Titre un peu moyen je trouve, pas forcément très bien choisi pour ce texte qui raconte l'Oiseau bleu en deux versions. La version conte inspirée du bon vieux récit traditionnel raconté par un vieux Monsieur Danielli (l'Ogre) qui bafouille un peu et nous y perd, et la version
Catherine Zambon, celle qu'une petite fille adapte pour survivre à son chagrin, à ses peurs, dans l'attente de revoir sa maman revenir du pays du Coma. L'on navigue entre les deux à dos de goélands, sorte d'anges tout droit sortis de l'esprit de l'enfant, bleus comme des oiseaux. Beaucoup de tristesse à surmonter un peu partout dans le récit, et pas mal de belle imagination pour y arriver.