Hero

Les tomes se suivent et se ressemblent, ce n'est pas désagréable mais c'est assez anecdotique, les auteurs ne proposant que quelque chose de très classique et légèrement redondant ^^!



Entre petites aventures sous kotatsu pour les héros et romances contrariées pour leurs amis, on se retrouve à suivre de courts chapitres sympathiques mais qui ne font pas décoller la série et la rendent au contraire plutôt anecdotiques. C'est mignon mais il manque quelque chose.



Alors certes j'apprécie le côté chaleureux de cette saga où tous les personnages nous sont devenus attachants. C'est mignon de voir le couple désormais installé d'Hori et Miya et la façon dont les auteurs arrivent à imaginer leur quotidien à l'aide d'un accessoire typique : le kotatsu. On voit la place que Miya a pris dans la famille d'Hori où il est totalement accepté au point de sembler sans danger, heureusement qu'il sait rappeler à sa dulcinée qu'il est quand même un ado avec des hormones. Mais ça reste bien bien gentillet...



Du côté de leurs camarades, nous avons une Yuki bien embêtée par ses sentiments et sa fausse relation qui fait de la peine Kono / Sakura qui a elle aussi des sentiments pour Toru. Je n'aime pas cette intrigue, ça traîne trop en longueur et j'ai besoin de plus de vérité ici car tout reste malsain et ambigu au final. En romantique et fan du friends to lovers, j'aimerais que Toru rende ses sentiments à Yuki mais je crains que ce ne soit pas le cas... Leur petite histoire à le mérite d'impliquer Sengoku et Remi, l'un des couples improbables de l'histoire. J'aime assez la façon de Sengoku de prendre soin de Sakura l'air de rien. Sauf que tout ça, ça fait plein de petites scénettes totalement anecdotiques au final...



Il faut dire que les choix narratifs des auteurs poussent à cela. Ils construisent leurs tomes sur un ensemble de courtes scènes, courts chapitres, qui parfois ne suivent pas et se voient intercaler avec d'autres histoires, ce qui casse les dynamiques. Tout semble alors gentil mais superficiel. Heureusement ici, comme toujours, on a bons sentiments, des personnages attachants, cette fois dans un joli cadre hivernal chaleureux, mais ça s'arrête un peu là ^^! Je suis contente de faire la série en prêt...
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La série suit son petit bonhomme de chemin et si je suis contente de lire de temps en temps les aventures quotidiennes de ce groupe de lycéens, je suis aussi contente de le faire en prêt et non en achat tant l'ensemble est quand même anecdotique ^^!



Chaque tome permet de retrouver notre couple phare et d'assister à son évolution dans ce cadre très lycéen dont les auteurs reprennent à merveille tous les codes. Plus qu'une RomCom, j'ai l'impression d'être dans une vaste tranche de vie lycéenne où j'assiste à chaque moment de leur vie d'écolier. C'est mignon tout plein mais quand on connaît aussi bien ce type de récit que moi, c'est surtout extrêmement redondant. Heureusement que le ton est fun et les personnages attachants.



Je me suis ainsi amusée dans ce tome à les suivre lors des différentes épreuves de la journée sportives du lycée. C'était charmant de les voir s'encourager les uns les autres, les auteurs jouant sur les liens qui les unissent ou pas, suscitant amour et jalousie. C'était drôle et cocasse. Les épreuves étaient celles qu'on connaît (course de vitesse, combat à cheval, course pour trouver la bonne personne...) mais pour un novice, ça lui permet de bien découvrir la vie au lycée au Japon. Chaque public peut donc y trouver son bonheur.



Les auteurs alternent cela avec des chapitres purement RomCom se centrant à nouveau sur Hori et Kyoko. Même si je le regrette un peu car j'aimerais aussi voir les autres couples bénéficier de la même attention, je reconnais que ça reste toujours aussi mignon. J'aime qu'on nous montre l'étourderie et la légèreté d'Hori, la folie et le masochisme de Kyoko. C'est léger et décalé, hyper mignon et chaleureux. Mais ça reste répétitif et je n'ai pas l'impression que les auteurs aient grand-chose de plus à raconter au bout de 8 tomes...



Alors ils introduisent un mini-développement autour du passé d'Hori avec la promesse de retrouvailles plus apaisées avec quelqu'un qui a marqué négativement son passé, mais c'est bien léger. Le couple, lui, fait du surplace. Il serait donc bon de peut-être développer cela car il reste quand même un paquet de tomes derrière et que juste avec du tranche de vie comme aujourd'hui, ça fait long long ^^!



Charmante RomCom lycéenne très tranche de vie, Horimiya est le genre de lecture à faire du bien sur le moment car on se plaît à y retrouver des personnages qu'on apprécie. C'est léger, c'est mignon, ça capture bien ce qu'on vit au lycée. Mais la faille vient de sa longueur, la série malgré ses bons sentiments tourne déjà en rond et n'avance pas. Mon coeur apprécie, mon esprit moins...
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Qu’est-ce que j’aime ce manga ! Une véritable bouffée d’air frais. Un bonbon sucré et acidulé à la fois qui fait du bien au cœur et à l’âme. Déjà, parce que les personnages, tous sans exemption, sont incroyablement attachants, ensuite parce que les thématiques traitées le sont toujours avec une extrême bienveillance et douceur.



L’amour fait battre le cœur de nos lycéens, mais aussi les questionnements sur leur identité, leurs aspirations et sur l’amitié qui les unit tous. Si les héros principaux restent Hori et Miyamura, leurs amis sont loin d’être mis sur le côté de la route de ce manga truculent. Que ce soit le couple que forment Remi et Sengoku ou bien encore celui tout neuf entre Tôru et Yuki.



Je n’ai pas vu défiler les pages de ce onzième tome. Encore une fois ! Si le couple formé par Hori et Miyamura (nos chouchous continuent de s’appeler par leur nom, et moi aussi du coup) est toujours aussi savoureux, que ce soit avec leurs disputes et les réconciliations qui vont de pairs, j’ai adoré tout le reste. C’est tellement drôle aussi ! Ça me donnerait presque envie de revenir à la douce période de mon adolescence (ou pas en fait).



Je trouve la patte graphique de Daisuke Hagiwara toujours au top. Avec des dessins simples, elle arrive toujours à faire véhiculer tout un panel d’émotions sur les visages de ses personnages. Et puis elle magnifie l’histoire inventée par HERO avec beaucoup de doigté.



Horimiya fait totalement parti de mon top 10 de mes mangas doudous !
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Très attendu en France, déjà connu pour son anime, Horimiya est un manga qui bénéficie d’une bonne mise en avant. Le scénario se construit autour d’un message qu’il n’est jamais bon d’oublier : ne pas se fier aux apparences et savoir aller au-delà de celles-ci… Ainsi Hori et Miyamura, les personnages principaux du manga et tous ceux qui gravitent autour d’eux « cachent » une part secrète d’eux-mêmes que le manga va s’ingénier à nous révéler au fur et à mesure des petites péripéties qu’ils vivent au quotidien ou dans leurs interactions.



J’ai eu l’occasion de lire les deux premiers tomes d’Horimiya. Côté scénario j’ai aimé le message qu’il véhicule, les relations qu’entretiennent les personnages entre eux, l’ambiance réaliste ( amis, amour, école sont les thèmes principaux ), côté dessin j’ai apprécié le trait fin et soigné de Daisuke Hagiwara. Après, l’ensemble n’est pas très novateur et j’ai parfois eu du mal à accrocher à l’histoire car j’aurai aimé davantage de rebondissements. On est dans de la pure « tranche de vie » et il n’y a « rien » qui nous tiennent véritablement en haleine dans le récit. J’ai même peur que ce dernier ne s’essouffle un peu même si l’idée c’est surtout de s’attacher aux différents personnages et de voir comment ils évoluent personnellement ou avec les autres. La lecture est donc « feel-good » et distrayante mais il ne faudra pas chercher chez Horimiya un scénario très révolutionnaire.
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Encore un tome plein de mignonitude où je me suis amusée en compagnie de ces lycéens loufoques tellement attachants mais tellement barrés aussi parfois.



Il n’y a rien d’extraordinaire et c’est peut-être ce qui fait à chaque fois tout le charme de cette lecture. J’aime ces petits moments banals passés en leur compagnie au lycée et en dehors qui respire la bonne humeur et l’amitié. Chaque situation est propice à rire et s’attendrir avec eux et les auteurs s’en donnent à coeur joie en nous les faisant tous croiser à tour de rôle comme dans la vie sans qu’on ressente le moindre manque ou l’impression que c’est forcé. C’est naturel.



Ainsi on se retrouve à suivre chacun d’eux dans son quotidien en interaction avec les autres. On a droit comme annoncé en couverture à un petit focus amusant sur Yanagi que tout le monde adore. On le découvre passionné de manga avec Sakura et ils se mettent à former un joli duo. Cette dernière est le centre de toutes les attentions de ceux qui pensent que quelqu’un ne banal ne peut pas interagir avec les « populaires » du lycée. Un joli pied de nez sous le signe de l’humour. C’est aussi l’occasion de parler amour, amitié, petits noms qu’on se donne et autre manifestation de nos sentiments, mais aussi de complexes, celui d’Hori sur sa poitrine, ou de Miya à qui on ne dit pas je t’aime. Ça parle aussi de l’intérêt plus ou moins caché des uns pour les autres, comme Ishikawa et Yoshikawa encore une fois et bien sûr Remi et Sengoku, sans parler de l’évidence Miya – Hiro et leurs disputes + moqueries croquignolesques.



Bref un joli fourre tout plein d’un tendre humour où on sourit de chaque situation, où on aime de plus en plus chacun d’eux et où on aimerait revivre ces instants que nous-mêmes on a connu au lycée, malgré le stress des études. Les auteurs montrent comment surmonter ces moments un peu durs et se rappeler uniquement des bons côtés qui sont là simples et pourtant essentiels pour alléger et remplir notre quotidien. Ici, certes c’est fait sous le prisme d’une lunette positive déformante mais qu’est-ce que ça fait du bien au moral !



Nouveau tome rempli de scénettes toutes plus tendres et amusantes les unes que les autres qui croque le quotidien simple et banal d’un groupe de lycéens tous plus gentiment loufoques et touchants les uns que les autres. On aime se prêter au jeu de les suivre au jour le jour lors d’événements banals mais doux et drôles. C’est simple mais terriblement frais. Nous aussi on aimerait être là avec eux !
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Avec sa couverture mettant à l’honneur Sengoku et Remy, l’autrice continue de donner le ton pour ce titre lycéen tranche de vie sur les romances de nos gentils protagonistes.



Même si c’est archi classique et pas du tout original, je prends plaisir à retrouver tous les deux mois le quotidien des élèves de ce lycée et camarades d’Hori et Miya. Dans les courts chapitres qui sont consacrés à chacun, l’autrice transmets une bonne humeur folle que ce soit au lycée ou chez eux, à l’aide de petites anecdotes parfois parlantes pour le lecteur lui-même et qui de toutes façons finissent toujours bien.



Comme à chaque fois, les chapitres consacrés au couple principal sont entrecoupés d’autres mettant en avant leurs camarades. Cette fois, nous avons une prépondérance de Sengoku et Remy, et même du père de ce premier ancien camarade des parents d’Hori. On s’amuse beaucoup à voir la façon dont les relations complexes entre chacun sont reproduites d’une génération à l’autre, ce qui fait beaucoup sourire Miya, spectateur de tout cela. C’est archi mignon également de revenir aux sources du couple Sengoku-Remy, un duo singulier et décalé, mais qui fonctionne à merveille. J’ai donc pris un vif plaisir à les suivre.



De la même façon, je me suis amusée des avancements modestes de la relation Hori-Miya avec la demande assez saugrenue et surprise de ce dernier. Une demande qui, je l’avoue, me fait lever les yeux au ciel à chaque fois que je la croise tant je la trouve ridicule et hors de propos à cet âge-là en dehors des fantasmes de certaines ados que j’espère de moins en moins nombreuses… En revanche, c’est très sympathique de s’amuser du décalage de la perception de la relation très familière de Miya avec la famille d’Hori par ses camarades quand il raconte le temps qu’il passe chez eux. C’est une situation qui peut se produire dans la vraie vie pour une fois donc ça m’a amusée de la voir traitée ici pour une fois.



Même si parfois je ressens une certaine lassitude à la lecture de certains tomes, Horimiya est tout de même une lecture amusante vers laquelle je reviens avec plaisir pour suivre le quotidien savoureux de ces adolescents banals et décalés à la fois. L’autrice a vraiment su insuffler un joli esprit de camaraderie qui me plaît.
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Je me plaignais que l'autrice ne développait pas assez ses personnages secondaires. Elle semble m'avoir attendue et partager désormais son temps entre le couple benêt avec nos héros et les histoires de leurs amis. Je préfère !



Toujours à l'aide de ses chapitres un peu plus courts que la moyenne, elle décline avec bonheur et joie de vivre les petits tracas du quotidien de notre petit couple de plus en plus installé. Avec humour et sérieux aussi parfois, nous suivons ainsi l'évolution naturelle de ceux-ci et c'est assez touchant pour le lecteur qui s'est bien accroché à eux. Ainsi, on s'amuse de la jalousie d'Hori et de sa violence alors avec Miyamura. On rit des codes qui sont souvent renversés et on est attendri quand on les voit progresser avec tellement de simplicité.



L'autrice a un certain talent pour discrètement glisser des réflexions assez pertinentes derrière cette romance toute classique. Ainsi quand elle parle de la fragilité de Miyamura et de son complexe à ce sujet, elle frappe juste, tout comme quand elle met en scène une Hori plus costaude que lui. J'aime avoir un couple équilibré mais atypique dans ce sens, permettant d'aider à normaliser ces situations bien trop montrés du doigt encore alors qu'elles ne devraient pas l'être. De la même façon, je trouve intéressant de parler de la jalousie toute fraternelle du petit frère d'Hori qui a peur de la perdre maintenant qu'elle a quelqu'un. C'est un sentiment naturel mais rarement abordé qui a pourtant bien sa place ici.



Enfin, quel plaisir d'avoir enfin plusieurs histoires centrés sur les amis de nos héros. J'ai autant aimé suivre la relation entre Sengoku et sa chérie, que le triangle amoureux qui se dessine autour de Toru, celui qui s'est fait rembarrer par Hori alors qu'il était super proche d'elle. Chaque relation est touchante à sa manière. Sengoku est mignon parce qu'elle va à l'encontre de l'image du beau gosse chef du BDE habituel, avec ses multiples peurs et complexes. Il va bien avec Remi et son caractère léger et enjoué. Autour de Toru, ce sont les filles qui me plaisent. J'aime que l'une d'elle ose foncer malgré sa timidité alors que l'autre le vit mal et se renferme. Cela promet de jolis moments plein d'émotion surtout que rien n'est encore décidé. Je sais que tout cela peut paraître classique, ça l'est, mais c'est le ton et les intentions donnés derrière par les autrices qui me charment.



Avec un couple qui évolue et avance tranquillement, franchissant sereinement chaque étape, l'autrice s'est dégagée le temps pour parler des autres personnages et j'en suis ravie. J'ai été touchée par chacune des histoires et j'ai aimé l'ensemble des thèmes, notamment autour des complexes physiques ou de caractère dictés par notre société et joliment déjoué ici. C'est classique mais efficace grâce à une écriture juste et touchante.
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La poursuite des aventures sentimentales de nos héros se fait dans la joie et la bonne humeur avec un humour communicatif mais toujours des personnages secondaires un brin trop en retrait par rapport à mes espérances.



Je pensais qu'avec les héros enfin en couple, ce serait l'occasion de plus voir les autres. Erreurs, les auteurs s'attardent sur ces petits rien qui fait que le couple est ensemble et avance. Sympathique en soi mais frustrant pour les autres aussi. J'aimerais bien que les amis des uns et des autres aient droit à leur développement afin de ne pas juste servir de décor, même si je trouve l'ambiance toujours aussi sympa et que j'aime en voir plus sur Hori et Miyamura. A la place, l'autrice introduit un nouveau personnage, certes sympathique et drôle avec son addiction à quelqu'un d'inattendu, mais peut-être pas des plus utiles à ce stade où d'autres ont été introduits et moins développés qu'elle...



Ce dernier a fait un choix radical pour se sentir à la hauteur de sa dulcinée. Ah, le poids des apparences ! Je suis partagée quant à sa décision. Superficiellement, je le préférais avant et intérieurement ça me fait mal qu'il fasse ce choix rien que pour ça. Cependant, il me touche aussi par ses sentiments pour elle et sa maladresse à les exprimer. L'autrice parvient très bien à nous faire ressentir l'évolution tranquille de ce couple évident qui va si bien ensemble.



Elle nous offre plein de jolis moments entre eux, d'un baiser volé naturel, à un baiser réclamé mais interrompu, jusqu'aux taquineries de leurs camarades, jamais les derniers pour les embêter. C'est charmant. L'autrice sait doser et mettre en scène. Le charmant de la brièveté des chapitres joue à fond ici, conférant une ambiance très tranche de vie à leur histoire qui change un peu de la plupart des romances lycéennes. On est à mi-chemin avec un titre purement humoristique comme Otaku Otaku avec ce choix de découpage. J'aime assez même si cela a aussi un côté un brin superficiel.



Mais on ne retrouve pas cette superficialité quand l'autrice veut parler du poids du regard des autres et de la question des couples où le garçon est du même gabarit que la fille. C'est un questionnement très moderne et judicieusement interrogé et renseigné ici. On en parle peu mais nos sociétés peuvent ainsi créer de vrais complexes et de vraies barrières sur la question alors que ça ne devrait pas.



Une série qui continue de me divertir et m'attendrir avec un couple qui fait ses premiers pas en tant que tel sous le regard attendri et amusé de leurs camarades. J'en aime la simplicité et les quelques thèmes forts qui s'en dégagent notamment sur les couples où garçon/fille se ressemblent, mais il me manque encore un peu de fond et de matière, ce qui les personnages secondaires pourraient apporter s'ils étaient développés...
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Chaque tome est vraiment un petit bonbon sucré et doux où on sent combien les auteurs s'amusent à mettre en scène les premiers émois de leurs ados en goguette.



Alors qu'elle a pris son temps jusqu'à présent, non pas qu'il y ait une brusque accélération, mais l'autrice fait enfin significativement avancer son couple principal et c'est adorable. Aucun drame à l'horizon, tout se produit naturellement entre eux et c'est hyper rafraîchissant en plus d'être très doux et mignon. J'ai aimé l'honnêteté de Miyamura ainsi que celle d'Hori et la façon dont ils se mettent ensemble comme si c'était une évidence, assumant parfaitement l'évolution de leurs sentiments. En revanche, la peur quant à l'évolution de leur statut d'ami vers quelque chose de plus a totalement disparu et c'est bien dommage, ce n'était pas abouti du coup.



En revanche, je me suis amusée des circonstances et j'ai été touchée par la déclaration de ce changement à leurs amis. J'ai aimé rencontrer le père haut en couleur d'Hori, totalement loufoque et improbable. J'ai été émue par l'aveu de leurs sentiments à leurs amis notamment à celui qui était amoureux d'Hori. On sent combien ils prennent soin les uns des autres en restant à l'écoute d'eux et des autres, ce qui fait que tout respire la bienveillance. C'est hyper agréable.



Après, nous sommes uniquement dans des développements classiques et connus. Chaque choix est prévisible mais c'est avant l'ambiance bonne enfant et l'absence de drame qui fait le charme de la série. On pardonne ainsi à la série sa grande prévisibilité, son absence de thématiques fortes ou ses personnages caricaturaux et on prend plaisir à suivre les premiers pas du couple : aveux, balade main dans la main, appellation par les prénoms, etc. Ils sont adorables.



Sans surprise, la série continue tranquillement son chemin nous permettant de suivre les premiers pas de Hori et Miyamura en tant que couple. Ils sont maladroits mais mignons tout plein. On a mainte fois vu ça mais c'est touchant et plein de bienveillance. J'aimerais juste avoir des personnages secondaires plus développés ou des thématiques plus fortes parfois.
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Ce second volume vaut le premier et est tout aussi agréable à lire. L’histoire se poursuit avec des mises en situation qui démontrent une nouvelle fois que nos héros ne sont pas ceux que l’ont croit. Par exemple, Hori qui fait parti du BDE, va avoir quelques difficultés et heureusement que Miyamura jouera les chevaliers servants pour faire éclater la vérité, car sinon elle passerait encore pour une fille superficielle et inconstante.



Je dois dire que ça m’a tenu en haleine et je n’avais qu’une envie qu’elle se rebelle un peu contre l’injustice qui la frappe. Et, Miyamura va être confronté à l’amitié. Lui qui a souvent subi le harcèlement plus jeune, car trop différent, va découvrir qu’il a de vrais ami. e. s sur qui il peut compter.



Bon. Ce que je peux vous dire sans tout vous raconter, c’est que j’aime cette nouvelle série. Elle est douce, traite de sujets sensibles, mais avec beaucoup de délicatesse. Les héros sont super attachants, leur entourage assez drôle, même si parfois, il y a des moments plus sérieux et lourds, ça reste un bon manga de divertissement et puis… la fleur bleue que je suis est heureuse de sentir une romance poindre à l’horizon.



J’ai hâte de voir comment tout ça va être traité, comment ça va avancer.



Bref, Horimiya est une excellente surprise que je ne regrette pas de commencer ! À lire si vous aimez les personnages bien travaillés et les histoires bien amenées.



Tolérance, bienveillance, amitié sont les clefs de ce début vraiment prometteur.
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Je réitère mon impression à propos des tomes précédents.

La mangaka enchaîne les chapitres sans fil rouge, ce qui permet de continuer la série pour encore un moment, mais qui me frustre également.

Le tout se lit avec plaisir. Il y a toujours de l'humour dans les dialogues et dans les situations mises en scène mais il me manque un petit quelque chose pour que la série sorte de cette organisation convenue. Les premiers tomes étaient beaucoup plus intéressant et j'aimerai bien que la mangaka revienne sur ces sujets-là et sur la romance du couple central.

Il reste encore 3 tomes avant la fin de la série, à voir.

La série continue à se laisser lire de part l'attachement aux personnages développés mais je commence à me lasser de cette succession de scènes du quotidien sans réel fil rouge.

Dans ce tome consacré principalement à Iura, le reste des personnages passe au second plan pour nous en apprendre plus sur sa vie en dehors du lycée, notamment sur sa petite sœur.

Finalement ce sont surtout les derniers chapitres qui m'ont plus en remettent le couple principal au centre. Ce duo là fonctionne vraiment très bien et je regrette que le mangaka ne se concentre pas sur cette dynamique.

Après la lecture reste plaisante malgré tout.

Un 14e tome qui reste dans la lignée des précédents. Je prends toujours grand plaisir à suivre les tribulations de ces adolescents qui sont supers attachants. Une histoire qui est toujours dans la bienveillance et l’acceptation de soi et des autres. Hori et Miyamura sont peut-être les héros, mais j’aime toujours autant retrouver toute leur bande d’amis ! Mon seul petit bémol pour ce tome, c’est que le père de Hori y apparait très peu. J’adore ce personnage.

Il y a des tomes où le concept me lasse et d’autres où je le trouve doux et savoureux, allez savoir pourquoi !



Ici, je me suis régalée à suivre les différentes petites histoires de ce groupe d’amis et d’amoureux. C’était tendre et amusant, gentil et pétillant. J’ai ri de leurs histoires de lycéens. Je me suis amusée de leurs histoires de couples qui se compliquaient pour rien. C’était mignon. J’ai aimé que les auteurs nous fassent passer du temps avec chacun, soit entre potes, soit entre amoureux. J’ai aimé cette variété dans les histoires.



Alors ça ne raconte rien d’extraordinaire. Il y a les garçons qui vont dormir chez Sengoku, ce dernier qui essaie de percer le secret de Miya autour de ses tatouages. Ça parle aussi de la relation des personnages en couverture : Ishikawa et Yoshikawa, et de son ambiguïté, ils sont amoureux mais pas ensemble car aucun ne s’est déclaré, mais ils passent beaucoup de temps ensemble lol On retrouve aussi notre chère Hori et ses crise de jalousie. Qu’est-ce que Miya est patient avec elle, même si ça fait un peu relation toxique avec la fille en dominant, ce que j’apprécie moyen…



Mais il y a plein de situations croquignolesques, que ce soit chez Sengoku avec ses potes, chez Ishikawa avec son « amie », au lycée avec les jalousies amicales et amoureuses des uns et des autres, ou chez chacun. Parfois les situations sont courtes mais toujours mignonnes. Je pense notamment à la soeur de Kitahara quand elle veut amener un ami chez elle et que son frère l’embête, ou Miya et son nouveau fan. Tout est vraiment fait pour être drôle et mignon à la fois, même la mise en scène des disputes du couple principal où Hori joue les chiens policiers pour renifler avec qui Miya a passé du temps. C’est rigolo car complètement loufoque et décalé, mais du coup ça crée une connivence et de proximité avec nous et du coup on a le sentiment d’appartenir à cette petite bande sympathique.



Avec un tome très centré sur la partie amicale de cette bande de potes, j’ai encore pris plaisir à suivre leurs aventures gentiment loufoques. Le petit focus promis sur Ishikawa – Yoshikawa était mignon tout plein sur le passage d’amis à amoureux. Je continue à m’amuser avec les autres, notamment avec Hori et Miya, le contre-pied de la relation toxique masculine. C’est simple mais drôle et rafraîchissant.
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Dans ce troisième tome, la relation entre Hori et Miya commence à évoluer. On sent qu'elle est à la frontière entre amitié et amour. Leurs échanges possèdent souvent un double-sens. Chacun tâte le terrain pour essayer de démasquer les réels sentiments de l'autre. C'est assez amusant à voir et toujours aussi attendrissant. La présence de Tôru, lucide quant aux sentiments du couple, apporte pas mal d'humour au manga. Sa rencontre avec la discrète Sakura amorce peut-être le début d'une nouvelle relation. Il serait agréable que celle-ci soit développée dans les prochains tomes.

Dans ce second tome, on voit s'installer l'amitié entre Hori et Miya. Il y a quelque chose de très touchant dans leur relation. Celle-ci est saine, basée sur une confiance mutuelle. Les moments qu'ils partagent ensemble sont simples mais significatifs dans le sens où ils contribuent à renforcer leur amitié et confiance. J'aime aussi l'amitié qui s'installe entre Miya et Ishikawa. Plutôt que de tomber dans l'éternel triangle amoureux, l'intrigue prend un autre chemin et "choisit "d'associer" les deux personnages qui auraient pu devenir rivaux en amour.

Le final de ce tome laisse présager un basculement subtil dans la relation entre Hori et Miya : affaire à suivre !

"Horimiya", c'est un manga plutôt orienté ados qui parle d'amour, d'amitié et de différences dans le cadre d'un lycée. L'histoire est centrée sur Hori, une jeune fille populaire mais entièrement dévouée à sa famille, et Miya, introverti qui cache un punk tatoué. Nous suivons dans ce tome leur rencontre et les premiers pas de leur amitié. Selon moi, le point fort de cette nouvelle série est sans conteste la galerie de personnages. Je me suis vite attachée aux deux protagonistes principaux ainsi qu'à ceux qui gravitent autour d'eux. Mon seul regret est que les dessins sont un peu quelconques. Je lirai avec plaisir la suite de ce manga à la fois drôle, réconfortant et romantique.

Un must have pour les grands fans de la série !

On y trouve pas mal de choses, allant des chapitres préférés (des japonais), des fiches personnages aux interviews des auteurs, storyboard (qui prend pas mal de place dans le livre), chapitre inédit (court), jeu... idéal pour se replonger dans la série ! :) J'aime beaucoup ce genre de hors-série, celui-ci est dans la même veine que les fanbooks de Fruits Basket que j'avais adoré. C'est le genre de livre qu'on aime ouvrir de temps en temps pour retrouver l'univers du manga.



On y trouve en plus une petite galerie d'une soixantaine d'illustrations couleurs. Possédant déjà l'artbook Sotsuaru, je connaissais quasi toutes les illustrations (une seule n'est pas dans l'artbook), mais je ne me lasse pas de les regarder encore :)



J'ai acheté l'édition collector du tome 11 avec ce fanbook, et je dois dire que les filtres instagram offerts dans le collector sont aussi vraiment top (les hashtags m'ont bien fait rire :D) !

Qu’est-ce que j’aime ce manga ! Une magnifique comédie romantique, drôle, touchante et passionnante à lire. Et les dessins vont parfaitement bien avec le style de l’histoire ce qui fait que ce manga est un bonheur à lire pour moi !



C’est toujours un plaisir de retrouver nos deux compères et tourtereaux, Hori et Miyamura qui sortent enfin ensemble. Le pauvre Miyamura doit combiner avec une petite amie plutôt jalouse et colérique (en plus d’être bourrine), ce qui n’est pas toujours évident à vivre (mais fort amusant pour les lecteurs que nous sommes).



Et à côté, on suit également les premiers émois de leurs amis, et ce, avec beaucoup de plaisir, je l’avoue. Pour tout vous dire, j’avais peur qu’ils éclipsent nos héros, mais pas du tout. Parce qu’ils ont leur propre caractère et qu’on a envie aussi d’en savoir plus sur eux et on espère qu’ils arriveront à trouver le bonheur avec la personne de leur cœur.



Côté humour, il y a ce qu’il faut ici. J’ai particulièrement aimé les scènes avec Sota (le petit frère de Hori) et de ses jeunes amis qui viennent à la maison et prennent notre jeune couple pour les parents. C’était très amusant ! Sans parler de ce moment que Hori voulait romantique lors d’un visionnage de film, le soir avec son chéri, mais qui ne se passe pas comme prévu.



Bref. Ce sixième tome me convainc toujours plus et encore que Horimiya est un super manga qui tient la route avec des histoires sympas à suivre et des personnages terriblement attachants. J’aime, que dis-je, j’adore et je ne regrette pas de poursuivre cette série, loin de là !
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Ce premier tome pose les bases d'une série qui a tout pour me plaire. J'aime beaucoup les dessins et la mise en pages claire et aérée. Ensuite il y a l'histoire et là encore, eh bien, j'ai apprécié ce début avec des personnages frais et sincères.



Le scénario est simple, deux jeunes lycéens vont se découvrir et apprendre à se connaitre. de fil en aiguille, Hori et Miyamura vont réaliser qu'ils avaient des idées totalement fausses et arrêtées l'un sur l'autre !



Hori qui semble être superficielle est en fait une jeune fille responsable qui s'occupe de son petit frère, car leurs parents sont souvent absents, et Miyamura, sous des dehors de jeune homme coincé et froid, est en fait tout le contraire.



J'ai adoré la relation qui s'installe entre ces deux personnages. Ils se complètent et plus ils se fréquentent et plus ils s'apprécient. Il y a beaucoup d'humour aussi, mais dans l'ensemble on est là sur un manga qui prône la bienveillance et la tolérance.



Hori a du succès auprès des garçons et malgré tout, elle ne veut pas d'histoire d'amour, déjà parce qu'elle n'a pas le temps et puis maintenant il y a Miyamura qui vient souvent l'aider chez elle. Bien sûr cette relation va vite s'ébruiter et les amis de la jeune fille et l'un de ses prétendants vont vite s'immiscer.



Hori est une fille maladroite et attachante alors que Miyamura manque de confiance en lui à cause de ce qu'il a subi plus jeune avec ses camarades de classe.



Bref. Ça m'a accroché et j'ai eu envie de lire la suite.
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