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Ce que j'ai aimé et préféré à tout le reste dans ce livre, ce sont les dialogues qui sont souvent pleins d'humour, ainsi que les nombreuses références à Conan Doyle au travers des citations de Sherlock Holmes.

D'ailleurs, ce roman est essentiellement constitué de dialogues qui en permettent une lecture assez rapide. Pour l'intrigue, c'est du classique, trafic de drogue ou d'armes, avec assez peu de suspense malgré un final qui se développe crescendo mais retombe un peu comme un soufflet, le lecteur n'ayant pas droit à un dénouement complet dans la dernière scène.

Cependant, il y a de très bons moments, bien relatés, comme le ball-trap, les courses de motos et tout ce qui touche à la mécanique.

Les personnages sont plutôt intéressants sans dégager une empathie immédiate. Peut-être fallait-il avoir lu d'autres épisodes des aventures de Walt Longmire pour rester dans la séduction par rapport au héros principal.

Ce n'était pas mon cas, mais j'ai quand même globalement apprécié cette lecture que la quatrième de couverture qualifie de "trépidante enquête" un peu trop complaisamment à mon goût.

L'écriture est agréable à lire, les dialogues savoureux, mais il manque un petit quelque chose indéfinissable pour en faire un vrai grand roman.
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Direction le Wyoming, plus précisément la petite localité de Hulett, connue pour être le lieu où se trouve Devils Tower. C'est ici que débarquent Walt Longmire et Henry Standing Bear, appelés sur les lieux d'un drame. En effet, alors que se déroule le Sturgis Motorcycle Rallye, dans la ville du même nom, juste à côté de Hulett, et qui voit débarquer chaque année près d'un million de passionnés, un jeune motard s'est fait renverser et est aujourd'hui entre la vie et la mort. S'agit-il réellement d'un accident ? Très vite, il semble que non. le gang de motards veut des réponses très vite mais aussi sa mère, qui n'est autre qu'une ex de Henry, la fameuse Lola qui donna son nom à la voiture de ce dernier, une femme tempétueuse et extravagante...

C'est évidemment toujours un plaisir de renouer avec Walt et Henry, chargés cette fois-ci d'enquêter sur la tentative d'homicide sur un certain Bodaway Torres, un jeune motard de 32 ans, originaire de Tucson et membre des Tre Tre Nomads. Entre trafic d'arme et de coke, de courses de motos (avec un Henry au top de sa forme), de retrouvailles inattendues, de tirs aux pigeons d'argile (avec cette fois une Vic au top de sa forme), cet opus ne manque ni d'originalité, ni de rythme ni de rebondissements. Les personnages, hauts en couleurs, qu'il s'agisse de nos deux héros, de Vic, du shérif local ou encore de la tonitruante Lola, ne manquent pas de piquant. Les dialogues, jouissifs, caustiques et percutants, apportent encore plus de rythme. Avec cet opus bien ficelé et cette ambiance délectable, Craig Johnson maîtrise parfaitement son sujet.
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C'est toujours un plaisir de retrouver la bande de Craig.
Cherchez pas de bras cassés, ici, on ne tape pas dans cette catégorie.
Non, Walt, Henry et Vic, c'est open bar d'efficacité sous couvert d'un certain sens de la répartie assorti d'un flegme et d'un p'tit caractère affirmé particulièrement réjouissants.

Hulett, Wyoming.
Un motard vient de se faire démonter par une voiture.
Et des motards, à Hulett, il allait en pleuvoir en cascade lors du grand rassemblement annuel.
Fait notable des plus cocasses, le motard heureusement casqué serait le fiston d'une ex d'Henry, alors oui, le monde est petit, et dangereux, accessoirement, mais pas au point d'effrayer notre triplette largement rompue à ce type de climat, parfum chaos ambiant, régulièrement en rupture de stock chez Nature et Découvertes.

Pour être honnête, je lis rarement un Craig Johnson pour ses enquêtes chiadées (encore que, suivant les millésimes).
Il se trouve qu'en le côtoyant, l'air devient plus pur, une certaine zénitude m'envahit et l'envie de gueuler All I want for christmas is you (à la Carey staïïïle et tant pis pour les esgourdes des voisins à dix bornes à la ronde) devient presque irrépressible.

Craig Johnson, c'est une marque de fabrique éprouvée et reconnue.
Un label de pur moment de légèreté, de smile de contentement béatement vissé aux lèvres tout en éprouvant de mémorables morceaux de bravoure (cf le désormais mythique concours de tir avec une Vic des grands soirs).

Craig Johnson, c'est définitivement d'la bonne.
Une évidence trompeuse ne fait pas exception.
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Hulett, Wyoming.
Un petit roman western de l'ère moderne qui se lit d'une traite. C'est le premier Craig Johnson que je lis et il semble que sa série avec le shérif Walt Longmire comporte environ quinze tomes. Celui-ci serait le quatorzième.

Walt Longmire, son collègue Henry Standing Bear - nommé aussi La Nation Cheyenne et parfois l'Ours à cause de sa taille imposante - de même que l'adjointe Vic sont au coeur du roman. L'équipe de feu ! Ils enquêteront sur un jeune de Hulett, Bodaway Torres, membre des Tre Tre Nomads, qui a été happé à moto, possiblement intentionnellement. On s'adonne à recevoir le plus grand événement de l'année dans la ville avoisinante, soit le Sturgis Motorcycle Rally, qui attire près d'un million de personnes, bandes de motards inclus. Qu'est-il vraiment arrivé à Bodaway ? Sa mère, l'explosive Lola Wojciechowski (aussi ex-copine d'Henry), débarquera dans l'histoire avec fracas.

"La foule devant nous s'était déjà ouverte pour permettre à une beauté ravageuse d'avancer nonchalamment sur le trottoir, se dirigeant droit sur moi. Beaucoup de femmes perfectionnent le déhanchement à un moment de leur vie, mais elles sont bien peu nombreuses à onduler aussi langoureusement que celle-ci. (...) L'Ours fit un large sourire et la femme effectua un flip de cheveux auquel j'aurais accordé la note de 9,5, elle s'avança jusqu'à Henry et lui infligea une gifle qui fit un bruit de tonnerre. L'effet produit sur la foule fut impressionnant, tout le monde se figea instantanément. Elle resta un moment à l'observer, puis exécuta une petite révérence avec ses hanches magnifiques, pivota et s'éloigna sans un mot."

Beaucoup apprécié cette histoire aux personnages drôles, sarcastiques, qui ont du mordant. L'intrigue en elle-même est plus ou moins passionnante mais tout ce qui l'entoure est savoureux. Paysages, ambiance, corruption, personnages forts avec des personnalités pimentées, les liens qui les unissent sont puissants. Ça reste léger. On rit souvent. Les attitudes et façons de penser sont très caricaturales, ce genre d'histoire serait excellente en bande-dessinée.

"On entendit du chahut du côté de la porte. Quelqu'un tentait d'entrer, mais avec la Nation Cheyenne qui la bloquait, les chances pour qu'il réussisse étaient proches de zéro. Tout à coup l'Ours se décala sur le côté, ouvrit en grand, tendit le bras et attrapa le visiteur pour l'attirer dans la pièce d'une seule main. Après avoir retrouvé son équilibre, Eddy le Viking resta là, essayant de faire comme si cette manière d'entrer avait été son idée."

Dès le départ, l'auteur plante l'histoire, le décor. Dès la page deux, on sait de quoi il retourne. On ne perd pas de temps. Pas beaucoup de passages inutiles. Mon seul regret est de peut-être ne pas avoir commencé par le premier tome de la série. Je crois que chacun aborde une enquête différente mais peut-être prend-on plus de plaisir encore lorsqu'on découvre les personnages et leur passé dès le départ puis, au fur-et-à-mesure, dans l'ordre. Dans ce tome-ci, j'ai eu l'impression de ne pas tout savoir d'eux. Comme s'il me manquait un bout. La prochaine fois, je retournerai au tome un et lirai la série dans l'ordre, donc. Quand même une belle expérience, j'ai beaucoup aimé le lieu où le récit prend place. Un paysage à couper le souffle, on pouvait tout visualiser.

"Nous étions en fin d'après-midi et le soleil avait déjà dépassé son zénith, baignant le paysage de rayons horizontaux dorés qui en exacerbaient la beauté. Nous quittâmes la ville, suivant l'Indien sur son Indian, et je ne pus m'empêcher de ressentir un frisson à l'idée de voir la merveille géologique qui nous attendait. (...) C'était l'effet que produisait Devils Tower sur les gens la première fois qu'ils la voyaient pour de vrai. Les photos ne vous préparent pas à l'expérience de la découverte du premier monument des États-Unis. Je ralentis, pour que Vic puisse bénéficier de l'impact maximum du Matho Tipila, comme l'appellent les Cheyennes."

Écrit simplement, on ne se casse pas la tête. Parfait pour se changer les idées dans des moments où une lecture plus laborieuse serait moins opportune. Auteur à recommander ! Bienvenue dans l'Outback américain !

CHALLENGE USA
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Il faut toujours avoir un Craig Johnson qui attend sagement dans sa PAL. Ainsi entre deux lectures plus complexes, retrouver Walt Longmire, Vic et la Nation Cheyenne devient comme une pause délicieuse et même mieux : comme une récompense !

Une évidence trompeuse - toujours traduit par la fidèle Sophie Aslanides - nous embarque au pays de bikers, des vrais de vrais ; ceux avec Harleys, cuir, franges et écussons ; ceux qui se rassemblent chaque année au pied des Devil Towers dans les Black Hills, à la frontière entre le Wyoming et le Dakota du Sud, pour y disputer une course mythique à laquelle Henry va concourir.

Et au milieu de ce troupeau de mâles aux échappements rutilants, il y a Lola. Leur patronne, leur égérie, leur déesse vivante. Dont le fils vient d'être découvert assassiné ; avec qui Henry a eu autrefois une fougueuse liaison ; et dont l'attitude paraît étrange voire suspecte.

Comme d'habitude avec Johnson, aucune mauvaise surprise dans cette douzième traduction de la saga du shérif Walt Longmire. C'est solide, bien ficelé, addictif comme il faut, garanti sans faux col et lisible y compris sans avoir lu les précédents. Et quelques coups de téléphone intelligemment distillés permettent de garder le lien avec Cady, qu'on retrouvera certainement davantage dans le prochain opus…

Bref, les fans de la série seront en terrain conquis et les autres apprécieront sans aucun doute la découverte. Et comme moi, veilleront à toujours avoir un Craig Johnson d'avance dans leur PAL…
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Olala ! Et voilà, déjà terminé !
Oui, je reconnais avoir lu assez fébrilement le dernier Craig Johnson qui vient juste de paraître. Il s'agit d'ailleurs du treizième livre de sa série mettant en scène le shérif le plus célèbre du Wyoming, à savoir Walt Longmire.
C'est dans un endroit mythique du Wyoming ( à savoir près du Devils Tower )que vont se dérouler les événements d' » Une évidence trompeuse » . Walt accompagne l'Ours à une célèbre course de motards. Eh oui, notre Nation Cheyenne a plus d'une corde à son arc et est un biker chevronné, contrairement à Walt qui ne connait rien aux deux-roues et entend bien rester ignorant dans ce domaine.
A peine arrivés, les deux amis vont être sollicités pour enquêter sur l'accident dont a été victime un jeune motard… On se doute bien qu'il ne s'agit pas d'un accident…Le hic, c'est que la mère de la victime se nomme Lola…Lola, cela ne vous dit rien ? La petite-fille de Walt et surtout la voiture de l'Ours ont le même prénom….
Entre gangs de motards, trafiquants d'armes, et Vic la terreur qui arrive à la rescousse, on se doute bien qu'on ne va pas s'ennuyer dans ce dernier épisode
Bon, je dois reconnaitre que même si ce treizième tome n'a peut-être plus le charme et la puissante des premiers de la série, je ne vais pas bouder mon plaisir. Retrouver l'entourage de Walt Longmire est chaque fois un moment de bonheur et il faut reconnaitre que je ne me lasse pas du style inimitable de l'auteur ainsi que des reparties quelquefois féroces dont font preuve certains personnages. Même si cette fois ci Lucian Connally n'est pas là pour mener le bal ,Vic et l'Ours ne sont pas en reste pour tenir la dragée haute à Walt quand il s'agit de manier les répliques qui tuent !
Bref, je dois reconnaître que les aventures de Walt Longmire ont un furieux gout de revenez-y…Et je continuerais évidemment à me plonger dans ses futures aventures avec le même plaisir…



Challenge ABC 2020/2021
Challenge mauvais genres 2020
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Ce roman nous entraîne dans les grandes plaines de l'ouest des Etats-Unis aux côtés du shérif Walt Longmire, de son ami la Nation Cheyenne (Henry Standing Bear) dit aussi "l'Ours" pour sa grande taille, et de son adjointe Vic qu'il surnomme "la Terreur". On approche le milieu des bikers américains, au coeur de l'enquête du trio.

Le rythme du roman est plutôt lent, l'intrigue va pianissimo. Je l'ai suivie avec intérêt jusqu'à un certain point, mais j'ai trouvé qu'elle retombait un peu sur le dernier tiers du livre. Ce n'est pas un ouvrage lu d'une traite, mais en plusieurs soirées, l'intrigue ne m'a pas tenue en haleine. C'est pourquoi il manque une étoile à mon ressenti, mais c'est la seule raison.

Car en revanche, les personnages sont pittoresques et attachants. On aimerait passer un moment avec ces trois dans un saloon.
C'est un plaisir de les suivre dans leurs aventures. Plusieurs passages sont remarquables, notamment la scène finale de la course de motocross, une scène très visuelle et réjouissante ! J'ai adoré voir l'Ours enfiler son casque, serrer sa jugulaire et mettre ses gants avant d'attaquer cette côte. J'étais parmi la foule, à l'encourager ! J'ai entendu le vrombissement de sa KTM, je l'ai vu voler sur les bosses... c'était fabuleux.
Ou encore la scène du ball-trap, phénoménale avec une Vic tireuse hors pair, un passage à la description magistrale. Une incroyable tireuse mais aussi une conductrice d'enfer, la course poursuite avec Vic au volant est aussi un moment fort de cet ouvrage.

Ce roman aux dialogues prédominants se lit facilement et fait souvent sourire car ces derniers sont bourrés d'humour, ils sont truculents.

Une lecture agréable et divertissante.
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Dans ce nouvel opus signé Craig Johnson, on retrouve des motos et des autos pas banales : une Thunderbird bleu ciel dénommé Lola propriété d'Henry Standing Bear, une motocross KTM avec laquelle la Nation Cheyenne va remporter une superbe victoire, un coupé Hemi Challenger orange fluo loué par Vic. Mais un autre véhicule surpasse tous les autres, et va d'ailleurs jouer un rôle certain dans le récit : un véhicule blindé Mine-Resistant Ambush Protect acquis par la police de Hulett, ville de 400 âmes du Wyoming où se déroule l'essentiel de l'intrigue... un monstre que Walt Longmire va finir par apprécier.

Comme toujours, je me suis régalé avec cette nouvelle aventure du shérif du comté d'Absaroka et de ses acolytes. Une aventure où les engins motorisés sont rois... mais où les armes sont aussi très présentes. Une enquête solide portée par la plume toujours alerte de Craig Johnson, qui manie l'ironie comme personne. Et que dire de cette splendide jaquette, magnifique condensé de l'histoire, symbolisant l'Ouest américain qui nous fait tant rêver... un régal pour les yeux. Vivement la suite !
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« - On est devant un merdier incomparable, et aucun de nous n'a de bottes assez hautes ».
Voilà une maxime qui donne le ton de cet excellent roman de Craig Johnson dans sa série consacrée à Walt Longmire.

Hulett, Wyoming. Un jeune gars est victime de ce qui semble être un banal accident de moto, lorsque Walt Longmire et son ami Henry Standing Bear débarque en ville pour participer à un monstrueux rassemblement de bikers. le shérif local ne peut s'empêcher de demander de l'aide à Walt. Ce qui paraissait relativement simple au début va très vite se compliquer lorsque Henri apprendra que la victime (membre de gang à ses heures) pourrait bien être son fils, et que l'enquête rebondira de soupçon de trafic de drogue, en trafic d'armes, voire pire…
Comme d'habitude chez Craig Johnson, l'enquête policière avance à un rythme de sénateur, excepté, comme d'habitude, dans le dernier quart du roman où tout s'accélère avec un épilogue à la Fort Alamo.
Dans Dry bones, précédent titre de la série, le mari de Cady, la fille de Walt, a été assassiné. On retrouve en filigrane cette enquête qui avance (très) lentement dans cette suite et, on l'imagine aisément, nous accompagnera en fil rouge jusqu'à la fin de la série.
Point crucial de ce roman : on croise le personnage de Sherlock Holmes ! Rassurez-vous, sous la forme d'aphorismes énoncés par la Nation cheyenne qui semble avoir trouvé dans un recueil emprunté à Longmire un esprit semblable au sien, ni déductif, ni intuitif, mais abductif… D'où le titre, qui fait référence à le Mystère de la vallée de Boscombe dans son épigraphe initiale : « Il n'y a rien de plus trompeur qu'une évidence ».
Vous l'avez compris, on passe un très bon moment de lecture dans ce polar western où l'humour de Craig Johnson fait un malheur.
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Lire un roman de Craig Johnson, c'est la certitude de retrouver des personnages que l'on connaît bien, et qui ne nous décevront pas. Si certains se souviennent encore de l'enquête précédente et de son slogan « Sauvez Jen », cela assoit la popularité du shérif presque malgré lui. Pourtant, ce récit aurait dû être presque reposant pour Walt : n'accompagne-t-il pas son ami Henry Standing Bear à une course de moto très populaire, course à laquelle Henry s'obstine à participer depuis des années ? Seulement voilà, un jeune motard a eu un accident peu avant leur arrivée, accident qui n'en est sans doute pas un, et Walt est sollicité pour enquêter. le jeune motard est en effet le fils d'une certaine Lola. Oui, LA Lola à cause de laquelle la Thunderbird bleu ciel de l'Ours, et la petite-fille de Walt par ricochet, s'appellent Lola. Enfin nous la rencontrons, pourrait-on dire, femme fatale, égérie des motards, tenant à ce que Walt et Henry Standing Bear lui apportent leur aide. Et qui leur apportera de l'aide, à eux ? Et bien Vic ! Sans oublier Cody, même à distance.
Une évidence trompeuse est une immersion dans le milieu des motards, mais aussi un éclairage sur le passé d'Henry. il est aussi un appel à considérer, reconsidérer tout ce qui peut semble trop évident, ou pas assez. Il apparaît presque comme une pause dans les enquêtes de Walt, loin de son comté d'Absaroka. Je me demande ce qu'il en sera de sa prochaine enquête.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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