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Opus 6 du Disque -monde : Où Pratchett rend hommage à un autre grand anglais :le grand Will Shakespeare . Evidemment Macbeth revu par lui ça a une autre gueule. Mais il y a les trois sorcières Mémé Ciredutemps, Nounou Ogg (ma préférée) et Magrat Goussedail, et , en gros le même scénario , en très gros...Sans compter quelques réflexions sur la royauté qui auraient pu intéresser les Windsor.
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Je continue sur ma lancée du Disque-Monde, c'est bénéfique pour ma carrure de crevette : de soulever tous ces tomes des Annales ma morphologie se renforce à en devenir presque athlétique...mais gare à l'excès, ça pourrait me gonfler : la fameuse hernie discale! Procédant comme au tiercé, c'est-à-dire dans le désordre, mon choix s'est porté cette fois pour le 6eme de la série : "Les trois soeurcières". " On lit comme on aime ! " comme dirait l'autre à Charles! Mais au final je m'y perds pas trop car le livre intègre le cycle des sorcières dont j'avais lu "La huitième Fille" récemment...Halte à la digression autobiographique, lever de rideau sur le bouquin en question !
Dans les chaumières des montagnes du Bélier trônent en bonne place les cornues parmi les ustensiles de cuisson...Normal c'est une région réputée pour sa magie (et sa décoction d'intérieur !). Au cours d'une nuit agitée, tant en événements que par les éléments naturels, trois sorcières locales (Mémé, Nounou et Magrat) réunies sous la pleine lune pour un sabbat convivial autour d'un chaudron (pas très magique pour le coup car glougloutant prosaïquement de thé au lieu d'une bonne soupe de jusquiame ou de sempiternelle bave de crapaud !) glosent joyeusement en se lubrifiant le gosier de quelques lampées théinées. Toutefois les sages libations s'interrompent lorsque surgit un carrosse poursuivi par trois cavaliers chargés de récupérer le couffin se trouvant à l'intérieur... le cocher confie le bébé in extremis au trio d'herbières avant de succomber à un carreau décoché par l'arbalétrier en chef à ses trousses...Ce dernier ne parviendra pas finalement à extirper le poupon des bras noueux de Mémé par l'épée, embroché par l'un de ses propres compagnons d'armes qui fuira vers la mer tandis que l'autre survivant détalera vers le château de Lancre pour rapporter les faits... En effet les trois sorcières se sont vues légué un cadeau bien emmailloté d'origine royale : une couronne se trouve dans le carrosse. Il s'agit du rejeton du roi de Lancre... Enfin ex-roi puisque Vérence le monarque est passé du sceptre au statut de spectre lors de la nuit de la courte dague par le biais de la main assassine du Duc Kasqueth qui lui pique donc la place ! Bref les trois sorcières qui ne se mêlent pas des affaires des autres placent le bébé aux bons soins d'un gentil couple dirigeant une troupe de théâtre itinérant et pensent qu'on en entendra plus parler dans le coin... Oui mais les sorcières sont lunatiques par essence alors elles pourraient bien avoir un rôle à jouer en lien avec ce garçonnet dans le futur...
Je n'en dévoile pas davantage. Lisez ce bouquin savoureux foisonnant d'idées et thématiques intéressantes comme l'importance de l'acquis sur l'inné, les moeurs monarchiques vues avec humour (despotisme, torture,complot,droit de cuissage,etc), la magie (des sorcières, du théâtre ), le pouvoir des mots (tant par l'élocution que par la faconde). La galerie des personnages bigarrés est particulièrement bonne : les sorcières évidemment, le Fou sans oublier le chat Gredin dont vous vous ferez les gorges chaudes... Tout est relié avec brio globalement !
Ma carence dramatique en dramaturgie m'aura cependant empêché de profiter pleinement des oeillades à Shakespeare...
P.S : le morceau d' Acid Witch "swamp spells" ferait une bonne bande-son en arrière-fond durant la lecture.
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« Trois soeurcières » est le 6ème volume (mais aucune importance pour la compréhension de l'histoire) extrait du cycle de romans de Terry Pratchett intitulée « Les annales du Disque-Monde ». Sous un style fantasy et burlesque (le Disque-monde est un monde magique et imaginaire de forme plate et circulaire, soutenu par quatre éléphants, eux-mêmes juchés sur la carapace d'une tortue géante naviguant lentement dans le cosmos), il s'agit d'une satire de notre société puisque les caractères et comportements de ces personnages, irréels et imaginaires, sont foncièrement humains et les situations étrangement familières.


Ici, le scenario est simple : Dans ce monde magique, le Roi s'est fait assassiner par un Duc et son épouse qui voulaient prendre sa place à la tête du royaume. Mais l'esprit du royaume tout entier (personnages, fantômes, végétaux, animaux, etc…) se révolte contre ce Duc imposteur et violent qui préfère le pouvoir au royaume et les opprime à présent : On sollicite l'intervention des sorcières, seules à pouvoir lutter contre le Duc…


Le fou du nouveau Roi affirme alors que seuls les mots peuvent rivaliser contre les sorcières : Il soutient qu'ils possèdent leur propre magie et que, pour rallier le royaume à sa cause tout en se débarrassant des sorcières, il suffirait de faire courir la rumeur selon laquelle tous les maux viennent des sorcières, tandis que le nouveau Roi est un modèle de vertu !


Or, quel moyen plus sûr de diffuser ce message que par les théâtres ambulants qui se produisent dans tout le royaume ? le fou commande donc à un auteur de théâtre une pièce dont il impose le scenario voulu et qui sera jouée au Château pour le peuple. Les sorcières devront alors apprendre à lutter contre une sorte de magie qui leur est inconnue : Celle des mots (et des images) qui circulent et s'impriment dans l'inconscient du public, jusqu'à former des souvenirs – et que sont les souvenirs sinon l'Histoire réelle du pays ? le théâtre ne raconte-t-il pas la vraie vie… ? Reste à savoir si les « trois soeurcières » sauront s'adapter et apprivoiser cette nouvelle sorte de magie, celle des mots et de la façon de les dire, bref : de la communication…


« - C'est nous, dit-elle. Autour de ce chaudron ridicule. C'est nous que ça représente, Gytha.

Nounou Ogg marqua un temps, elle écouta le texte.

- J'ai jamais provoqué de naufrage ! se récria-t-elle. Elles viennent de dire qu'elles ont naufragé des gens ! J'ai jamais fait ça, moi ! »


« Celui qui a écrit cette pièce en connait un bout sur la magie [des mots]. Moi-même, je crois à ce que je vois et pourtant je sais que ça n'est pas vrai.
[Le théâtre] c'est l'Art qui tend un miroir à la Vie. Voilà pourquoi tout est à l'envers.
On a perdu. On ne peut pas lutter contre ça sans devenir exactement ce qu'on n'est pas. »


*****

Bien-sûr, ce monde magique et caricatural est imaginaire et fait pour rire... Et pourtant. Nos souverains ne commandaient-ils pas des pièces de théâtre aux auteurs les plus doués ? Certains régimes totalitaires ne manipulent-ils pas leur peuple en contrôlant la communication ? Et si le théâtre est parodié avec brio (certains passages de ce livre m'ont fait penser à « Sors de ce corps, William » de David Safier), les services de presse et de communication ne jouent-ils pas également un rôle essentiel dans nos vies actuelles, quitte parfois à déformer la réalité de ce qu'ils nous vendent ? Ainsi, sous couvert d'une histoire sans prétention accompagnée d'un ton humoristique, ce récit a un petit air de fable de la Fontaine et nous fait redécouvrir l'importance de la communication au service du pouvoir.


Outre le côté satire burlesque, c'est d'ailleurs grâce au style vif et humoristique de l'auteur, riche en jeux de mots, qu'une récalcitrante à la fantasy comme moi s'est plue à découvrir ce roman ; Les soeurcières échangent des remarques amusantes, doux mélange de tradition et de modernité – comme ce monde un peu barré créé par l'auteur et qui ne peut qu'éveiller nos sens.


«Le garde regarda les bracelets magiques, la cape doublée, la main tremblante et la figure. La figure était particulièrement inquiétante. Magrat ayant abusé de la poudre pour obtenir un teint pâle et avantageux, la combinaison avec le mascara badigeonné copieusement donnait au garde l'impression d'observer deux mouches qui venaient de s'écraser dans un bol de sucre. »


Avis aux amateurs de fantasy, mais pourquoi pas aussi à ceux qui souhaiteraient débuter dans le style (même si ça m'a demandé un temps d'adaptation), ou encore aux amateurs de satires !

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Trois soeurcière est le 6e tome des annales du disques monde, l'oeuvre majeure de Terry Pratchett. J'ai mis 12 jours à le lire alors qu'il fait moins de 300 pages … Pourtant, ce n'est pas que je n'ai pas aimé, j'adore l'écriture de Terry Pratchett et son côté à la fois complètement loufoque et plein d'esprit.

Ce livre commence par le régicide du roi Vérence par un duc ambitieux. L'héritier du trône, encore bébé, est kidnappé, puis secouru par 3 sorcières qui vont réussir à le mettre en sûreté auprès d'un couple gérant un théâtre itinérant. Donc jusque là, on est dans un schéma classique. Dès le début, on sait comment ça va finir, mais c'est longuet, ça manque un peu de péripéties. le début du roman part un peu dans tous les sens. Pendant plus de la moitié du livre, j'ai eu l'impression d'être dans le prologue, de ne pas être encore rentrée dans le vif de l'histoire. En bref, je n'ai pas accrochée à l'intrigue, donc je ne lisais que quand je n'avais rien d'autres à faire. Heureusement, l'écriture de Terry Pratchett, son humour déjanté et complètement loufoque et les personnages hauts en couleurs m'ont permis de tout de même apprécier ma lecture. Les personnages principaux sont très amusants, notamment les trois sorcières. Il y a Mémé Ciredutemps, la doyenne acariâtre, Nounou Ogg, l'extravertie qui aime profiter de la vie (surtout, bien manger, boire et chanter des chansons paillardes…), et Magrat, la plus jeune, traditionaliste des pratiques de la sorcellerie, et assez naïve. J'ai également beaucoup aimé le fantôme du roi de Lancre, Vérence, et le fou, ils m'ont fait bien rire.

Dans ce tome, Terry Pratchett fait l'éloge du pouvoir des mots, qui bien maîtrisés peuvent subjuguer des foules et accomplir des miracles. En parlant de mots, c'est leur maniement qui fait tout le génie de cet auteur, à mes yeux en tout cas. D'ailleurs mon copain s'est aussi plongé dans un tome des annales du disque monde en même temps que moi (il est fan de Terry Pratchett) et le soir, en lisant côté à côte, on interrompait régulièrement notre lecture pour partager à haute voix un passage qu'on trouvait particulièrement drôle ou recherché.

En bref:
Ce que j'ai aimé: l'humour cocasse et déjanté, les jeux de mots pleins d'esprit et les personnages tous excentriques.

Ce que je n'ai pas aimé: l'intrigue, je n'ai pas réussi à vraiment rentrer dedans, et sans la magie de l'écriture de Terry Pratchett, je n'aurais pas pu terminer ce livre je pense.

Lien : https://theteapotlibrary.wor..
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Un très bon tomeC'est le sixième et la série ne semble pas s'épuiser.Terry Pratchett a la bonne idée de renouveler les personnages.Seul le disque monde ne change pas mais pour une fois Ank Morpok (la ville dont l'ai est sain car les germes ne peuvent pas y survivre) est seulement brièvement évoquée.Comme toute la série (au cas où vous ne la connaissez pas) :- les tomes sont souvent indépendants- il faut abandonner toute vraisemblance et c'est tant mieux !L'exagération pittoresque règne en maitre.Ce que j'ai aiméC'est toujours aussi drôle et pittoresque.Ce que j'ai moins aiméQuand même une répétition s'installe.En conclusionJe lirais le septième tome avec plaisir !
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Ce tome est parmi les meilleurs des Annales du Disque-Monde. C'est la première fois qu'on voit le trio de sorcières. (Mémé était déjà apparue dans des livres précédents mais seule). Magnifique roman qui est une parodie de Macbeth et un peu de Hamlet
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Imaginé que trois sorcières se doivent de rétablir l'ordre des choses et rendre le trône à l'héritier légitime, trône occupé par un ingrat très soumis par sa femme. Imaginé la mort qui se décide à jouer dans une pièce de théâtre dans son propre rôle...

Je suis sûre d'avoir eu un sourire niais le long de ma lecture de ce tome des annales du disque monde. Je ne vois pas que de la fantasy dans ce roman mais un moyen pour l'auteur de montrer tout son talent dans la parodie et le comique. Car les situations comiques s'enchaînent.
les trois sorcières sont très différentes et pourtant on les adore toutes les trois. Mémé Ciredutemps, acariâtre et acerbe, la doyenne des sorcières. Nounou Ogg, la bonne vivante mère de famille. Magrat, la petite sorcière romantique qui s'entichera du fou du roi.
Lien : http://louvinette.over-blog...
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C'est le grand retour de Mémé Ciredutemps...Apparue (dans ma memoire en tout cas) dans La Huitième Fille, ce personnage est l'héroïne de ce roman. Et quel personnage haut en couleur.
Spéciale dédicace à Gredin, petit coup de coeur pour moi.
Une apparition de Léonard de Qyrm...et une mise en valeur du théâtre. Un tome bourré de références, comme souvent avec Pratchett...
C'est donc l'histoire d'un régicide pas du tout assumé, de la non intervention des sorcières dans la vie des mortels, d'un voyage dans le temps qui ne respecte aucun paradoxe temporel, et du destin que l'on est pas obligé de respecter, le tout couronné par la merveilleuse mauvaise foi de Mémé.
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J'ai décidé récemment de me procurer une bonne partie de la suite de la saga du Disque-Monde et de lire enfin les différents tomes, mais dans l'ordre, pour pouvoir enfin me targuer d'avoir lu (ou tout du moins commencé à lire) la plus longue saga de fantasy jamais écrite. Et puis pour pouvoir à nouveau rire un bon coup. Parce que c'est tout de même l'auteur qui m'a fait le plus rire de toutes mes lectures jusqu'à maintenant. Et puis c'est l'occasion de retrouver la fameuse Mémé Cirdutemps, la sorcière la plus puissante qui ai jamais existé dans le disque-monde. Alors replongeons dans ses annales !

Terry Pratchett est un sacré génie de la littérature, ce n'est plus à prouver (du moins j'espère), et cet opus du disque-monde ne fait que me confirmer ce talent sous-jacent à l'ensemble de son oeuvre. Déjà parce que Pratchett est un des rares auteurs humoristiques a pouvoir fournir une telle qualité dans son humour, et ce de façon constante dans la série. Mais c'est également un auteur de talent quant aux références qui parsèment le texte, tout comme sa capacité à détourner, parodier, réutiliser tout ce qu'il veut.

Si je parle de ceci avant de commencer, c'est bien parce que ce tome est un énorme hommage au plus grand écrivain qu'il ait jamais existé dans l'ensemble de l'histoire anglaise, William Shakespeare. Terry Pratchett se ré-approprie ici les textes de l'auteur (et notamment MacBeth) pour nous livre un roman hilarant sur trois sorcières des montagnes du Bélier (près du Moyeu) qui réécrivent une histoire légendaire. Rien que le pitch de base donne envie de se plonger dedans non ?

En toute honnête, ce tome est à mettre dans le haut du classement des Annales du Disque-Monde. Une inventivité débordante jaillit des pages pour nous refaire Shakespeare en direct, tant au plan historique que dans ses oeuvres, reprenant passages de textes, histoire et principe, parlant du théâtre et des sorcières, ce tome est l'incarnation de l'hommage parodique réussit de bout en bout. Tout tiens debout, tellement que je me demandais au milieu du tome si je n'avais pas atteint la conclusion, avant que le récit en rebondisse pour un deuxième acte tout en subtilité qui se conclura magnifiquement par le Happy End qu'on attend de tout les tomes du Disque-Monde, mais toujours avec des nouveautés et des idées délirantes. C'est tordant, j'en ai lâché la lecture pour rire tout mon saoul a trois reprises, et j'ai pleuré de rire à certain moment. Rire jusqu'à en avoir mal aux côtes tout en étant surpris de l'ingéniosité, émerveillé des parodies et dépité de ne pas pouvoir repérer toutes les références, c'est plus qu'un talent d'écriture, ça confère à la magie, non ?

Bref, un tome qui m'en a mis plein la vue, et ce n'est pas rien de le dire. Une inventivité folle pour une reprise de Shakespeare sans précédent, follement drôle et prenante en plus. Des personnages adorables qu'on suit avec un sourire sans cesse accroché, et tout cela avec une plume qui mélange des citations et détournements aux traits d'humour habituels de l'auteur. Rien de moins qu'un livre qui rentre dans mon best-of du genre, et pour qu'un livre d'humour y rentre, croyez-moi, faut se lever tôt ! Terry Pratchett l'a fait, et avec une classe qui confère au génie. Rien que pour ça, je dis Sir Terry Pratchett, s'il-vous-plait.
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Avec Trois soeurcières, Terry Pratchett nous livre le plus shakeaspirien des romans des annales du Disque-Monde.

Trois soeurcières est le sixième volume des annales du Disque-Monde et le deuxième du cycle des Sorcières. Nous y retrouvons la truculente Mémé Ciredutemps et deux de ses acolytes: Nounou Ogg et Magrat.

Magrat, jeune sorcière, essaie de redonner aux réunions de sorcières leurs fastes d'antan. C'est par une nuit de tempête que nos trois protagonistes se retrouvent pour un convent de sorcellerie. C'est alors que la grande Histoire tape à la porte. le roi Verence a été lâchement assassiné et son héritier légitime, un nourrisson a été subtilisé au criminel de son père.

Et à qui est-ce qu'on confie le moutard?

Vous l'avez deviné, à nos trois sorcières. Qui contrairement à leurs sacro-saints principes, vont devoir s'en mêler.

Trois soeurcières est un bon cru de Terry Pratchett. L'intrigue est riche et bien ficelé. Les personnages sont toujours aussi bien campés mais cette fois ci, ils ont tous un rôle dans l'intrigue.

Un roman de fantasy humoristique à la sauce Shakespaere très réussi.

La chronique complète est sur le blog:
Lien : https://www.docteurfataleaus..
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