai fait ce que j'ai pu pour sauver mon cul » résume Milo. Une histoire classique et subie donc, mais parfaitement maîtrisée et rythmée.

Mais dans La danse de l'ours, l'essentiel est ailleurs !

Dans l'évolution du personnage de Milo, qui vieillit, mûrit, se questionne et réfléchit – parfois – davantage, laissant entrevoir ses faiblesses, désillusions, désirs d'autre chose : quand certains ont la tentation de Venise, Milo a celle de la virée en aller simple vers le Sud, le grand Sud, loin de tout… Pour échapper à un monde qu'il ne comprend plus, qu'il ne cautionne plus, qui lui ressemble de moins en moins. « Ce n'est pas nous qui avons fait ce monde, Milo. Nous on doit juste y vivre ». Se résigner, pas le genre du Milo…

Et puis il y a le Montana, dont « nul véritable fils (…) ne peut nier éprouver en son coeur un profond attachement pour cette catin majestueuse ». Les montagnes, la neige, le blizzard, le froid, les rivières, les forêts, les indiens, les réserves, les rades cradingues, les bars d'hôtels huppés, les pick-ups pourris… À l'instar d'un Craig Johnson pour le Wyoming, James Crumley convoque tous les marqueurs du Montana, créant dès le début de la danse de l'ours, une atmosphère incomparable qui invite son lecteur à se lover au chaud dans son fauteuil préféré, puis à se laisser glisser dans une lecture béate, sereine et au final, enthousiaste.

Un dernier mot pour souligner le nombre d'aphorismes savoureux distillés par James Crumley et habilement traduits par Jacques Mailhos. En v'là un p'tit dernier pour la route : « La vie moderne est une guerre sans fin : ne prends pas de prisonniers, ne laisse aucun blessé et mange les morts – c'est bon pour l'environnement ».
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Alors , Danse Avec les Loups , je connais...La Danse des canards , itou et pratique aussi souvent qu'il m'est donné l'occasion de froler le coma éthylique...Tiens , La Danse de l'Ours ? Milodragovitch ( qu'on appellera , pour des raisons évidentes de commodité , Milo ) , alcoolique , hum , coke , ouais , cynique , bien ça , femmes , ok , cavale - tueur , pas mal , thriller d'action dense et haletant aux dialogues percutants et à l'humour décapant . Bon , convaincante cette quatrieme de couv' mais quid réellement de cet étrange plantigrade aux faux airs de petit rat de l'opéra ?

Végétant dans un emploi de vigile qui ferait passer les épisodes de Derrick pour un grand huit pris sous amphét', Milo décide , contre toute attente , d'accepter le boulot confié par cette vieille femme qui aura su le prendre...par les sentiments ! Votre mission , Milo , si vous l'acceptez , filer ces deux clients et...basta ! En cas d'échec ou de...s'autodétruira..blabla , on connait la suite . Oula , exaltation , impatience , excitation , autant de sentiments totalement étrangers à l'évocation de cette périlleuse mission digne d'un jeune et fier représentant de Lord Baden-Powell ! Hamster jovial , au rapport ! Seulement voilà , donner son aval , c'était déclencher une cascade d'emmerdes susceptible de faire palir les chutes du Niagara !

La Danse de l'Ours ou l'art de la manipulation sur fonds d'écologie...
Cette danse ne fut pas , pour etre honnete , franchement envoutante de prime abord . Les soixante premieres pages trainent en longueur avant de laisser place à une action pur jus qui rattrape largement ce retard à l'allumage ! Enfin je dis action , entendons-nous bien , on est loin du rythme éffréné de Rambo 29 et ses 1259,46 cadavres au compteur mais le tempo se tient et est plutot plaisant . Ce qui fait la force de ce récit : des personnages cocasses empétrés dans des situations qui ne le sont pas moins ! Galerie de portraits hétéroclite au service d'une enquete qui , si elle nous fait parfois nous demander ou l'auteur veut en venir , finit cependant par prendre tout son sens au final . Sorte de puzzle totalement abstrait qui ne se révelerait qu'avec la toute derniere piece .
Milo , héros récurrent aussi régulierement alcoolisé que drogué , s'avere attachant malgré une propension à se foutre de tout et de tous . Cynique , torturé , violent , sympathique loser patenté à la libido fortement sollicitée , il semble vouloir courageusement honorer l'ensemble d'une gente féminine manipulatrice qui , un jour , pourrait bien causer sa perte ! Que dire de sa voluptueuse voisine nymphomane dont il n'ignore rien excepté le prénom et qui excelle dans les troubles de voisinage , tendance bunga bunga cocainé...
Un récit étrangement captivant de par sa capacité a vous perdre et sa faculté à rebondir ! Histoire à tiroirs s'il en est ou chaque protagoniste ne représente que la partie visible d'une sordide affaire autrement plus complexe qu'elle n'y paraît ! Milo fait dans l'investigation brutale à coup de sulfateuse bien sentie ! Patient le garçon jusqu'à un certain point . le train de sénateur prend finalement l'allure d'un TGV dévastateur . Milo , tel le petit poucet , jalonne son parcours de cadavres brulés , morcelés , démembrés . Les dialogues sont savoureux car méchamment empreints d'une insolence et d'une drolerie communicatives . Cerise sur le cageot , un contexte naturel magnifiquement dépeint par un auteur au pouvoir évocateur indéniable ! Un bon moment que ce bouquin débouchant sur un scandale que n'aurait pas renié Erin Brokovich .

La Danse de l'Ours , plus pogo que slow et c'est tant mieux...
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Milo Milodragovitch vit dans le Montana ou plutôt il vivote grâce à son boulot de vigile.
Mais Milo a eu diverses vies auparavant, il a servi son pays et a combattu en Corée, il a été shérif adjoint puis détective privé à son compte, mais son addiction à la drogue et à l'alcool et ses 5 ex-épouses ont eu raison de tout cela.
Milo devrait être riche puisque son père lui a légué une fortune colossale, mais à laquelle il n'a pas le droit de toucher avant d'avoir 52 ans (l'âge de la raison ?)
Alors Milo vivote.

Jusqu'au jour où il reçoit une lettre de Sarah Weddington qui veut le voir.
Bon il a failli ne pas l'avoir cette lettre puisqu'il s'est battu contre le facteur, il faut dire qu'il n'était pas tout à fait clean quand le facteur est venu sonner chez lui, et quand tu as le cerveau embrumé, parfois tu fais n'importe quoi....

Lorsque Milo rencontre Sarah une excentrique et très riche vieille dame, elle lui rappelle qui elle est.
Une maîtresse de son père qu'il a connu alors qu'il était enfant.
Sarah espionne ses voisins, et justement elle est intriguée par le comportement d'un couple et elle demande à Milo d'enquêter sur eux, même si Milo hésite au début la très grosse enveloppe pleine de dollars qu'elle lui donne le fait succomber.

Mais Milo devrait pourtant le savoir souvent les choses ne sont pas ce qu'elles sont, et les apparences plus que trompeuses.

On va alors suivre Milo dans le superbe décor des montagnes du Montana, avec son lot de personnages plus cocasses les uns que les autres à commencer par Milo.

Un vrai régal de lecture dont on ne peut que regretter d'être arrivé la dernière page.
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On ne compte plus les publications dont les romans de James Crumley ont fait l'objet dans les pays francophones sans pour autant rencontrer un véritable succès que ce romancier exceptionnel n'a jamais connu de son vivant, quand bien même a-t-il bénéficié de la considération unanime de la plupart des amateurs de littérature noire qui n'ont eu de cesse d'encenser cette figure marquante du genre. Lire Crumley c'est comme entrer en religion afin de partager cet enthousiasme que l'on ressent, par le biais d'une écriture riche et généreuse, avec quelques initiés qui ne peuvent s'empêcher de vous citer quelques phrases emblématiques d'une oeuvre qui a su revisiter l'image du détective privé en suivant les aventures de Milo Milodragovitch ou de Chauncey Wayne Shugrue qui prennent la forme de *road trip* dantesques nous permettant de découvrir ces vastes contrées américaines en nous arrêtant de temps à autre dans quelques rades improbables pour croiser quelques personnages hors norme. Avec La Danse de L'Ours, mettant en scène, pour la seconde fois, le détective privé Milo Milodragovitch, les éditions Gallmeister poursuivent le lifting de l'oeuvre de Crumley en nous proposant, pour notre plus grand plaisir, une nouvelle traduction de Jacques Mailhos qui a entrepris de revisiter l'intégralité des romans de l'auteur américain.

A Meriwether, dans le Montana, Milo Milodragovitch tâche de se tenir tranquille en attendant de toucher l'héritage paternel qu'il obtiendra le jour de ses cinquante-deux ans. Il a donc renoncé à sa licence de détective privé afin de travailler comme agent de sécurité pour la société Haliburton Security, portant le nom d'un ancien colonel de l'armée qui tient en estime l'instable Milo. Tout irait donc pour le mieux s'il n'y avait pas Sarah, cette vieille dame richissime, ancienne maîtresse de son père, qui s'est mise en tête de lui proposer une surveillance de routine dont la rémunération paraît tout simplement indécente. Une aubaine qui se transforme en cauchemar puisque l'un des hommes qu'il observe succombe lors d'un attentat à la voiture piégée. Malgré cette propension à consommer de manière immodérée alcool et cocaïne, Milo Milodragovitch n'a rien perdu de son acuité lui permettant de deviner qu'il va au-devant de graves ennuis afin de découvrir les entournures d'une affaire complexe qui va se régler à coup de grenades et de pistolets mitrailleur.

Il faudra s'accrocher pour suivre les entournures de ce récit rocambolesque émaillé de fusillades tonitruantes éclatant dans les multiples localités que Milo Milodragovitch arpente de long en large en empruntant tous les modes de transport imaginables, mais plus particulièrement au volant de vieilles guimbardes fatiguées lui permettant de sillonner ces longues routes interminables qui traversent les états. Au-delà de l'outrance de situations parfois dantesques, de l'humour saignant de dialogues corrosifs, il y a ce regard bienveillant du héro désabusé que James Crumley capte pour mettre en exergue une époque basculant vers une certaine forme de désenchantement se caractérisant dans l'incarnation de ces multinationales avides de profits. D'une certaine manière précurseur dans le domaine, l'auteur aborde avec La Danse de L'Ours la thématique des désastres écologiques qui ravagent le pays sans que l'on n'en prenne pourtant la pleine mesure. L'acide des mines d'or empoisonnant les rivières, l'enfouissement illégal de déchets toxiques, de préférence à proximité des réserves indiennes, c'est au travers d'une kyrielle de personnages peu recommandables que l'on découvre les arcanes d'entreprises sans scrupule qui peuvent s'appuyer sur l'aide de politiciens véreux, d'agents gouvernementaux corrompus, d'hommes de main coriaces et de femmes forcément fatales se révélant bien plus redoutables qu'il n'y paraît. Autant de portraits attachants ou rebutants qui traversent, parfois de manière fugace, ce récit épique emprunt d'une violence chaotique aux accents funèbres.

Roman tonitruant, à l'image de l'auteur qui transparait par le biais de ses personnages abimés par l'alcool et la drogue, La Danse de L'Ours apparaît comme un récit ambivalent où l'espoir laisse place au désenchantement d'un monde qui se révèle difficilement supportable.

James Crumley : La Danse de L'Ours (Dancing Bear). Editions Gallmeister 2018. Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Jacques Mailhos.

A lire en écoutant : Harvest Moon de Neil Young. Album : Harvest Moon. Reprise Records/WEA 1992.
Lien : http://monromannoiretbienser..
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critiques presse (1)
LeFigaro
30 novembre 2018
Une nouvelle traduction de La Danse de l'ours rappelle l'étendue du talent, entre humour et désespoir, de l'écrivain américain mort il y a dix ans.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Citations et extraits (28) Voir plus Ajouter une citation
Je vis devant moi le cimes enneigées des Cathedrals qui étincelaient sous un ciel aussi bleu que le cul du paradis, le genre de vision qui vous fait oublier les chaînes à neige et les engelures, qui vous rappelle pourquoi vous habitez dans le Montana et pourquoi vous y resterez jusqu'à votre mort.
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Les ours trouvaient toujours les arbres à abeilles avant les Indiens; ils les éventraient, mangeaient les rayons de miel, et volaient le miel avec leurs griffes pointues et leurs langues râpeuses. Et les abeilles étaient toujours en colère, parce que les ours, ces pauvres âmes, ne connaissaient pas le secret de la fumée sacrée qui rend les abeilles amicales, et les ours ne connaissaient pas les chants d'action de grâce qui auraient pu pousser les abeilles à leur pardonner, mais pire que tout, les ours souffraient de cupidité et ils prenaient toujours tout le miel, sans rien laisser aux abeilles. Les ours connaissaient le miel mais ils ne connaissaient pas les abeilles, et voilà pourquoi les Indiens n'avaient plus aucune douceur dans leurs tipis.
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Nul véritable fils du Montana ne peut nier éprouver en son coeur un profond attachement pour cette catin majestueuse, et beaucoup de gens, dont moi, pensent qu'aucun homme ne peut se prétendre natif d'ici s'il n'a pas passé au moins un jour de la Saint-Patrick à Butte.
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Pendant que j'attendais dans la voiture de location, je me fis un petit snif de coke sur la pointe de mon couteau, puis j'avalai un shot de schnaps et mangeai une tanche de viande séchée bien dure. Maintenant j'étais fin prêt. J'étais de nouveau un vrai détective de l'Ouest, parfaitement équipé.
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- Quand je voudrai qu'une putain de touriste de la côte Est m'explique comment je dois vivre dans la pays où je suis né et où j'ai grandi, dis-je, je te le ferai savoir. D'accord ? En attendant, ferme-la, bordel ! Quand tu vois des endroits comme Butte ou les mines de charbon à ciel ouvert de l'est du Montana, ou les foutues coupes claires, tâche de te souvenir qu'on est peut être des putes, mais que ce sont les macs qui jouent au squash au putain de Yale Club de New York qui se gavent sur la bête. Alors ferme-la, bordel.
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À l'occasion de l'annonce du Grand prix de littérature américaine et des élections de mi-mandat aux Etats-Unis, le Book Club s'intéresse aux livres qui nous aident à comprendre l'Amérique d'aujourd'hui. Pour en parler, nous recevons Francis Geffard, éditeur chez Albin Michel et créateur du Grand prix de littérature américaine ainsi que Nicolas Richard, auteur et traducteur. Il a notamment traduit Hunter S. Thompson, Thomas Pynchon, Woody Allen, James Crumley, Stephen Dixon ou encore Quentin Tarantino.
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