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EAN : 9782073015068
352 pages
Gallimard (12/01/2023)
3.92/5   86 notes
Résumé :
« Tuez-moi, sinon vous êtes un assassin. » Telles sont les dernières paroles de Franz Kafka qui implore une autre dose de morphine à Robert Klopstock, son ami étudiant en médecine. À son chevet, sa compagne Dora Diamant veille sur lui. Tandis qu’Ottla, la sœur chérie, attend à Prague des nouvelles.

Robert, Dora, Ottla : ce roman raconte l’histoire de ces trois personnages clés de la vie de Kafka et entrecroise leurs destins, marqués au-delà de l’imagi... >Voir plus
Que lire après Franz Kafka ne veut pas mourirVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (21) Voir plus Ajouter une critique
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Franz Kafka ne veut pas mourir est un roman rempli d'humanité et l'on reconnaît la plume de Laurent Seksik empreinte de nostalgie, de fascination pour ces grands de la littérature ou du monde scientifique.
Après, son roman : Les derniers jours de Stefan Zweig, on continue à être séduit par le talent de conteur de L. Seksik qui retrace avec tant de brio, de pudeur la vie de ces hommes qu'il s'agisse de Zweig, de Romain Gary, d'Einstein et ici celle de Kafka.
J'ai eu la chance de le rencontrer pour la parution de son précédent roman, il y a deux ans, à la librairie le Divan à Paris. Quand il avait évoqué ce roman sur Kafka, ses yeux pétillants d'intelligence et de bienveillance m'avaient donné déjà l'envie de lire ce roman.
Et, je n'ai pas été déçue mais si à priori le monde de Kafka m'est plus lointain et obscur que l'univers de Romain Gary et Stefan Zweig.
Pour écrire son roman, Laurent Seksik a choisi de mettre en lumière Kafka par trois personnes très proches de l'entourage de celui-ci.
Sa petite soeur: Ottla, Dora Diamant avec qui il aura une liaison amoureuse de quelques mois à Berlin et un jeune étudiant en médecine : Robert Klopstock qui assistera les derniers jours et l'agonie de Kafka.
Ces trois voix s'alternent pour nous raconter leurs liens avec Kafka, de la rencontre avec ce dernier jusqu'à la mort de celui-ci.
Puis les années de la montée du nazisme jusqu'à la fin de la guerre et de l'après-guerre. Années très éprouvantes pour ces trois personnes puisque toutes trois juives.
Néanmoins, leur but est de faire connaître et apprécier Kafka aux yeux du monde entier.
Dora, sa "femme", communiste, est très touchante avec la brosse à cheveux de Kafka qu'elle conservera envers et contre tout.
Ottla, sa petite soeur qui comprenait si bien son frère et le mettait à l'abri des foudres du père de Kafka. A cette occasion, Laurent Seksik écrit de très belles pages sur l'amour filial entre un père et son fils, un thème qui lui est très cher.
Enfin, ce jeune étudiant en médecine : Robert pour qui la rencontre avec Kafka aura décidé d'une grande partie de sa vie.
Au final,Kafka ne veut pas mourir est un roman éblouissant qui nous mène de bout en bout.
Et, cela même si on n'est pas un lecteur kafkaïen averti.
Je vous le conseille.
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Choisi le 20 janvier 2023--Librairie Anagramme à Meudon

Immense premier coup de coeur de ce début d'année
2023 !

Jamais déçue de cet écrivain dont je suis attentivement les publications depuis un fort long moment...

Dans son dernier opus, il met à l'honneur l'homme et l'écrivain singulier qu'était Franz Kafka et ceci dans une construction originale ....

La première partie du récit se focalise sur les trois dernières années de Kafka, de 1921 à 1924, avec les trois personnes les plus proches, l'ayant accompagné, soigné et soutenu jusqu'aux derniers instants :

1. Ottla, sa soeur adorée

2.Robert Klopstock, un jeune ami médecin

3. Dora Diamant,sa dernière compagne

La seconde partie se poursuit après le décès de Kafka...
Nous suivons les parcours d'Ottla, Dora et Robert jusque vers les années 1970....... chacun, à sa manière, fidèle à l'attachement profond à Kafka, restera, par ses choix de vie et de profession, relié à leur écrivain d'ami...et figurent comme " trois Justes" parmi les Justes....

Robert, grâce aux lettres de recommandation d'Einstein et de Thomas Mann, pourra émigrer en Amérique et devenir à New York, un éminent chirurgien spécialiste de la tuberculose;

Ottla, elle, décidera d'accompagner dans les chambres à Gaza un groupe d'enfants juifs, après avoir célébré, au camp de Therensienstadt, le soixantième anniversaire de la naissance de son frère.
Dora, sa dernière compagne se battra toute sa vie, par des conférences et différentes actions,pour la défense et les traductions des écrits de Kafka...

Un texte aussi prenant que bouleversant nous donnant envie de lire et relire les textes de Kafka, avec un regard tout neuf !

Un roman très vivant et fort documenté, prolongé d'une bibliographie, qui nous fait parcourir la Grande Histoire et la petite histoire; pas si petite que cela, au regard de ces trois très belles personnes...aux personnalités brillantes, bien trempées....et humanistes !

Je me dois au moins d'achever cette chronique pour ce livre très original par un extrait concernant le grand personnage fédérateur de ce récit : Franz Kafka....

"Il (*Kafka) ne pouvait être qu'un homme seul, voué à rester un étranger de par le monde, le monde juif comme tous les autres mondes.Et puis, je ne crois pas que Kafka aurait pu s'adapter à un monde en guerre, il n'avait rien du guerrier.
- Vous voulez dire que c'était un faible ?
- Pas un faible, non ! Un être qui doute, ce qui est certainement la forme la plus puissante de l'intelligence humaine. "


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Laurent Seksik a commencé sa vie professionnelle comme médecin. Il s'est ensuite lancé en littérature, écrivant un roman à succès, l'adaptant au théâtre, puis animant une émission littéraire. Un jour, il a fallu choisir, médecine ou littérature. Ce fut médecine et littérature : la radiologie dans le Midi de la France et, en même temps, l'écriture d'une dizaine de livres. Parmi ceux-ci, plusieurs biographies romancées de grands artistes ou scientifiques du vingtième siècle, nés en Europe de l'Est et de confession juive : Stefan Zweig, Albert Einstein, Romain Gary, et désormais Franz Kafka.

Il ne faut pas prendre au pied de la lettre le titre, Franz Kafka ne veut pas mourir. Dans une première partie, le livre relate les dernières semaines de l'écrivain en 1924. Né à Prague quarante ans plus tôt, il est en phase finale d'une tuberculose généralisée. Il en est atteint depuis sept ans et elle le fait souffrir à un point tel, qu'il implore son médecin traitant : « tuez-moi sinon vous êtes un assassin ! » Morphine et débat sur la fin de vie, il y a quasiment cent ans !

Une fois Kafka mort, l'auteur s'attache aux destinées de trois proches : sa soeur Ottla, avec qui il avait entretenu une relation très affective ; une jeune comédienne polonaise, Dora Diamant, qui fut sa compagne des derniers mois ; un étudiant en médecine hongrois, Robert Klopstock, qui à défaut de pouvoir le guérir, s'efforça de soulager ses douleurs pendant son agonie. Tous trois avaient été très attachés à Franz Kafka, s'avouant fascinés par son brio intellectuel, séduits par sa sensibilité et éblouis par ce qu'ils avaient lu de lui.

Leur identité juive les confrontera à la montée du nazisme, qui infectera peu à peu la Mitteleuropa et ses quatre métropoles, Berlin, Vienne, Prague et Budapest. Viendront ensuite la Seconde Guerre mondiale et les massacres génocidaires que l'on sait. Il fallait survivre ! Ottla Kafka n'y parviendra pas. Vingt ans après la mort de son frère, elle sera gazée à Auschwitz, s'étant sacrifiée auprès d'enfants déportés. Dora Diamant, restée fidèle au souvenir de Kafka, échappera par miracle aux traques nazies, puis, après s'être réfugiée à Moscou et s'y croyant en sécurité, aux purges staliniennes. Robert Klopstock parviendra à embarquer pour l'Amérique, où il deviendra un brillant chirurgien spécialiste de la tuberculose.

Au plus profond d'eux-mêmes, Ottla, Dora et Robert garderont l'impression d'une présence de l'écrivain décédé. Ils voudront faire vivre sa pensée, en diffusant, traduisant, commentant ses textes au fur et à mesure de leur disponibilité. Car Kafka, qui se voulait écrivain, n'avait presque rien publié de son vivant. C'est à un autre proche, Max Brod, qu'il devra sa notoriété posthume. Bien que Kafka lui eût demandé de brûler l'ensemble de ses manuscrits après sa mort, cet homme de lettres, ancien condisciple, considéra que son devoir était de faire connaître l'oeuvre et la vision prospective de son ami. Il publiera notamment le Procès, son roman le plus célèbre et le plus emblématique.

Dans le Procès, comme dans la plupart des romans et des nouvelles de Kafka, le personnage principal est un homme solitaire immergé dans un univers mystérieux et oppressant, où il se sent coupable, sans avoir la moindre idée de la faute qu'il aurait commise. Il se débat en vain, sachant qu'il ne peut rien espérer, car rien n'a de sens dans un monde absurde au point d'être par instant grotesque. Une vision prémonitoire des atmosphères hitlériennes et staliniennes !

La lecture de Franz Kafka ne veut pas mourir est très intéressante. Elle apprend et clarifie beaucoup de choses. Mais malgré sa tournure narrative romanesque, c'est du sérieux, on rigole pas ! Un livre pas vraiment distrayant !

Une exception, que j'ai trouvée jubilatoire : l'interrogatoire de Dora à Moscou par un enquêteur obtus et vicieux du NKVD, la redoutable police secrète soviétique. Prompt à reconnaître coupable et à condamner l'ancienne compagne d'un écrivain prétendu « petit-bourgeois », le médiocre inquisiteur découvre stupéfait que Kafka avait décrit avec douze ans d'avance le régime judiciaire pervers dans lequel il officie. Une façon de démontrer par l'humour le pouvoir d'un talent visionnaire !

Lien : http://cavamieuxenlecrivant...
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Franz Kafka ne veut pas mourir, mais , hélas, la tuberculose a raison de lui.
Son entourage veut que son oeuvre vive éternellement, que ce soit Robert Klopstock, médecin et ami, Max Brod, son ami, Dora Diamant, son dernier amour ou Ottla, sa soeur.
La vie de Kafka est vue au travers du prisme de ses proches. Il a eu la chance, si l'on peut dire, d'éviter les violences inouïes perpétrées par les nazis à l'égard des juifs.
Et son oeuvre perdure.
Très intéressant.
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Se sachant condamné par la tuberculose et à la veille de s'éteindre en juin 1924, Frantz Kafka avait réaffirmé son désir que soient brûlés tous ses textes non publiés. Une dernière volonté non respectée, on le sait et une mort prématurée qui laisse finalement aux autres - lecteurs, traducteurs, critiques, intellectuels en tous genre - la charge de présenter voire expliquer son oeuvre. J'ai cru voir là le coeur du roman de Laurent Seksik qui donne la parole à trois personnages parmi les plus proches de l'écrivain et met ainsi en évidence un Kafka quelque peu idéalisé par leurs regards respectifs.

Robert Klopstock est un jeune étudiant en médecine féru de littérature lorsqu'il rencontre Kafka dans l'établissement où il vient soigner sa tuberculose. C'est lui qui l'accompagnera tout au long de sa pénible agonie quelques années plus tard, tout comme il soutiendra moralement Dora Diamant, la dernière compagne de Kafka, la seule avec qui l'écrivain aura réussi à partager une véritable intimité matérielle. Enfin, Ottla, la jeune soeur de Kafka est aussi celle qui ne surmontera jamais la perte de ce frère vénéré. A sa mort, Kafka n'a publié que deux textes courts, sa notoriété est restreinte et ce sont ses amis comme Max Brod qui oeuvreront à le faire connaître. Dans ce roman, ce sont autant les personnages que l'époque qui intéressent l'auteur car la personnalité de Frantz Kafka est fortement marquée par son appartenance à ce territoire d'Europe centrale aux frontières sans cesse remises en question. Un territoire où selon les influences on peut être porté aux nues ou méprisé voire assassiné. Tout en suivant les parcours De Robert (jusqu'en Amérique où il deviendra un spécialiste réputé de la tuberculose), de Dora (que de péripéties !) et d'Ottla (qui sera assassinée dans un camp), l'auteur orchestre le débat autour de l'oeuvre de Kafka au rythme des spasmes géopolitiques qui agitent l'Europe. Et j'avoue que c'est la facette qui m'a le plus intéressée, les tentatives d'interprétation et autres discussions autour de l'essence de l'oeuvre. Avec notamment une scène désopilante d'interrogatoire de Dora à la Loubianka autour du roman le Procès... Rien que pour ce passage je ne regrette pas ma lecture.

On retrouve ici des thèmes et des ancrages chers à l'auteur, sa sympathie confraternelle à l'endroit De Robert - médecin et homme de lettres - est très perceptible tout comme cette volonté de continuer à explorer l'épicentre du fracas du monde. le schéma narratif est efficace et contourne habilement l'exercice biographique pour englober un périmètre bien plus vaste. Intéressante et très agréable lecture.
Lien : http://www.motspourmots.fr/2..
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critiques presse (4)
LePoint
12 juin 2023
Son dernier ouvrage, Franz Kafka ne veut pas mourir, est un roman vrai, poignant et sans pathos, où vous croiserez du beau monde, de Thomas Mann à Karl Kraus.
Lire la critique sur le site : LePoint
LeDevoir
17 avril 2023
Laurent Seksik suit le destin de proches du grand écrivain austro-hongrois.
Lire la critique sur le site : LeDevoir
LeJournaldeQuebec
17 avril 2023
Avec ce livre, l’écrivain français Laurent Seksik fait revivre trois personnes qui ont aidé Franz Kafka à devenir éternel.
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
OuestFrance
20 février 2023
Avec son dernier livre « Franz Kafka ne veut pas mourir », le dramaturge Laurent Seksik raconte un écrivain malade, en proie à l’angoisse. Quelques proches admiratifs feront vivre son génie en le sortant de l’anonymat après sa mort.
Lire la critique sur le site : OuestFrance
Citations et extraits (28) Voir plus Ajouter une citation
- On ne parvient jamais au " Château " et " L'Amérique " de Franz n'existe pas, ou seulement dans nos pires cauchemars. Peut-être d'ailleurs pourrait-on dire qu'aucun texte n'est jamais achevé, que l' achèvement d'un roman n'a aucun sens.Un roman possède une infinité de fins possibles, pourquoi celle-là plutôt qu'une autre? Toute fin est imparfaite, et toute fin est illusoire.Achever un roman c'est en finir avec l'espoir vital du roman abouti et parfait qui vous a fait l'entreprendre .En finir avec l'espoir d"une vie parfaite.

( p.176)
.
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Hermann Kafka n'était pas un monstre et sans doute ne faisait-il que réaliser à la maison les rêves de combat, de guerre, de puissance de tous les hommes : à la maison, le maître de maison, il régentait la vie de sa femme, de ses trois filles, dominait son fils en tous les domaines.Tous les pères ne dominent-ils pas leur fils, avant de les envoyer à la guerre, n'est-ce pas la première raison de la guerre, pour que les pères assoient leur rêve de domination sur leur fils, à l'heure où ils voient leurs fils relever enfin la tête, et s'opposer à eux, reprendre le flambeau de la
domination ? Les fils partent en fanfare à la guerre, vont au sacrifice la fleur au fusil réaliser les rêves de puissance des pères (...)
( p.101)
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Laissez moi, cher Martin, penser,avec cette fois le Joseph K du Procès, penser jusqu'à l'ultime seconde, que je n'ai commis aucun crime, que je ne suis pas condamné à errer comme un chien, à pourrir dans un camp, à mourir décapité à la hache ou accroché à un croc de boucher comme l'on dit que déjà tant de nos amis l'ont été à Dachau.
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Épilogue

1972

Robert

Pour le reste, il avait fait de son mieux.
Il revit en pensée son ami, allongé sur son lit de souffrance, le visage souriant, presque angélique, après qu'il lui eut administré l' ultime ampoule de morphine. Il songea combien il devait à cet homme, songea à la chance que le sort lui avait accordée en plaçant sur sa route un tel monument de la pensée, un tel sommet d'humanité. Il remercia le ciel pour cette rencontre qui avait donné un sens à son existence et changé le cours de sa vie.

( p.325)
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Sans doute, songea Robert, à peine posait-on le pied dans un tel endroit que se voyait balayée toute forme de pudeur et que tout individu, qu'il fût étudiant en médecine ou écrivain, se trouvait réduit à la seule condition de malade, de la même façon que soldat, endossant l'uniforme, on en était réduit à l'état de guerrier anonyme et aux ordres.

( p.47)
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Videos de Laurent Seksik (26) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Laurent Seksik
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