Je viens de finir le p'tit livre de
François Léotard.
J'aimais beaucoup philippe Léotard, comme acteur, poète et âme fragile.
Je n'aimais pas l'homme politique F. Léotard
J'ai appris à découvrir l'homme.
Celui qui a su agréable se remettre en question sur la philosophie de la vie.
Ils sont tellement peu nombreux ces personnes...
Je l'ai entendu à plusieurs reprises et ses mots ont résonné à mes oreilles, depuis qu'il s'est penché sur les livres, j'ai découver la culture qui émane de lui.
Alors je me suis dit: \"il faut que tu lises son livre\"
L'écriture me plut tout de suite. Elle a éveillé la curiosité de ses autres livres.
Et moi, de gauche, je trouve que nous avons des valeurs humanistes en commun, alors qu'est-cequi cloche ??
Qu'il est vôté pour Nicolas Sako et qu'il continue à le défendre.
Là je reconnais que je suis surprise.
Il est toujours difficile de remettre en question sa famille politique, mais là, dans ses propos rien ne rejoint les idées du président.
Pourquoi n'arrive-t-il pas à dépasser cette alliance ?
Il semble sincère et clairvoyant dans ses propos.
Il se rend bien compte que la France et ses actionnaires nous entraîne dans le gouffre de la pauvreté, du chômage et de la violence.
Que toutes propositions faites par son ami, sont à l'inverse du bon sen de la vie d'un l'homme.
F. Léotard, pense que les gens de gauches sont de mauvais gestionnaires.
Je l'invite donc à lire: Pourquoi la droite est dangeureuse de J. Généreux.
La fatalité n'existe pas, même en politique...
Et si, simplement, vous vous êties trompé, M. Léotard sur votre amitié concernant ce personnage qui gouverne en roi absolu notre beau pays.
Celui là même qui veut renvoyer les étrangers dans leur pays.
Celui qui casse le service publique, l'école, les hôpitaux, les retraites, la santé...
Celui qui serre la main aux dictateurs.
Je ne peux continuer à imaginer, que vous l'homme de culture vous ne sachiez pas à qui vous avez à faire?
Je vous quitte M. Léotard. Que la vie vous soit douce. Qu'elle vous permette de ne pas perdre la raison....
Respectueusement à l'homme de lettre.