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EAN : 9782842637903
224 pages
Le Dilettante (02/10/2013)
  Existe en édition audio
3.06/5   833 notes
Résumé :
"Billie, ma Billie, cette petite princesse à l’enfance fracassée qui se fraye un chemin dans la vie avec un fusil de chasse dans une main et On ne badine pas avec l’amour dans l’autre est la plus jolie chose qui me soit arrivée depuis que j’écris". "Franck, il s’appelle Franck parce que sa mère et sa grand-mère adoraient Frank Alamo (Biche, oh ma biche, Da doo ron ron, Maillot 38-37 et tout ça) (si, si, ça existe…) et moi, je m’appelle Billie parce que ma mère était... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (164) Voir plus Ajouter une critique
3,06

sur 833 notes

J"ai été surpris en flagrant délit de lecture du dernier roman d'Anna Gavalda. Avouez, qu'il y a de quoi se cacher, le bourriquet de la couverture, gambadant dans un champs de pissenlits (?) n'est pas aussi classieux que la couverture crème de chez Gallimard. C'est ainsi que je me suis attiré les remarques perfides de mon entourage, du genre :
- Ah bon ! Tu te remets à lire Gavalda ? T'avais pourtant juré, craché qu'après "Ensemble c'est tout " on ne t'y reprendrait plus.
Ou aussi :
- Toi tu t'es fait avoir par la promo ultra léchée. Tu es faible quand même ! Il suffit qu'on te sorte le grand jeu de l'écrivain qui entend la voix de l'héroïne lui dicter le roman, qu'elle a travaillé sur les mots, les sonorités et qu'en plus tu vas être surpris ....hop, tu fonces !!!
Que voulez-vous, j'ai craqué pour l'âne, il est si mignon....
Même s'il y a une part de vérité dans ce qui précède, je pensais réellement que lire "Billie" allait me permettre d'écrire un billet rigolo et méchant sur la reine actuelle du roman.
Raté ! C'est raté !! La Gavalda m'a cueilli dès les premières pages comme au bon vieux temps de " Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part".
Oui, je l'avoue, j'ai lu "Billie" d'une traite, en une soirée et j'ai aimé ça ! Entendons-nous bien , ce n'est pas le livre de l'année, ni quelque chose qui restera gravé en mémoire jusqu'à ma mort, c'est juste un bonbon acidulé, bien troussé, qui se déguste gentiment un soir gris d'automne.
La promo dit que les lecteurs habituels d'Anna Gavalda allaient être surpris. Sans doute qu'après la lecture du premier chapitre, ils seront sur un terrain un peu mouvant car nous retrouvons l'héroïne, Billie (en souvenir de Bambi Jackson...), allongée au fond d'une ravine du parc des Cévennes, la cheville brisée. Auprès d'elle, Franck, tout aussi cassé, dont la principale préoccupation est de savoir si la chute qu'ils ont faite, n'a pas provoqué une lésion de la moelle épinière. Après quelques pincements bien placés, prouvant sa capacité à réagir, il ne lui reste plus qu'à savoir si sexuellement il pourra toujours assurer. Il demande donc à Billie de s'occuper de son membre viril afin de vérifier sa bonne tenue.
Ce démarrage un soupçon hard pour la number one de nos romancières est couplé à un style gouailleur et cru, montrant ainsi sa capacité à se renouveler. On allait voir ce qu'on allait voir ! La suite se révélera tout de même pétrie avec sa célèbre farine de solidarité, mélange ingénieux de bons sentiments et d'une observation assez fine de nos moeurs actuelles.
La fin sur le blog
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Enorme déception à la lecture du dernier roman de cet auteur.
Je l'ai emprunté car plusieurs collègues l'avaient lu et n'étaient pas d'accord entre elles....Je dirais juste que c'est très caricatural, les personnages sont stéréotypés, les dialogues sont tartes, les descriptions sont au mieux naïves sinon carrément pas crédibles du tout. Par exemple, l'auteur mentionne une fille qui vient d'un milieu très défavorisé et qui a tout de même des tas de références en matière de cinéma classique, de jazz, de littérature, de théâtre etc...bah non, moi, je n'y crois pas une seconde !
Et le style est soit plat par moment, soit vraiment faux, on croirait un exercice de style du genre : "et si vous écriviez comme un jeune complètement inculte en faisant exprès plein de fautes de grammaire mais en mettant des expressions qui n'existent plus depuis 1930 et en décrivant des situations bien vulgaires et glauques pour faire vrai..."
Certains pourront y voir une gentille fable, moi, je me suis juste ennuyée et la qualité médiocre de l'écriture m'a gâché le peu de plaisir que j'aurais pu avoir à lire une histoire optimiste, bien que quand même très "cul-cul la praline".
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Billie et Franck, « ces deux êtres si imparfaits et si affreux ».

Deux écorchés vifs que la vie n'a pas épargnés et que rien de prédestinait à se croiser. Billie qui vient d'une cité, la Cosette des dépotoirs. Franck qui n'aimait pas les filles, le petit pédé souffreteux. Tout les oppose et pourtant ils s'attirent. Malgré des parcours qui s'entremêlent et se démêlent, l'amour et le respect qu'ils ont l'un envers l'autre n'arrête de croitre et de les réunir. Je ne parle pas d'un béguin entre un homme et une femme, c'est bien plus intense, bien plus fort. Il s'agit d'une Amitié unique, comme il en existe peu. Entre ces deux Êtres existe un lien sincère qui va au-delà de l'amour.

Un soir, à la suite d'un accident stupide, Billie et Franck se retrouvent au fond d'un ravin. Franck est gravement blessé. Tant bien que mal, Billie tente de lui porter secours. A la belle étoile, isolés de tout et de tous, Billie se blottit contre son petit Prince dans l'attente des secours mais Franck sombre rapidement dans un coma. Dans ce froid et cette interminable attente, Billie va entamer un long monologue avec sa petite étoile. Une conversation à sens unique qui lui permet de faire son mea culpa, de raconter sa vie, sa descente aux enfers, sa rencontre et sa passion indescriptible pour Franck. Elle se livre pour mieux se délivrer. Elle se raccroche à cet astre comme à son dernier souffle d'espoir. Elle lui demande la clémence envers la personne qu'elle admire et qu'elle aime le plus au monde. Billie est prête à mourir mais non sans avoir expliqué le déroulement de son parcours qui l'a mené dans les bas fonds de la prostitution et celui de Franck qui a étudié le droit comme pour se faire pardonner son homosexualité. « Il n'aimait pas ce qu'il étudiait pour obéir à un père qu'il aimait encore moins.»

Anna Gavalda rend inoubliable l'amitié entre ses deux personnages. Dans un langage plutôt actuel, elle nous parle de la différence, de l'intolérance et des dérives qui peuvent être liées au milieu social dont on est issu. L'écriture se veut un peu crue puisque c'est l'héroïne qui raconte mais c'est drôle, tendre, émouvant et on en ressort heureux et grandi. D'une histoire sombre et dramatique, elle arrive à nous faire rire et pleurer. Ce n'est certes pas l'histoire du siècle mais un petit roman comme une grande bouffée d'oxygène.

Un soupçon de Billie Holiday, un grain de Billie Jean, mais surtout une attachante jeune femme pleine de fougue et de sincérité. Billie et Franck «ont souffert souvent, se sont trompés parfois, mais ils aiment à la folie».

Billie, comme une embellie…

Lien : http://marque-pages-buvard-p..
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Il n'est pas toujours simple quand nous aimons par dessus tout un auteur de rester objectif et de donner une opinion juste une fois la lecture achevée, lorsque celle-ci ne nous a pas transportée, « comme avant »...
Parmi les lecteurs assidus, et fans absolus, il y a ceux qui ne lui passent rien (à l'auteur) et qui n'attendent que « la perfection ou le pilon ». Ils deviennent alors bien souvent plus incisifs et durs que de raison. C'est que quand l'admiration est à son comble, la déception amplifie, déforme les sentiments et les exacerbe, au point de ne laisser aucun filet pour amortir la chute !
Il y a aussi ceux qui lui pardonnent tout, et argumentent jusqu'au désespoir pour transformer un raté en un essai qui frise le génie, à l'originalité si novatrice, qu'elle ne sera évidence que pour les générations futures. « Trop en avance sur son temps. » CQFD
Puis il y a les autres. Ceux qui hésitent entre le silence de la gêne allié à une certaine politesse, et préfèrent reposer ledit livre sur l'étagère, en espérant qu'il ne laissera qu'un si vague souvenir, qu'ils arriveront à en oublier les manques et les quelques échappées, tuées dans l’œuf juste avant l'envol...

Peut être que dans une vie de lecteur ou de lectrice « bien remplie » nous passons tous, bon an mal an, par ces trois « phases » ?
Aujourd'hui, c'est ce que m'inspire Billie d'Anna Gavalda : Dés les premières pages lues, devant mon incapacité à faire miens ses personnages, je lui murmurais tout bas (à Anna) : « non pas ça ! Tu ne m'as pas fait cela !! J'y crois pas ? » Et de reposer avec force et détermination le petit livre sur l'étagère de ma bibliothèque. Pour le reprendre quelques temps plus tard, en m'écriant intérieurement de la manière la plus enjouée possible « allez Anna, cela va aller, là, on y croit, je suis avec Billie et Franck dans la galère, et l'ami Musset va nous sortir de là ! Ils va les réunir ces deux-là, à la vie, à la mort ! Même si je ne suis pas ENCORE convaincue, je te soutiens et j'y crois, car ne pas y croire, ce serait tout foutre en l'air, moi et ma belle admiration pour toi ! Et ça, moi vivante, c'est pas PEN-SA-BLE !! »
Et petit à petit, je suis arrivée à la fin, sans vraiment m'en apercevoir et j'ai pensé que cela aurait pu être grand, que cela aurait pu être sublime, mais que voilà ! C'était juste plaisant. Et que c'était déjà cela !
Puis se dire qu'aimer lire une auteure contemporaine, c'est aussi ça : accepter de la suivre sur les sentiers qu'elle a décidé d'emprunter et sur lesquels nous n'aurions jamais mis les pieds sans elle, accepter qu'elle nous embarque parfois sur des chemins qui nous égarent au risque de nous perdre.

Et se réjouir à la prochaine lecture, de sillonner de nouveau côte à côte...
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A une époque, elle n'avait encore écrit qu'un livre ou deux, Anna Gavalda rédigeait une chronique régulière dans le journal du dimanche. Elle y racontait avec une certaine insolence et une bonne acuité visuelle ce qu'était la vie d'une jeune parisienne BCBG. C'était futile, rigolo et acidulé. Sympathique, pour tout dire, cette Anna Gavalda qui ne se prenait pas au sérieux. Avec Ensemble c'est tout, elle a, semble t-il, atteint le niveau le plus haut auquel elle puisse prétendre avec des thèmes qui lui tenaient à coeur et des personnages fracassés qu'elles faisaient remonter du fin fond de la piscine, façon de parler. Billie lui ressemble pas mal, sur le fond, en tous cas. Son héroïne vient du quart monde, son meilleur copain, à la vie à la mort, a des penchants sexuels qui défrisent son entourage. Des êtres en souffrance qui vont bien finir par s'en sortir, on lui fait confiance pour ça à la Gavalda. Déjà que le sujet sent le réchauffé au micro-ondes, ça n'incitait pas à l'indulgence. Mais le pire c'est que la romancière a voulu se glisser dans la peau de Billie, une caillera qui va passer par toutes les humiliations et expérimenter le sordide de la vie avant, bingo, de se reprendre en main et de sauver son grand ami par la même occasion. Alors voilà, le style oral et les grossièretés à tire-larigot, ça va bien dix pages mais c'est désespérant à la longue. La vulgarité n'est pas excusable. Pas plus que l'idée pêchée chez Kechiche que la rédemption et l'illumination passent par la découverte du théâtre classique, ici celui De Musset. On ne badine pas avec la littérature, madame Gavalda. Billie, c'est du travail bâclé, un recyclage éhonté et rudimentaire de vos livres précédents et par la même occasion une claque dans la face des lecteurs qui ont goûté, peu ou prou, vos autres ouvrages et qui vous aiment bien, malgré tout. On va dire que c'est une grosse faute de goût et oublier vite fait cette ânerie (référence pas très fine à la couverture du livre).
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critiques presse (6)
Actualitte
14 novembre 2013
Dans l'œuvre d'Anna Gavalda, on souffre, mais d'une douleur déjà à demi consolée, juste encore assez perceptible pour mesurer la jouissance d'être en vie [...] Le roman nous rappelle enfin l'importance du langage, jusqu'à la révolution qui peut s'opérer à l'intérieur d'un simple signe linguistique.
Lire la critique sur le site : Actualitte
Culturebox
04 novembre 2013
Avec ce 6e roman, l'auteur se livre à un exercice de style plutôt réussi : se mettre dans la peau d'une jeune femme du "quart-monde" et en faire un beau personnage incarnant la liberté.
Lire la critique sur le site : Culturebox
LeJournaldeQuebec
28 octobre 2013
Anna Gavalda sort totalement de son registre habituel pour nous offrir un roman au franc-parler souvent surprenant.
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
Bibliobs
09 octobre 2013
N'étaient des scrupules professionnels démodés, on n'aurait pas dû aller jusqu'au bout. C'est se faire du mal et faire du mal inutilement. Car dès les premières lignes, tout sonne faux dans ce roman désaccordé.
Lire la critique sur le site : Bibliobs
LeFigaro
03 octobre 2013
On a perdu Anna Gavalda. Éparpillée façon puzzle. On cherche vainement quelques petits morceaux à recoller. En vain. Le poncif a remplacé la justesse, la grossièreté a remplacé l'insolence. Reste peut-être le culot de l'entreprise de démolition de la petite entreprise Gavalda. À ce point-là, c'est assez sidérant.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
LaLibreBelgique
01 octobre 2013
Un texte pétri de bons sentiments, de naïveté et de clichés, dont l’écriture mêlant oralité et verlan lui ôte toute portée littéraire.
Lire la critique sur le site : LaLibreBelgique
Citations et extraits (106) Voir plus Ajouter une citation
Franck : On ne te demande pas d'être Camille, on te demande de la jouer...
Billie : Bon ben tant qu'à jouer, jouons! Moi, je préfère jouer Perdican. Ca m'amuse plus de te dire que si un jour on ne s'aime plus, on prendra chacun des amants jusqu'à ce que tes cheveux soient gris et que les miens soient blancs.
Franck : Non!
Billie : Quoi non?
Franck : Ce n'est pas une bonne idée...
Billie : Pourquoi?
Franck : La prof ne nous a pas distribué les rôles comme ça et on fait comme elle a dit.
Billie : Mais... Mais on s'en fout, non? C'est la scène qui compte, pas de savoir qui fait qui...
Franck : Non...
Billie : Pourquoi?
Franck : Parce que je suis un garçon et que je joue un rôle de garçon et que toi t'es une fille et que tu joues un rôle de fille. C'est aussi simple que ça et voilà.
Billie : On ne vous demande pas d'être Camille, mon cher monsieur, on vous demande de la jouer!
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Arrête. Et lâche-nous avec ton étoile de pacotille, là... Y a pas de bonne étoile. Y a pas de ciel. Y a pas de Dieu. Y a personne d'autre que nous sur cette putain de planète et je te l'ai déjà répété mille fois : Nous, nous, nous et re-nous. Alors arrête d'aller toujours piocher dans tes souvenirs de merde ou ta cosmogonie de bonne femme quand ça t'arrange. Je déteste quand tu es comme ça. je déteste quand tu te vautres dans ce genre de complaisance facile. C'est à la portée de tout le monde de jeter l’anathème sur d'autres failles que les siennes, tu le sais ? Et je déteste te savoir comme tout le monde... Pas toi... Pas elle...Pas ma Billie à moi... Le monde n'est qu'un égout sans fond où les familles les plus informes rampent et se tordent sur des montagnes de fange, mais il y a pour nous une chose sainte et sublime qu'elles n'ont pas et qu'elles ne nous prendront jamais : le courage. Le courage, Billie... Le courage de ne pas leur ressembler... Le courage de les surmonter et de les oublier pour toujours.
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Tous les hommes sont des menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueilleux ou lâches, méprisables et sensuels; toutes les femmes sont perfides, vaniteuses, menteuses, curieuses ou dépravées; et le monde entier n'est qu'un égout sans fond où les phoques les plus informes rampent et se tordent sur des montagnes de fange; mais il y a dans ce monde une chose saine et sublime, c'est l'union de deux de ces êtres imparfaits et si affreux....on est souvent trompé en amour, souvent blessé et souvent malheureux mais on aime. Et quand on est sur le bord de sa tombe, on se retourne pour regarder en arrière et on se dit : j'ai souffert souvent, je me suis trompée quelquefois, mais j'ai aimé. C'est moi qui ai vécu et non pas un être factice crée par mon orgueil et mon ennui."
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Tous ces chatons en miettes que j’avais dû enterrer en secret, tous ces cadeaux des fêtes des mères que j’avais été obligée de rater tellement ça m’aurait détruite d’offrir quelque chose de joli à ma belle-mère, toutes ces maîtresses qui avaient cru pendant des années que j’avais deux mains gauches et qui m’avaient regardée comme une demeurée. Toutes ces connes qui avaient confondu ma tendresse et ma pauvreté…
Tous ces chagrins… Tous ces petits chagrins à la queue leu leu.
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Ils ont travaillés comme des chiens, ils se sont nourris, pansés, beurrés, dégrisés, engueulés, quittés, gavés, gâtés, pourris, détesté, sevrés, réinitialisés, déçus, adorés, retrouvés et épaulés tout au long et surtout, ils ont appris à lever la tête ensemble.
Ce sont eux qui ont vécu.
Ce sont eux.
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Vidéo de Anna Gavalda
Bande Annonce du film, Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part (2020), adaptation du roman d'Anna Gavalda.
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