ma douleur augmenta, plus que je ne l'avais voulu, elle devint trop grande pour un seul individu. il fallait intervenir d'une manière ou d'une autre.
Je soumis la violoncelliste à un interrogatoire sur la vraie nature de ses rapports avec le flûtiste et l'Italien. Je voulus tout savoir, surtout l'aspect physique de ses liaisons. Quelle étais la taille de leur pénis.? Quels bruits faisaient-t'ils ? Jouissaient-ils rapidement ou le contraire ? Quelle étais leur position préférée ? Avec lequel des deux avait-elle le plus de plaisir ? Où faisaient-ils l'amour ? Chaque détail était d'une importance vitale. Est-ce qu'ils tripotaient son anus ?
J'eus quelque difficulté à la confesser sur ces points, mais j'étais imbattable dans .......
Ici, ma solitude me suffit, j'entretiens une liaison monogame avec elle, peut-être la seule possible et souhaitable.