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EAN : 9782080206879
311 pages
Flammarion (10/02/2021)
3.31/5   96 notes
Résumé :
Quelle mouche a donc piqué Charly Picassiette ?
A peine majeur, il veut quitter sa mère poule, leur ferme des collines, leur village. Paris l'attend, paraît-il, et puis la gloire : le garçon s'apprête à publier un " roman " très autobiographique où tous ses proches pourront se reconnaître. Mais Madame Picassiette et ses voisins ne l'entendent pas de cette oreille : pas question de laisser le mioche gâcher sa vie et raconter la leur.
Au Chandoiseau (14... >Voir plus
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Il y a quelque temps l'auteur m'a adressé un message pour me faire part de la sortie de son dernier titre « Un fils à maman ». J'avais été conquise par « Où passe l'aiguille », alors je n'ai pas hésité une seconde à me le procurer en numérique.

Me voilà partie pour un pavé d'un peu plus de 600 pages…avec une première de couverture plutôt sympathique et attendrissante.

Je m'y suis attelée ce week-end et j'ai plongé dans ma lecture avec joie. J'ai aimé la plume de l'auteur, pleine de vie, de cocasseries, de rires…

Pas simple pour Madame Jo Picassiette de quitter son fils Charly qui a l'aube de l'adolescence veut s'affranchir du joug maternel. A la ferme, depuis tout petit, ce fils chérit pétrit au quotidien dans les tâches saisonnières et les corvées, remplit bien la vie de sa mère et lui rend de fiers services.

A Chandoiseau on ne s'ennuie pas, il y a de multiples voisins loufoques qui vivent dans le village…qui viennent s'associer au quotidien de cette mère de famille avec leurs caractères bien trempés eux aussi….

C'est surtout l'histoire de Jo Picassiette, surnomée la Bogue, une mère poule qui ne veut pas voir son fils partir pour Paris, car il a entrepris d'écrire un livre sur les gens du village…

C'est par étape que l'auteur fait s'émanciper Charly au regard du chagrin de sa mère, mais il va se passer de nombreux rebondissements, qui emmènent le lecteur jusqu'au bout de cette aventure.

J'ai trouvé ce roman, dépaysant, truculent, drôle, même si on s'essouffle un peu au fil des pages dans cet imbroglio de personnages et d'histoires qui se superposent, mais on retombe sur ses pieds car l'auteur sait où elle nous emmène…

J'ai passé un agréable moment de lecture même si je ne suis pas complètement fleurie…
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Allez viens, je t'embarque au Chandoiseau, plus paumé y a pas !
Ça fleure bon l'air pur de nos campagnes, ça caquette pas mal aussi !
Faut dire que la rumeur court, v'là-t'y pas que le petiot Charly il aurait des envies de prendre la poudre d'escampette ... une histoire de roman ! Pfff quelle drôle d'idée !
Enfin allez ! Te fais pas prier ! Monte crévindiou que je te raconte !

Alors voilà, à la ferme des Picassiette, l'ambiance tourne au vinaigre ... Charly, jusqu'ici enfant modèle à sa maman, se sent pousser des ailes, il tient mordicus à quitter le nid pour voler vers un rêve fou : éditer un roman !
Et attend, le pire : son roman est autobiographique ! Et vas-y que je te balance tous les ragots du hameau, que je te décortique les vices des villageois y compris ceux de ma maman-poule !
Ah oui, je peux t'assurer qu'il prend de sacré risque là le mioche ! S'attaquer à la Bogue, fallait oser !
Heu ... comment dire ... c'est pas qu'elle soit foncièrement méchante Jo mais faut pas trop la titiller non plus, elle est sanguine la daronne.

Mais c'est-y vrai ce mensonge, tu doutes encore sur le dernier Veronique Mougin ?! Bon allez ok je te rajoute une p'tite couche !
PRIMO : c'est le parfait élixir anti-morosité ! le sourire tu auras je t'assure ! Des joutes verbales truculentes et une galerie de personnages brossée avec un humour délicieusement grinçant.
DEUXIO : Derrière la comédie se tisse de belles réflexions :
Sur l'amour maternel qui parfois comme le lierre, étreint un peu trop au risque de devenir étouffant.
Dame nature est, elle aussi, au coeur de l'histoire, omniprésente. A travers le regard de Jo, elle devient personnage à part entière et ouvre la question sur la nécessité, dans ce monde archi-connecté, d'un retour à l'essentiel ...
TERTIO : La divine plume de l'auteure !!! Elle m'avait émue aux larmes avec l'histoire bouleversante de Tomi (« Où passe l'aiguille) ... et me voilà de nouveau conquise dans sa version comédie : enjouée, tendre et adorablement amère parfois.

Alors convaincu j'espère ?!

Incontestablement pour moi : coup de Coeur !
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Pas facile d'être la mère d'un auteur, demandez donc à mesdames Proust ou Flaubert ou encore à celle d'Arthur Rimbaud tout ce qu'elles ont dû supporter. Donc pas question pour Jo Picassiette (surnommée affectueusement "la Bogue" à cause des piquants) de céder à la dernière lubie de Charly, 20 ans, jusque là fils exemplaire, de déserter la ferme familiale pour tenter d'embrasser une hypothétique carrière d'écrivain. Sous prétexte qu'un éditeur a trouvé un intérêt aux quelques pages jusque là gribouillées sur un carnet, il ne peut pas partir à Paris, la plantant là toute seule avec les pommes à ramasser et tout son amour indéfectible de mère sur les bras. Rapidement, Jo va d'ailleurs trouver de l'aide parmi les autres habitants de Chandoiseau (12 maisons, un lac, une médiathèque), oubliant ainsi leurs querelles quotidiennes, car un bruit court que le jeune garçon a trouvé l'inspiration sur place et qu'il raconte dans son roman la vie des villageois, dénigrant à souhait tous leurs travers y compris ceux de sa propre mère. Les voilà donc tous unis contre le délateur, comme ils l'avaient été , il y a quelques années, contre l'implantation de l'hypermarché, qui, malgré tout, de force plus que de gré, avait bien fini par s'installer quand même...

La galerie de personnages que nous dépeint Véronique Mougin, auteure que je découvre, est pour le moins cocasse. J'avoue avoir beaucoup ri au cours de cette lecture. Deux thèmes s'entremêlent allégrement : l'amour maternel et la littérature. Pour le premier, évidemment, il est dépeint dans tous ses excès : cela se saurait si une mère savait le doser correctement. Quand au second, l'auteure l'évoque sous toutes ses facettes, depuis les problèmes au quotidien rencontrés par la bibliothécaire locale jusqu'aux diverses magouilles pouvant influencer l'élection des prix littéraires, en passant par l'inspiration, l'édition, etc, le sujet est si vaste. C'est loufoque, certes, mais entre les échanges verbaux savamment épicés, c'est le retour à l'essentiel et à la nature qui est prôné.

J'ai adoré la plume de Véronique Mougin qui mélange avec talent, tendresse, cruauté et humour, tout en étayant son texte d'exemples fort bien choisis. Quelques longueurs sur la fin m'empêchent d'accorder la note maximale mais c'est un 17/20 qui clôt cette ode à l'amour inébranlable d'une mère.
Ce roman entre dans la sélection pour le prix Charles Exbrayat 2021 remis à la fête du livre de St Étienne, auquel participe la médiathèque de ma commune, aux côtés de "Nord-Est" d' A. Choplin et d' "Ici commence le roman" de J. Berthier. C'est évidemment vers "Un fils à maman" qu'ira mon vote, sa drôlerie caustique aurait certainement séduit notre écrivain régional.
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Quel plaisir de retrouver l'écriture pétillante de Véronique Mougin !
Elle nous emmène, cette fois, au Chandoiseau, tout minuscule village menacé d'un côté par l'extension du supermarché voisin et de l'autre par les vapeurs méphitiques du lac. C'est dans "ce trou de verdure" que vivent la vieille Suzanne qui n'y voit plus guère, Saturnin Fabre, le maire muet, Ari Lemercier, "agent polyvalent d'exploitation", sa femme et ses cinq enfants, Mademoiselle Sophie, l'intransigeante bibliothécaire, Yvonne Zambard, la prof de lettres, Nelson, l'ado rescapé de l'évacuation d'un camp de réfugiés, Paul Le saule, Albert le noyer, La Perchée, la poule, Marguerite, la vache, Charly, le jeune écrivain dont tous les habitants voudraient qu'il reste en herbe, et enfin Jo Picassiette, la mère de ce dernier, l'insoumise, la grondeuse, aussi rugueuse que l'écorce des arbres qu'elle chérit. Dans cette histoire échevelée qui cavale comme la Muse dans ses débordements intempestifs, on croise aussi Géronimo, Vitalie Rimbaud, Caroline Baudelaire, Jeanne et Marcel Proust, des éditeurs, des journalistes, des écrivains, des lecteurices, ainsi que la chevelure incertaine d'un célèbre animateur d'émission littéraire.
C'est en définitive tout un monde que l'auteure bascule sens dessus-dessous, généreusement aidée en cela par Charly qui situe son premier roman au Chandoiseau. Et c'est là que le bât blesse car les Chandoisiens ont bien de la peine à se reconnaître dans un livre où le réel se superpose un peu trop à la fiction! Menaces, intimidations, intervention musclée lors d'une rencontre en librairie, lâcher de taureau dans un salon du livre... rien n'y fait ! Voilà Charly proclamé écrivain et ses compatriotes sommés de rester personnages bien rangés entre les pages de son roman.
Mais celle qui dit non alors qu'elle est toute broyée de l'intérieur par cette trahison, celle qui renâcle, s'exaspère, s'accroche à l'image d'un petit garçon en bottes jaunes, celle dont le corps, l'âme et l'existence se cabrent et se tordent d'un chagrin déguisé sous une colère rémanente, c'est Jo, la maman qui voit son fils se détacher de leur histoire commune. Par fines touches, l'auteure laisse affleurer un immense désarroi derrière les maladresses et les excès du personnage. Cependant ce point de vue sur les relations parents-enfants est enrichi, complété, au fil de l'intrigue si bien qu'il n'apparaît jamais restrictif. En effet les habitants du Chandoiseau ont tous peu ou prou maille à partir avec leur progéniture et réagissent de manière différente. Suzanne, par exemple, sacrifie ses habitudes et son confort pour suivre sa fille alors qu'à l'inverse Yvonne fuit la présence de ses enfants. Dans cette cavalcade tonique et réjouissante, la nature semble être le seul élément stable auquel se raccrocher... jusqu'à ce qu'elle menace de tout balayer !
Un enfant peut-il enserrer sa mère dans son oeuvre ? Peut-il donner ses proches, sa famille, leurs histoires, en pâture aux lecteurs ? Existe-t-il des mots, des phrases, des images, pour raconter sans dénaturer de quoi est fait l'amour d'une mère ? le roman de Véronique Mougin interroge toutes ces thématiques avec un humour frondeur dénué de toute méchanceté. La tendresse indulgente qui enveloppe chaque personnage semble déborder des pages et colorer la lecture. Dans une malicieuse mise en abymes, la fiction romanesque se révèle et sert de révélateur à tout ce qu'elle maintient généralement hors-champ et c'est absolument savoureux !
J'ai dévoré "Un fils à maman", entraînée par le rythme de la narration et par la subtilité de l'écriture qui sonne toujours juste, que ce soit dans la loufoquerie de certaines situations, dans l'évocation du rapport sensuel qu'entretient Jo avec la nature ou dans la langue fleurie des dialogues. Et, la dernière page tournée, mon enchantement perdure et contamine le réel. Puissance de la littérature !
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De mon expérience de cadette, j'ai tiré une leçon : être celui ou celle qui arrive en deuxième position, juste après un numéro un particulièrement réussi et irréprochable est une très mauvaise idée. de mon passage à l'Éducation Nationale, j'en ai tiré une autre : ne jamais (jamais, même quand la langue vous démange de balancer froidement « votre gosse est un chiard que je rêve d'étrangler vingt fois par jour », ja-mais !) perdre de vue que tout enfant est la prunelle des yeux de quelqu'un et que, à ce titre, la plus petite critique mérite un minimum d'égards. C'est donc avec le plus de délicatesse possible que je viens ici apporter une petite note discordante dans le concert d'éloges qui accompagne la venue au monde du « Fils à maman » de Véronique Mougin…Car dieu sait que je l'attendais ce deuxième roman, celui qui allait me faire replonger avec délectation entre les lignes de cette formidable raconteuse d'histoire au style subtile et élégant dont on sentait affleurer l'humour, malgré le contexte historique dramatique, de « Où passe l'aiguille ». J'ai donc eu toutes les peines du monde à accrocher avec la tonalité volontairement cynique et délibérément provocatrice adoptée par l'auteure d'un bout à l'autre de ce roman dont j'aurais apprécié qu'il reprenne son souffle entre deux boutades afin de me laisser savourer, sous les piquants de « la Bogue », cette douceur duveteuse qu'il m'a semblé apercevoir. J'aurais préféré, à l'humour vachard et monochrome si difficile à tenir sur la longue durée d'un roman, un nuancier d'émotions où j'aurais pu retrouver, entre deux fous rires, celles qui m'avaient broyé l'âme, à moi aussi. Il me semble que, cette fois, Véronique Mougin a pêché par excès de pudeur, dissimulant sous une couche peut-être un peu trop épaisse de désinvolture cette douleur venue d'on ne sait où qui désarçonne les mamans des enfants qui s'en vont, laissant derrière eux des bottes en caoutchouc jaune, taille 26, et les contours flous d'un petit bonhomme. Mais il me semble aussi que je joue les rabat-joie et que je suis la seule à le penser, alors, lisez…et on en reparle !
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Citations et extraits (39) Voir plus Ajouter une citation
- Elle était mignonne, mon Isabelle, toute pimpante, toute fraîche, avec ses petites jupettes. Elle est allée se coucher, en haut des escaliers elle m'a dit "bonsoir maman", je m'en souviens encore.
- Je m'en souviens aussi, Suzanne, elle est redescendue le lendemain, je connais l'histoire, c'est bon, ne vous fatiguez pas.
- Oui, elle est redescendue, et comment ! D'abord j'ai entendu le bruit, j'ai levé la tête, et j'ai tout vu : les chaînes,la cape, l'épingle à nourrice je pouvais pas la voir, hein, elle me l'a montrée après, mais ses cheveux, tu aurais vu ses cheveux, Jo ! Tout levés, tout noirs, tarte qu'elle était, mon Isabelle, d'un coup, comme ça, bam, tarte, du jour au lendemain.
-" Dark", Suzanne, pas tarte, "dark". Gothique, si vous préférez.
- Si tu veux, Jo, mais quand même, d'un coup, comme ça, ça surprend.
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Jo avait depuis longtemps l'écoute sélective : quand une nouvelle ne lui convenait pas, elle fermait les écoutilles et feignait de n'avoir rien entendu. Mais cette fois-ci, c'était différent, quelque chose coinçait pour de vrai. La phrase de Charly lui sautait dans l'oreille, jusque-là rien d'anormal, elle lui résonnait dans le conduit comme les grandes orgues de la cathédrale du Préfleuri puis glissait au ralenti, presque à reculons, jusqu'à l'orée des neurones où elle patinait avant de caler, tétanisée par un virage terrible, ou bien par un bouchon, un éboulis, un poste-frontière, un barrage infranchissable, nul ne le sait, mais c'était le blocage, l'allergie, l'œdème auditif majeur et inexpliqué, l'information ne passait pas.
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Jo jeta un coup d'œil à l'écran : l'image, pour une fois dans ce pays de collines, était d'une netteté irréprochable. D'ailleurs, huit matous regardaient le JT allongés par terre, une dizaine d'autres s'étalaient en pachas sur le canapé. Sous les fenêtres, au coin de la cheminée, derrière les rideaux, l'ombre bougeait aussi. Régulièrement, les services sociaux débarquaient chez Suzanne afin de vérifier l'antique rumeur : une septuagénaire isolée trompait sa solitude en recueillant les chats perdus dont le nombre, changeant selon les interlocuteurs, dépassait toujours la centaine. Tout le village finissait par connaître la date confidentielle de la visite sanitaire, ce qui permettait à Charly d’exfiltrer la quasi-totalité des félins afin que la vieille Suzanne n'en affiche le jour J qu'un nombre socialement correct compris entre deux et quatre. La dernière fois, il avait fallu atteler une remorque au vélo et douze allers-retours pour déménager la meute.
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Et puis un soir, le nouveau (né) avait accroché ses yeux dans les siens, sans ciller, sans lâcher, jusqu’à ce que Jo le voit et elle l’avait vu, plus que vu même, senti, respiré tout entier, ses bras potelés et doux, son parfum de buis cuit à la cuillère, la merveilleuse rondeur de ses épaules sans oublier, celle de ses orteils qui, la nature étant généreuse, n’étaient pas moins de dix, et ses tâches de rousseur, chaque paillette d’or mat sur le nez minuscule, d’un coup toute cette perfection lui avait sauté aux yeux, alors était arrivé ce qui arrive souvent avec les bébés : elle était tombée à pieds joints dans l’amour de lui.
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Le noyer faisait celui qui n’entend pas. Il se contentait de regarder Jo de haut, les branches tombante et la cime fière, dans une sorte de fatalisme arboricole, à moins que ce ne soit une forme d’égocentrisme absolu - ce qui n’aurait étonné personne dans le coin, le noyer ayant toujours semblé imbu de lui-même, avec son tronc immense, ses feuilles glabres et ses récoltes indécentes.
Jo n’était vraiment pas d’humeur à supporter ce genre de comportement. Elle se redressa, saisit son panier et partit sans dire au revoir.
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Pour vous servir de Véronique Mougin aux éditions J'ai Lu https://www.lagriffenoire.com/38014-divers-litterature-pour-vous-servir.html
Où passe l'aiguille de Véronique Mougin aux éditions J'ai Lu https://www.lagriffenoire.com/136090-romans--ou-passe-l-aiguille---le-destin-extraordinaire-de-tomi.html
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